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dimanche, 13 avril 2014

Le Lai de l'Ombre, encore

 

 

 

 

Une amie qui m'a témoigné son plus vif intérêt, et le plaisir  qu'elle prit à cette lecture, m'enjoint ce soir de signaler à mon Lecteur, de nouveau, la parution du Lai de l'Ombre, ce conte courtois du XIIIe siècle traduit de l'ancien français par mes soins, et disponible ici :

 

Le Lai de l'Ombre

 

 

Je renvoie également mon Lecteur à  mon entretien avec Jean de Rancé, au sujet de ce livre.

 

 

CAELO MVSA BEAT.

 

 

 

 

vendredi, 11 avril 2014

Interlude — Un document historique

 

 

 

 

DSC_0182 belfort.jpg

(cliquer pour agrandir)

 

L'Est républicain, dimanche 16 mars 2014,

à l'occasion de l'exposition "Écritures rebelles, encres, gravures & livres d'artistes" de Renaud Allirand (février-mars 2014) à la Bibliothèque Léon Deubel de Belfort, dans le cadre du Printemps des poètes 2014.

 

 

Lecture publique

 

 

 

jeudi, 03 avril 2014

Vitrine

 

  

 

 

Manuscrit.JPG

 

Photographie (mars 2014) © Aliette Pechey / Bibliothèque Léon Deubel (Belfort).

 

Exposition "Écritures rebelles, encres, gravures & livres d'artistes" de Renaud Allirand (février-mars 2014) à la Bibliothèque Léon Deubel de Belfort, dans le cadre du Printemps des poètes 2014 : manuscrits du cahier Une autre ville (2013), poèmes de Frédéric Tison, encres de Chine et gravures de Renaud Allirand.

 

 

 

mardi, 01 avril 2014

Le Clair du temps II, minuscules et photographies (2013)

 

 

 

Le Clair du temps est une collection de carnets de photographies & de notes (nommées "minuscules") prises lors de voyages et de promenades.

 

Voici le deuxième volume de cette collection.

 

 

 

 

Frédéric Tison, Le Clair du temps II, minuscules & photographies,
L'auteur/Blurb (2013).

 

Se procurer le livre

 

 

*** 

 

Le Clair du temps I est toujours disponible ici.

 

***

 

Lire (ou relire...) l'entretien avec Jean de Rancé,
à propos de cette collection de livres.

 

 

 

mardi, 18 mars 2014

Lecture publique

 

 

 

 

 

 

À l'occasion de l'exposition "Écritures rebelles, encres, gravures & livres d'artistes" de Renaud Allirand (février-mars 2014) à la Bibliothèque Léon Deubel de Belfort, dans le cadre du Printemps des poètes 2014, et coïncidant avec la cérémonie de l'inauguration du nouveau nom de cette bibliothèque, anciennement "Bibliothèque des 4 As", lecture, par Frédéric Tison, du cinquième et dernier poème du cahier Une autre ville (2013), poèmes de Frédéric Tison, encres de Chine et gravures de Renaud Allirand, le samedi 15 mars 2014.

 

 

 

jeudi, 13 mars 2014

Recension des 'Effigies'

 

 

 

 

revue_affiche_36.jpg

 

 

Je signale à mes chers Lecteurs la parution de la dernière livraison de la revue Les Hommes sans Épaules (n° 37). Y figure, notamment, la recension de mon dernier livre, Les Effigies, paru en octobre 2013.

 

 

Les Effigies sont toujours disponibles à cette adresse.

 

 

 

16:56 Écrit par Frédéric Tison dans Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

dimanche, 09 mars 2014

Rencontre à Belfort — Communiqué

 

  

À l'occasion de l'exposition "Écritures rebelles",
gravures & encres de Renaud Allirand,
à la Bibliothèque des 4 As de Belfort,
et dans le cadre du Printemps des poètes 2014

  

_________

 

  

L’artiste Renaud Allirand a réalisé de nombreux ouvrages avec ses amis poètes, notamment Frédéric Tison pour le livre Une autre ville, édité en 2013 à l’occasion d’une exposition au Cabinet d’Arts Graphiques du Musée des Beaux-Arts d’Orléans.

 

 L’exposition présente des livres d’artistes de Renaud Allirand, écrits par lui-même ou co-écrits (avec Frédéric Tison, Jacques Robinet, Paul Louis Rossi, Florent Papin) ainsi que des gravures et des encres.

 

  

Rencontre avec Renaud Allirand, Jacques Robinet et Frédéric Tison,

 

le samedi 15 mars à 14h30

 

 

Bibliothèque des 4 As   

Forum des 4 As 

90 000 Belfort

 

 Entrée libre.

 

 

 (Lien)

 

 

 

10:12 Écrit par Frédéric Tison dans Expositions, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

dimanche, 02 mars 2014

Sur un bureau

 

 

 

 

présentation 2 détail manuscrit.jpg

 

 

Détails de la carte et du manuscrit autographe du poème "Les Herbes le soir",
carte "poème & estampe" par Frédéric Tison (poème) et Renaud Allirand (estampe).

 

 

 

samedi, 01 mars 2014

Dans l'atelier

 

 

 

 

photogravure - plaque magnésium - détail.jpg

 

 

Détail de la photogravure sur plaque de magnésium de Renaud Allirand (2013)
pour la carte "poème & estampe", par Frédéric Tison et Renaud Allirand, "Les Herbes le soir".
(Photographie prise dans l'atelier parisien de Renaud Allirand, rue Debelleyme, février 2014.)

 

 

 

 

vendredi, 28 février 2014

"Les Herbes le soir" : un poème & une photogravure — par Frédéric Tison & Renaud Allirand

 

 

 

Une parution nouvelle

 

"Les Herbes le soir",

 carte "poème & estampe",

poème de Frédéric Tison (décembre 2013),

photogravure (sur plaque de magnésium) de Renaud Allirand (2013),

 

typographie au plomb de François Huin, maître-typographe, 

 

 carte sur papier Rivoli 240 grammes (21 x 14,8 cm),

tirage à 99 exemplaires
(+ 1 exemplaire BnF, Département des Estampes),

signés par les auteurs et numérotés de 1 à 99,

 

parution : février 2014.

 

*** Se procurer la carte***

 

"Les Herbes le soir",
poème de Frédéric Tison,
estampe originale (photogravure) de Renaud Allirand,
typographie au plomb de François Huin, carte signée et numérotée, 
15 € (frais de port compris) :

 

Veuillez utiliser le formulaire de contact de ce blogue.

 

  

 

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dimanche, 26 janvier 2014

« Écritures rebelles » : expositions, rencontre & lecture

 

 

 

À l'occasion des expositions Écritures rebelles de Renaud Allirand à Montbéliard et à Belfort en février et mars 2014 (expositions d'encres et de gravures de l'artiste, ainsi que de ses livres conçus avec les poètes Jacques Robinet, Paul Louis Rossi, Florent Papin & votre serviteur), les manuscrits des poèmes du cahier Une autre ville (2013) seront présentés.


J'aurai également le plaisir de participer, en compagnie de l'artiste peintre et graveur et du poète Jacques Robinet, à une rencontre dans le cadre du "Printemps des poètes 2014",

 

le samedi 15 mars 2014

à 14h30

à la Bibliothèque municipale des 4 As

Forum des 4 As

90 000 Belfort

 ______

 

 

RecVers.jpg

 

 (Cliquer pour agrandir l'image.)

 

Télécharger le PDF "Écritures rebelles".

 

*** Voir également la page 24 de ce document. ***

 

 

***

 

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 (Cliquer pour agrandir les images.)

 

 

 ***

 

 

Une autre ville - 2013 - Frédéric Tison - Renaud Allirand.JPG

 

  

Une autre ville -  extrait.jpg

 

Une autre ville (2013),
poèmes de Frédéric Tison,
encres de Chine et gravures de Renaud Allirand

 

 

 

 

dimanche, 19 janvier 2014

Le luxe

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Frédéric Tison, Les Effigies, un carnet de photographies (2009-2013),
auto-édition Blurb, 2013. 160 pages, 76 photographies (couleur et noir & blanc) 

Édition en grand format

 

 

 

 

mardi, 31 décembre 2013

Une autre ville, poèmes de Frédéric Tison, encres de Chine et gravures de Renaud Allirand (2013)

 

Une autre ville,

 

poèmes de Frédéric Tison, encres de Chine et gravures de Renaud Allirand,

 

ou la rencontre entre des mots et des images, entre cinq poèmes et une suite d'encres de Chine et de gravures. Une autre ville : c'est une ville au sein des Villes, une ville dans leurs marges, une ville entr'ouverte par des portes et des fenêtres insoupçonnées, par les mots de passe du poème et la clef des images.

 

  __________

 

Le tirage réunit une édition courante au prix de 10€ (12€ frais de port compris) et une édition de tête avec 30 exemplaires signés et numérotés de I à XXX et enrichis d'une encre originale de Renaud Allirand. Me contacter ici pour vous procurer l'ouvrage.

 

Une autre ville - 2013 - Frédéric Tison - Renaud Allirand.JPG

 

 

 

18:38 Écrit par Frédéric Tison dans Livres parus, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

vendredi, 06 décembre 2013

Entretien avec Jean de Rancé - Sur "Le Lai de l'Ombre"

  

 

 

Jean de Rancé. -. Voici, cher Frédéric Tison, que vous publiez – cette année 2013 vous est décidément propice ! – une nouvelle traduction du Lai de l’Ombre, de Jehan Renart, dont vous avez confié l’impression aux soins de Lulu.com, l’imprimeur en ligne. Pourriez-vous nous parler de ce livre ?

 

Frédéric Tison. -. Très volontiers, cher Jean de Rancé.  Le Lai de l’Ombre est un magnifique conte courtois, en vers, écrit en ancien français, vers l’an 1222, par quelqu’un qui se fait appeler Jehan Renart : ce dernier est sans doute un homme haut placé, peut-être un évêque comme vous le lirez dans mon introduction, ne désirant pas publier, sous son vrai nom, un texte qui comporte quelques passages un peu lestes, sans parler d’une liberté de ton fort éloignée des évangéliaires et des psautiers. Il s’inscrit dans la belle tradition – laquelle était, oui, déjà une tradition, au XIIIe siècle – du fin’amor, l’amour pur, l’amour chevaleresque entre une belle dame sage et un chevalier de rang inférieur, cet amour courtois qui inspira tant de songes, d’images et de désirs. Jehan Renart joue avec cette tradition, il l’aime, et il la respecte, mais il lui insuffle un air nouveau, avec l’ironie et le rêve. Je connaissais ce lai depuis quelque temps déjà, mais je l’ai relu ces dernières années, tandis que j’écrivais les poèmes des Effigies, mon dernier livre, dont il a inspiré, pour une part, l’un des poèmes : quelqu’un, dans Les Effigies, a lu Le Lai de l’Ombre, et il m’a semblé plaisant d’en proposer une traduction nouvelle en un livre qui serait alors l’un des « satellites » du livre de poèmes, à l’instar du carnet de photographies mien que nous évoquâmes naguère

 

J. de R. -. Un autre satellite !

 

F. T. -. Je ne saurais réduire le bel ouvrage de Jehan Renart à la qualité de satellite de l’un de mes propres livres, naturellement, mais ce Lai de l’Ombre trouve en moi des échos si profonds qu’il m’aurait semblé dommageable de ne pas les écouter. J’aime beaucoup trouver des passerelles entre les livres, entre les siècles. Songez à Borges, qui, dans ses Fictions, imaginait un auteur contemporain ayant influencé un auteur du passé…

 

 J. de R. -. Vous proposez là de ce texte une nouvelle traduction de l’ancien français. Pardonnez-moi cette question, mais quel médiéviste êtes-vous pour vous être lancé dans une telle entreprise ? 

 

F. T. -. Votre question est légitime. Je ne suis pas du tout un « médiéviste », ni un professeur d’ancien français, mais, il y a bientôt vingt ans, j’ai, à l’Université, étudié durant trois années cette langue, ce qui m’a beaucoup plu, et, depuis, j’ai plaisir à lire dans le texte des écrits des XIIe et XIIIe siècles, armé, naturellement, d’un lexique et d’un dictionnaire ; je ne parle pas couramment l’ancien français, bien sûr ! Je sais cependant frayer mon chemin à travers ces ronces françaises. Et puis, m’étant piqué d’éditer, naguère, des textes français du XVe et du XVIe siècle (Charles d’Orléans, puis Maurice Scève et Étienne Dolet), je ne pouvais pas, en faisant cela, ignorer l’ancien français qui précédait le « moyen français » dans lequel ces textes étaient composés. La mutation capitale, en langue française, a lieu au XIVe siècle ; il faudra que je m’attelle un jour à la traduction d’un écrit de cette époque, peut-être un poème de Jean Froissart, je ne sais, dont seules les chroniques sont connues du public cultivé d’aujourd’hui. 

Pour revenir à Jehan Renart, si je ne prétends nullement, je le répète, être un spécialiste de la langue dans laquelle son beau lai a été écrit, j’en sais suffisamment pour ne pas me méprendre, et pour prétendre en proposer une traduction fidèle, dans la mesure du possible, et nouvelle, dans la mesure où cette traduction n’est ni « versifiée » (je n’aime pas beaucoup ces versions assommantes qu’on lit trop souvent, ces alinéas sans grâce ni rythme, fades, hagards, désossés, qui ressemblent trop à certains pseudo-poèmes contemporains) ni « arrangée » (il s’agit de ces versions qui élaguent l’original, et en gauchissent la trame et l’esprit en prétendant l’adapter au goût moderne). 

 

J. de R. -. Pourquoi, de manière générale, éditer ces « textes rares et oubliés » ? 

 

F. T. -. J’ai le souci, tout simplement, d’exhumer des textes qui me sont chers, et dont j’ai pu regretter l’absence, jadis, des librairies, voire des bibliothèques. Allez donc trouver une autre œuvre de Maurice Scève que la Délie, ou dénicher Le Second Enfer d’Étienne Dolet, et l’ensemble des Ballades du fameux concours de Blois organisé vers 1457 par Charles d’Orléans… Il m’a semblé souhaitable, d’autant que la démarche éditoriale que je me suis proposé est passionnante, de les proposer de nouveau. Je les accompagne, d'autre part, de petites notes qui sont autant de réflexions miennes sur le poème, l'image et le temps.


 

J. de R. -. Si ces textes sont oubliés aujourd’hui, n’y a-t-il pas une raison à cela ? Pensez-vous vraiment que ces éditions nouvelles trouveront un public ? 

 

F. T. -. Tout d’abord, je pense que ces textes sont d’admirables écrits, et je propose seulement de les faire découvrir. Libre à quiconque de s’y pencher comme je m’y suis penché, ou de passer son chemin.


Il ne s’agit pas, ensuite, d’éditer à tout prix n’importe quel texte rare – il en est de rares et d’ennuyeux, justement oubliés – mais au contraire de déceler les tombés des rayonnages, comme on dit de personnages de l’histoire pourtant fascinants qu’ils sont tombés des dictionnaires, et d’injustement tombés : la tâche est immense, et je ne fais là que prendre part, à mon sens, à ce qui prendra de l’ampleur ; je ne suis qu’une petite fourmi, solitaire et vaillante. Je fais là pour des auteurs anciens ce que devraient faire tous les éditeurs de métier pour les écrivains de notre temps : s’attacher au texte, non à la connaissance personnelle de l’homme, tenter de trouver, ou retrouver des voix.


Évidemment, mon entreprise manque de relais ; je suis cependant certain qu’elle trouverait un écho auprès de personnes qui n’en sont pas informées. Il est simplement dommageable que je n’aie pas de moyen de diffusion autre que ce blogue et l’annonce ici ou là, sur quelque réseau social. Comme tous mes livres, mes petites éditions sont des bouteilles à la mer.

 

J. de R. -. Pourriez-vous nous résumer Le Lai de l’Ombre ?


 

F. T. -. Surtout pas ! Je laisse au Lecteur la joie de découvrir ce conte exquis, et sa fin délicieuse… Je répèterai ce que j’ai écrit sur la quatrième de couverture : « En dévoiler la fin [du Lai de l’Ombre], sinon l’intrigue, dès la quatrième de couverture, serait une trahison pire que toutes les traductions possibles ».

  

J. de R. -. Comment donner à nos lecteurs l'envie de découvrir votre nouvelle traduction du Lai de l'Ombre ?

 

F. T. -. Ma parole est une invitation, cependant elle n'est pas prescriptive ! Je puis seulement dire : Cela est magnifique, voici ce que je vous propose. À vous de voir.

 

Songez également qu'en 1222, 1 ou 2% seulement de la population (le cercle très étroit des lettrés, dans les monastères, et celui, moins cultivé, des châtelains et de leurs cours, où, à défaut de toujours savoir lire, on pouvait entendre réciter quelque conte) avaient accès au Lai de l'Ombre et étaient susceptibles de s'y intéresser. Aujourd'hui, en 2013, même s'il a changé de nature sociale, le pourcentage de lecteurs potentiels, à la fin, demeure le même. Ne trouvez-vous pas la coïncidence amusante ?

 

  

Jehan Renart - Frédéric Tison - Le Lai de l'Ombre - 2013.JPG

  

Jehan Renart, Le Lai de l'Ombre. Édition de Frédéric Tison (présentation, transcription de l'ancien français, traduction, notes, illustrations). Lulu, 2013. 168 pages.

 

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dimanche, 01 décembre 2013

Une parution : "Le Lai de l'Ombre" de Jehan Renart (vers 1222)

 

  

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Jehan Renart, Le Lai de l'Ombre. Édition de Frédéric Tison (présentation, transcription de l'ancien français, traduction, notes, illustrations). Lulu, 2013. 168 pages.

 

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Le Lai de l’Ombre est un conte courtois du début du XIIIe siècle, écrit dans cette langue qu’on nomme l’ancien français. Son auteur, sans doute un personnage haut placé, se fait appeler Jehan Renart ; il compose là l’une des plus belles histoires de courtoisie qui furent, en ces temps rêvés d’amour pur qu’on nomme « fin’amor ». En dévoiler la fin, sinon l’intrigue, dès la quatrième de couverture, serait une trahison bien pire que toutes les traductions possibles.

 

Cette édition propose le texte du XIIIe siècle et l’accompagne d’une traduction en prose annotée. Elle se veut également le « satellite » d’un livre de poèmes, Les Effigies, variations sur des ombres et des voix (Paris : Librairie-Galerie Racine, 2013), dans lequel quelqu’un a lu Le Lai de l’Ombre.

 

 

(Quatrième de couverture - auto-édition Lulu, automne 2013.)