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mardi, 23 mai 2017

Une carte double : La Quiétude IV, eau-forte d'Hiroko Okamoto, poème de Frédéric Tison

 

(Texte et image : Galerie Expression d'Aujourd'hui.)

 

 

 

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Parution d'une carte double, éditée par la Galerie Expression d'Aujourd'hui
en collaboration avec l'Association Okamoto

La Quiétude IV, eau-forte d'Hiroko Okamoto, poème de Frédéric Tison

 

 

Hiroko Okamoto est née en 1957 au Japon. Après avoir étudié la peinture à l'Université de Musashino à Tokyo, elle entre à l'Ecole des Beaux-Arts Sokel pour se spécialiser dans la gravure. Sa première exposition personnelle The Sweaters a lieu en 1981 à Tokyo. Elle était membre de l'Association japonaise de la gravure depuis 1982. Hiroko Okamoto expose au Japon, en France, en Italie et au Canada. Prématurément disparue dans sa cinquantième année, l'artiste japonaise laisse une œuvre riche et originale constituée de plus de 3 000 dessins et gravures à l'eau-forte.
À l'automne 2001, elle s'installe à Paris conformément à ses rêves de jeunesse. Elle débute alors une nouvelle série de dessins et de gravures sur le thème de la nature (arbres, feuillages, plantes). L'artiste grave alors à l'atelier de Chaville, puis dans l'Atelier Collectif de la Cité Internationale des Arts à Paris. En 2007, la ville de Saint-Ouen lui attribue un atelier. Cette même année elle part au Japon pour une exposition personnelle.
 
 
Carte d’art à 2 volets à 30 exemplaires, édition mai 2017.
Format fermé : 14,9 x 21 cm - format ouvert : 21 x 29,7 cm.
 
Prix : une carte 18 euros avec enveloppe -
deux cartes avec enveloppes 30 euros - trois cartes avec enveloppes 45 euros.

 

Galerie Expression d’Aujourd’hui
Contact@expressiondaujourdhui.fr
Expression d'aujourd'hui
32 rue Raspail
92300 Levallois Perret
+33 (0) 6 41 20 26 77 / www.expressiondaujourdhui.fr
 
 
 
 
 
 

08:17 Écrit par Frédéric Tison dans Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

dimanche, 23 avril 2017

Avec l'œil

 

 

 

 

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À la demande de ***, une photographie de votre serviteur avec Paul Farellier,
lors de la soirée au Théâtre Les Déchargeurs, à Paris, le samedi 22 avril 2017.

(Photographie : Norbert Crochet.)

 

 

 

 

La réunion des amis

 

 

 

 

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À l'issue de la soirée au Théâtre Les Déchargeurs, à Paris, le samedi 22 avril 2017.

De gauche à droite : Alain Breton, Adeline Baldacchino,
Christophe Dauphin, Frédéric Tison, Paul Farellier.

 

(Photographie : F. C.)

 

 

 

Au Théâtre Les Déchargeurs, à Paris, le samedi 22 avril 2017

 

 

 

 

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De gauche à droite :
Christophe Dauphin, Alain Breton,
Frédéric Tison, Paul Farellier, Adeline Baldacchino.

(Photographie : Norbert Crochet.)

 

C'était lors de cette soirée.

 

 

 

mardi, 18 avril 2017

Au Théâtre Les Déchargeurs, le samedi 22 avril 2017, à cinq heures du soir

(Nouvelle mise en ligne.)

 

 

J'aurai le plaisir de figurer auprès de Paul Farellier, Alain Breton et Christophe Dauphin lors de cette soirée consacrée à la revue Les Hommes sans Épaules, le samedi 22 avril prochain (à 17h) au Théâtre Les Déchargeurs à Paris.

Songez, si vous souhaitez vous y rendre, à réserver une place gratuite sur le site du Théâtre.

 

 

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16:48 Écrit par Frédéric Tison dans Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

vendredi, 14 avril 2017

Une note de lecture, par Bernard Fournier, sur 'Le Dieu des portes'

 

 

 

Je signale la publication d'une note de lecture de Bernard Fournier, de l'Académie Mallarmé, sur Le Dieu des portes (2016), dans la revue Poésie/Première, n° 67, mars 2017.

Elle est reproduite sur la page consacrée à l'ouvrage sur le site des Hommes sans Épaules, dans l'onglet "Presse" (La note se trouve tout en bas de la page).

 

 

 

11:51 Écrit par Frédéric Tison dans Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

mercredi, 05 avril 2017

Autour de 'Rues gris sable'

 

 

 

Jusqu'au 19 avril 2017, des images peintes
(acrylique sur photographies, multiples non identiques) de Sylvie Ledouxe
(dont certaines sont reproduites dans le livre d'artiste Rues gris sable)
sont en vente chez Patrice Pérasie, encadreur, au 41, rue Faidherbe à Paris XI
(Tél. : 01 43 79 59 74).
Ouverture du mardi au samedi, de 10h à 13h et de 14h à 19h.

 

 

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Photographies du mardi 4 avril 2017.

 

***

Se procurer Rues gris sable.

 

 

 

 

mardi, 04 avril 2017

Au théâtre le soir du 22 avril 2017

 

 

Samedi 22 avril 2017
Soirée Les Hommes sans Épaules
au Théâtre Les Déchargeurs

Lecture/Rencontre

 

Le Théâtre Les Déchargeurs, à l'occasion des vingt ans de la 3ème série, consacre une soirée à la revue Les Hommes sans Épaules, le samedi 22 avril 2017, à 17h.
Une soirée présentée et animée par Adeline Baldacchino, en présence de Christophe Dauphin, Paul Farellier, Alain Breton et Frédéric Tison.

 

Le Théâtre Les Déchargeurs

3, rue des Déchargeurs, Paris 1. Tél. : 01.42.36.00.50. Métro Châtelet.

 

Entrée gratuite sur réservation :

 

Lecture/Rencontre au Théâtre Les Déchargeurs.

 

 

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Pour les réservations gratuites.

 

 

 

 

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dimanche, 19 mars 2017

Lecture en ligne

 

 

 

Il y a un an et demi paraissaient quelques poèmes miens dans la revue en ligne Ce qui reste ; c'était là la deuxième fois, après que Recours au poème m'eut accueilli, que je confiais à une revue en ligne quelques écrits. Je reconnais avoir été réticent à la publication sur l'Internet de poèmes. Il me semble aujourd'hui (et Cécile A. Holdban, qui co-dirige la revue Ce qui reste, a grandement contribué à cela, par sa curiosité inlassable et sa bienveillance) qu'une revue en ligne sait proposer un autre regard, et ouvrir d'autres portes, sans concurrencer le livre de papier, en s'ajoutant plutôt à ce dernier :

 

Quatre poèmes et trois photographies.

 

 

 

 

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mardi, 07 mars 2017

Retour à Tübingen

 

 

 

Pour les curieux, qui voudraient lire ma petite étude "Killalusimeno sur les bords du Neckar (Notes sur le lieu, le temps, la poésie & Hölderlin à Tübingen)" parue dans le n° 43 de la revue de poésie Les Hommes sans Épaules avec, en regard, les photographies (dont deux figurent dans le numéro) qui furent prises parallèlement à l'écriture de cette étude :

 

Tübingen dans Les Lettres blanches.

 

 

 

 

 

mercredi, 01 mars 2017

Les Hommes sans Épaules n° 43

 

 

Parution du n° 43 de la revue de poésie Les Hommes sans Épaules.

 

Parmi de nombreuses et riches contributions, autour du dossier consacré à Lionel Ray par Paul Farellier, une petite étude (10 pages) de votre serviteur, "Killalusimeno sur les bords du Neckar (Notes sur le lieu, le temps, la poésie & Hölderlin à Tübingen)" :

 

 

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Se procurer la revue.

 

 

Extrait de l'éditorial, par Yves Bonnefoy :

« La poésie ? Ce n’est pas ajouter des livres à d’autres, sur des rayons de bibliothèque, pour faire avec eux une littérature, et son histoire, et de la culture, autrement dit de la mort, non, c’est tenter de rendre aux mots la pleine mémoire de ce qu’ils nomment : ces choses simples qui sont de l’infini, de la vie, quand on les perçoit dans leur immédiateté, mais que notre discours conceptualisé, tout analytique, remplace par ses schèmes, ses abstractions. Et ce projet, c’est évidemment une tâche qu’on n’en finira pas d’accomplir, puisque le langage ne peut prendre forme qu’en différenciant les figures dont il va faire son monde, ce qui le conduit à définir, classer, substituer des lois à des présences. La poésie tente de remonter ce courant, elle ne le peut, elle doit chercher des façons indirectes d’être la mémoire de l’immédiat, de réveiller l’être parlant de son sommeil conceptuel, et même ce travail du négatif, c’est difficile, c’est sans fin, d’autant que la pensée ambiante, dans des sociétés occupées à tout autre chose, cherche sans fin aussi à étouffer cette voix. Une situation où ce qui va importer surtout, c’est la lucidité de qui œuvre, son obstination à comprendre qu’il y a dans les mots, les pensées, même les émotions de chaque moment de sa vie, des forces qui le détournent de l’intuition qui l’anime... » (Inédit.)

 

 

 

 

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samedi, 18 février 2017

Une note de lecture, par Angèle Paoli, sur 'Le Dieu des portes'

 

 

 

Le Dieu des portes se voit honoré d'une note de lecture subtile et sensible,

par Angèle Paoli,

dans sa revue Terres de femmes.

 

C'est ici.

 

 

 

 

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mardi, 07 février 2017

Un poème de 'Rues gris sable'

 

 

En novembre 2016 paraissait un livre d'artiste, Rues gris sable, dont voici un extrait :

 

____________

 

 

C’est comme cela que règne le soir
Au loin, dans le ciel, versant ses arènes
Noires et ses derniers soleils.
Ta lampe est une étoile plus pâle

Ton visage un automne plus frêle
Sous la voûte où dérivent les êtres sombres.
Touche de ta main le soir qui vient

C’est ainsi que se brisent les miroirs.

 

 

Extrait (poème V.) de Rues gris sable, livre d'artiste, poèmes de Frédéric Tison, images de Sylvie Ledouxe, 2016.

 

 

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mercredi, 01 février 2017

Rues gris sable : un livre d'artiste, par Frédéric Tison & Sylvie Ledouxe

 

 

 

 

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Ce livre d'artiste est l'histoire d'une rencontre et d'une longue amitié entre Sylvie Ledouxe, artiste peintre et photographe, et Frédéric Tison.

 

Au commencement, un poème en prose fut écrit à propos d'une image. L'idée d'un livre d'artiste mûrit ; en 2015 il fut élaboré peu à peu, et il prit forme en 2016. Le voici.

 

Rues gris sable, dialogue entre des photographies peintes et des poèmes en vers et en prose, est disponible uniquement auprès des auteurs, au prix coûtant de 49 euros l'unité, frais de port compris (paiement par chèque).

 

Chaque exemplaire est imprimé à la demande et signé par les auteurs.

 

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Pour le commander, veuillez user du formulaire de contact de ce blogue.

 

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Rues gris sable


poèmes de Frédéric Tison, images de Sylvie Ledouxe


42 pages, format paysage 25x20 cm, couverture rigide, illustrations en couleurs,
papier satiné, impression par Blurb Inc., Chez les auteurs, 2016.

__________

 

 

frédéric tison,sylvie ledouxe,rues gris sable

 

 

frédéric tison,sylvie ledouxe,rues gris sable

 

 

 

 

jeudi, 19 janvier 2017

En mars prochain

 

 

 

À paraître en mars 2017, le numéro 43 des Cahiers littéraires Les Hommes sans Épaules
(où figure une petite étude de votre serviteur,
« Killalusimeno sur les bords du Neckar
(Notes sur le lieu, le temps, la poésie & Hölderlin à Tübingen) »)

 

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Le sommaire.

 

 

 

 

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