mardi, 13 octobre 2020
Un concerto du roi de Prusse
Frédéric II, roi de Prusse (1712-1786), Concerto pour flûte n°4 en ré majeur,
Flûte et direction : Kurt Redel, avec le Pro Arte Orchester de Munich.
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samedi, 10 octobre 2020
Ô les chants des matelots !
Déodat de Séverac (1872-1921), Trois Souvenirs : II. Chants des matelots. Andantino (1919),
Orchestre de la Suisse Romande, dirigé par Roberto Benzi.
(J'aurai rarement écouté une musique aussi légère, élégante et profonde à la fois que celle-ci, avec les volutes de ses violons frémissants.)
16:51 Écrit par Frédéric Tison dans Autour de la musique, Crayonné dans la marge, J'aurai aimé, Un concert sur un blogue | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
dimanche, 16 février 2020
Pour un dimanche profond, une des plus belles cantates du monde
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Buxtehude, Alleluia (Der Herr is mit mir),
Orchestra Anima Eterna & Royal Consort Collegium Vocale.
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10:29 Écrit par Frédéric Tison dans Un concert sur un blogue | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
vendredi, 29 novembre 2019
Moment
C'est en écoutant une émission de Radio Classique, qui diffuse parfois du jazz, que je découvris il y a peu ce morceau qui, dans cette interprétation, me sembla un moment de grâce. Il faut écouter jusqu'au bout, sans hésiter à monter le son, cette pièce étonnante, légère, profonde et grave par endroits. Moi qui n'écoute guère que de la musique dite classique, je me suis même procuré le disque complet, où figurent d'autres morceaux presque aussi beaux, que j'écoute désormais entre Ravel, Satie et Debussy, même si mes préférences n'ont pas changé...
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Brad Mehldau Trio, And I Love Her, dans Blues and Ballads
(℗ 2016 Nonesuch Records Inc.) ;
piano : Brad Mehldau ; batterie : Jeff Ballard ; basse : Larry Grenadier ;
écrit par John Lennon & Paul McCartney, enregistré en 2012.
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dimanche, 24 novembre 2019
Du voyage et de la magnificence
Quelle musique ! Par sa légèreté profonde, par son élégance suprême, elle inspire également, après son écoute, toute l'écriture — elle exprime l'esprit du voyage et la magnificence, qui manquent toujours et qu'il faut traquer sans cesse.
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Jean Sibelius (1865-1957), Le Roi Christian II, Suite, I : Nocturne.
New Zealand Symphony Orchestra dirigé par Pietari Inkinen.
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mardi, 19 novembre 2019
L'un des plus beaux tableaux du monde
Arnold Böcklin (1827-1901), L'Île des Morts (première version, 1880),
au musée des beaux-arts de Bâle, en Suisse,
photographie : octobre 2018.
Sergueï Rachmaninoff, L'Île des Morts, poème symphonique,
Royal Stockholm Philharmonic Orchestra dirigé par Sir Andrew Davis
(avec, en illustration, L'Île des Morts d'Arnold Böcklin,
version (1884) se trouvant à l'Ermitage, à Saint-Pétersbourg.)
06:13 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard, Un concert sur un blogue | Tags : frédéric tison, photographie, arnold böcklin, l'ile des morts | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
jeudi, 04 juillet 2019
Si seulement
Sergueï Rachmaninoff, Concerto pour piano n°2 (1900-1901),
Arthur Rubinstein, piano ;
Orchestre symphonique de Chicago dirigé par Fritz Reiner, 1956.
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samedi, 08 juin 2019
Une autre version
Philip Glass (1937-), Étude pour piano n° 6. Andrew Chubb, piano (2010).
13:18 Écrit par Frédéric Tison dans Un concert sur un blogue | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook |
vendredi, 07 juin 2019
Il y a quelqu'un
Philip Glass (1937-), Étude pour piano n° 6.
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mardi, 19 février 2019
Une belle symphonie méconnue
Erich Wolfgang Korngold (1897-1957), Symphonie en fa dièse majeur (1953),
par le Nordwestdeutsche Philharmonie dirigé par Werner Andreas Albert.
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