Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 16 mars 2023

Petite annonce

 

 

 

Je suis à la recherche d'un traducteur en anglais, en chinois, en japonais, en espagnol, en allemand, en latin, en russe, en grec, en finnois, en hongrois, en arabe, en turc, en tchouvache, en télougou, en wu, en sanscrit, en hiéroglyphes (hiératiques ou non), en hébreu, en ojibaway, en mixtèque, en navajo, en nahuatl, en cachemiri, en sumérien, en kirghize, en cebuano, en maay, en corse, en breton, en danois, en frison, etc., de mes livres de poésie.

Si un visiteur de ce blogue est intéressé, il pourrait traduire un poème issu d'un livre mien qui serait en sa possession, ou bien l'un (ou deux, ou trois, ou l'ensemble !) de ces poèmes déjà publiés en ligne :
http://www.terreaciel.net/Frederic-Tison#.Ybi3Sb3MKM9
ou

 

J'aurai des présents en échange : de petites peintures, des dessins ou des manuscrits originaux.

 

Veuillez me contacter ici.

 

 

 

21:40 Écrit par Frédéric Tison dans Traductions, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

lundi, 27 décembre 2021

Pour une petite anthologie de traductions

 
 
Mon projet est celui-ci : publier sur ce blogue des traductions de mes poèmes dans toutes les langues possibles. Cela formerait une petite anthologie, qui pourrait être lue par des lecteurs non-francophones.

Pour l'instant, j'ai été traduit en italien, en espagnol et en anglais, dont voici la présentation sur mon blogue :
http://leslettresblanches.hautetfort.com/traductions/

Si un visiteur de ce blogue est intéressé, il pourrait traduire un poème issu d'un livre mien qui serait en sa possession, ou bien l'un (ou deux, ou trois, ou l'ensemble !) de ces poèmes déjà publiés en ligne :
http://www.terreaciel.net/Frederic-Tison#.Ybi3Sb3MKM9
ou
 
 
Vous pouvez me contacter ici.
 
 
 
 

19:09 Écrit par Frédéric Tison dans Traductions, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

jeudi, 25 novembre 2021

En anglais

 

 

 

What reigns is hidden, murmurs, expands and stretches in a slower light. You are the precious body that time once sowed.

And in the water — castle of scattered thoughts — a flower is bursting. Your island fades away and begins again.

A house grows in the still lake with the sky where your dreams dwell and respond to the evening.

 

Frédéric Tison,  La Table d'attente, éd. Librairie-Galerie Racine, collection Les Hommes sans Épaules, 2019, Livre II,  poème XVIII. Traduction de l'auteur, avec quelques retouches par mon amie S*.

 

 

 

10:21 Écrit par Frédéric Tison dans Traductions, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

mercredi, 24 novembre 2021

En italien

 

 

Non basta il tuo ardore : bisogna che il giorno ti sogni.

Impari dalla nuvola la lezione bianca e leggera, la lira trasparente che suona da sola ; le soste e la fretta ; la dispersione.

Anche nella città ci sono questi urti, questi sospiri — improvvisi silenzi, sirene audaci —, tanti astri che derivano.

 

Frédéric Tison, Nuages rois,
éd. Librairie-Galerie Racine, collection Les Hommes sans Épaules, 2021,
« Ciels II », poème XVIII. Traduction de Claire Boitel.

 

 

 

17:29 Écrit par Frédéric Tison dans Traductions, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (1) |  Facebook |

En italien

 

 

Una regina sfugge in questi luoghi.

Aveva lasciato questo paesaggio ; le sue lacrime erano cadute come offerte.

Qui giace il suo viso, che si rivela senza parlare, come la neve sui tetti.

 

Frédéric Tison, Nuages rois,
éd. Librairie-Galerie Racine, collection Les Hommes sans Épaules, 2021,
« Ciels I », poème XIX. Traduction de Claire Boitel.

 

 

 

17:28 Écrit par Frédéric Tison dans Traductions, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

jeudi, 30 septembre 2021

En espagnol

 

 

J'ai le plaisir de signaler la traduction en espagnol de quelques-uns de mes poèmes dans la revue de poésie péruvienne Kametsa :

Poesía internacional : Frédéric Tison (Francia)


Avec un très grand merci à Emilio Martin Paz Panana et la revue Kametsa

Con un gran agradecimiento a Emilio Martín Paz Panana y la revista Kametsa.




17:01 Écrit par Frédéric Tison dans Revues, Traductions, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (4) |  Facebook |

vendredi, 24 septembre 2021

En anglais

 

 

Blue crescent moon,
Sudden stars strewn
Among the flowers of galaxies :
You live in this sown country.

 

High rhythms, suns of music,
Wide multiplied eyes :
In the skies of your rains I see
Those pieces of light that rustle.

 

 

Frédéric Tison, traduction en anglais, par l'auteur, d'un poème isolé (avril 2019),
non repris dans un livre,
poème en langue française accompagné d'un dessin au pastel de l'auteur (avril 2020) qui a donné lieu à une carte d'art
.

 

 

00:19 Écrit par Frédéric Tison dans Traductions, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

vendredi, 17 septembre 2021

Kametsa

Frédéric Tison (Tarbes, Altos Pirineos, 1972) vive y trabaja en París, donde es responsable de una biblioteca escolar. Es autor de diez libros de cuentos y poesía. En 2013 colaboró ​​con el pintor y grabador Renaud Allirand para un libro de artista, Otra ciudad , presentado al Gabinete de Artes Gráficas del Museo de Bellas Artes de Orleans. También es editor de textos raros y olvidados de los siglos XIII, XV y XVI (Jehan Renart, Charles d’Orléans, Maurice Scève, Étienne Dolet…). Todavía publica, como fotógrafo aficionado, sus propios álbumes de fotos y practica la acuarela y la tinta china. En un francés muy puro, moderno ciertamente, pero regado en profundidad del pasado de la lengua, Frédéric Tison sabe defender su joven independencia y la originalidad de su pensamiento poético. Los mitos antiguos, tanto como el trobar, o incluso la preocupación mallarmeana por el “Libro” y las obsesiones de lo inactivo y lo incompleto rozan el fondo, la decoración mental de una creación ambiciosa y muy evolutiva. Frédéric Tison recibió el Premio Aliénor 2016 por su libro de poemas, Le Dieu des Portes.

***

Narrador en sueños, arena bajo el mar, ¿cuándo contarás tu edad y tu historia?
Tu habitación tiene su fuente en agua clara. Una montaña retumba en ti.
Narrador en sueños, memoria con alas nuevas, ¿hay alguien detrás de ese bello rostro?

***

Nacieron otras savias
Así te hablan los jardines del sol y las flores de la estrella oscura que habita en tu corazón.
En este camino donde dormía tu casa, conoces toda la nieve en las ventanas y las canciones andrajosas en millones de años.
Surgiste de una sangre antigua.
En cada plaza de tu ciudad esculpas a los dioses de los ríos.

***

Aquí estoy la canción de otro país, otro tiempo, otro puerto.
Estoy aquí en el jardín por un momento. Pasa la hora y soy expulsado como un mendigo.
Aquí estoy la historia olvidada: abro libros cubiertos de terciopelo blanco para encontrar la flor inusual pintada sobre un fondo plateado.

***

Vivir de nuevo en las terrazas por donde caminaste
– Acechar el sueño de los árboles altos – Creer que estás solo en el laberinto de voces:
esta es mi obra clara.
Ahora me levantas, no me rompes contra el viento.
Me haces rama y agua corriente: este es tu trabajo suave y completo.

***

Ciudades enteras, eres el pasajero silenciado por los pájaros de cada calle, pero dejas las ciudades,
y he aquí, contigo van tus fábulas y tus esplendores.
(Es él, es él a quien amas – sus huellas en tu cuerpo y tus sábanas – él también se va, a veces ya no está
– Te revela tu belleza, tu amor y tu espejo – Oh, nunca destruyas la alegría … )
Pasando ciudades enteras y viviendo en el cielo de repente
– ¡Sí! ciudades enteras el pasajero que de pronto narra la ciudad imaginada, donde suenan todos los amores.

23:13 Écrit par Frédéric Tison dans Traductions, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

mercredi, 04 août 2021

En espagnol

 

 

A François C*

 

En ese entonces fuimos a pasear por el jardín del que algunas de las flores eran peligrosas. Por los caminos, un pájaro aquí y allá contestaba al silencio y al viento. Puentes diminutos cruzaban un agua clara.

Estábamos solos. Los árboles amaban. Nadie era más guapo que tú.

Era un jardín encaramado a las montañas con abetos de terciopelo. Y la ruta que allí nos había conducido seguía arriesgada a la vuelta.



Frédéric Tison, Nuages rois, « Ciels III », poème XVIII,  Librairie-Galerie Racine, collection Les Hommes sans Épaules, Paris, 2021.
Traduction de Sophie Charmoille.

 

 

 

22:20 Écrit par Frédéric Tison dans Lectures, Traductions, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

jeudi, 01 avril 2021

Petite annonce

 

 

Je suis à la recherche d'un traducteur en anglais, en chinois, en espagnol, en allemand, en latin, en russe, en grec, en finnois, en hongrois, en tchouvache, en télougou, en wu, en sanscrit, en hiéroglyphes (hiératiques ou non), en hébreu, en ojibaway, en mixtèque, en navajo, en nahuatl, en cachemiri, en sumérien, en kirghize, en cebuano, en maay, en danois, en frison, etc., de mes livres de poésie.

Je ne pourrai pas grandement le rétribuer pour ce travail, mais j'aurai des présents en échange : des peintures, des dessins ou des manuscrits originaux.

 

Veuillez me contacter ici.

 

 

samedi, 27 mars 2021

En italien

 

 

O solitario.
 
Nevicherà domani : oh quanto ansioso di arenarti, di placarti, di regnare sei — di arenarti lentamente tra le foglie e le pietre, di placarti al termine del sogno, di regnare bianco sulla terra.
 
O promesso sposo.
 

Frédéric Tison, La Table d'attente, éd. Librairie-Galerie Racine, collection Les Hommes sans Épaules, 2019. Livre III., poème V. Traduction de Claire Boitel.

 

 

 

06:05 Écrit par Frédéric Tison dans Lectures, Traductions, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

mercredi, 17 mars 2021

En italien

 

 

Credi tu alla neve — l'ho deposta anche sugli uccelli —, credi ad altri mausolei ? Sono soltanto una delle voci dell'inverno.

Ho fatto di mia pazienza l'ombra appena appena grigia logiatasi nelle finestre e nelle ali.

Credi tu ch'io sia solamente bella ? Sono la tristezza e il buttato del cielo, e conosco il tuo corpo come so le maschere e il morto uccello.

Mi senti quando si parla di silenzio, colui che ho inserito tra le pietre, sulla ruggine e tra i fiocchi di neve — prima che nasca un fiore ?

 

Frédéric Tison, Le Dieu des portes, éd. Librairie-Galerie Racine, collection Les Hommes sans Épaules, 2016. Cahier II., poème XXIII. Traduction de Claire Boitel.

 

 

 

17:06 Écrit par Frédéric Tison dans Lectures, Traductions, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |