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jeudi, 19 octobre 2017

Extraits de 'Rues gris sable' dans le numéro 44 de la revue Les Hommes sans Épaules

 

 

 

 

Je signale la parution de trois poèmes miens, accompagnés d'une image de Sylvie Ledouxe,

poèmes et image issus du livre d'artiste Rues gris sable (2016)

dans le numéro 44 de la revue Les Hommes sans Épaules, octobre 2017.

 

 

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06:19 Écrit par Frédéric Tison dans Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

mardi, 17 octobre 2017

Quatuor

 

 

 

 

Ondes de choc - 16 octobre 2017 - 1.JPG

 

Jehan van Langhenhoven, Christophe Dauphin
(présentant le numéro 44 des
Hommes sans Épaules),
Frédéric Tison et Odile Cohen-Abbas,
dans les studios parisiens de Radio Libertaire,
lors de l'émission "Ondes de choc" du lundi 16 octobre 2017.

 

 

 

 

vendredi, 13 octobre 2017

Christophe Dauphin et Frédéric Tison sur Radio Libertaire, le lundi 16 octobre 2017

 

 

 

 

Radio Libertaire - annonce.PNG

 

 (Source)

 

 

 

 

 

 

dimanche, 08 octobre 2017

Archive sonore

 

 

 

 



 (c) Archives du Cercle Aliénor. Tous droits réservés.

 

Enregistrement sonore de la séance du 10 décembre 2016,
à la brasserie Lipp, lors de la remise du Prix Aliénor au Dieu des portes, par Frédéric Tison.

Avec Béatrice Marchal, Colette Klein, Guy Chaty, Michel Passelergue,
Bernard Fournier,
Jean-François Blavin, Frédéric Tison.

 

 

 

 

 

mercredi, 27 septembre 2017

Trois cartes d'art : eaux-fortes de Hiroko Okamoto & poèmes de Frédéric Tison

 

 

 

 

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Trois cartes "Hiroko Okamoto" d'après des eaux-fortes, 
poèmes de Frédéric Tison,
édition Galerie Expression d'Aujourd'hui, 2017

 

 

Après le vernissage du 26 septembre, l'exposition "Quiétude" se poursuit jusqu'au jeudi 19 octobre 2017.

 

Pour acquérir les cartes, veuillez suivre ce lien.

 

 

16:32 Écrit par Frédéric Tison dans Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (3) |  Facebook |

lundi, 25 septembre 2017

Vernissage, le mardi 26 septembre 2017

 

 

 

Vernissage de l'exposition
" Quiétude "
en présence de Michel Cornu, de l'Association Hiroko Okamoto
et de Frédéric Tison

le mardi 26 septembre 2017 de 18h à 21h

au Couvent des Dominicains
222, rue du faubourg Saint-Honoré à Paris VIII,
(métro Ternes ou Charles De Gaulle - Étoile).

 

 

 

jeudi, 21 septembre 2017

Parution de trois cartes "Hiroko Okamoto", poèmes de Frédéric Tison, édition Galerie Expression d'Aujourd'hui

 

 

Texte et photographies : Galerie Expression d'Aujourd'hui - Christophe Gohée.

 

 

 

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Trois cartes "Hiroko Okamoto"
d'après des eaux-fortes - poèmes de Frédéric Tison,
édition Galerie Expression d'Aujourd'hui, 2017.


 

Hiroko Okamoto est née en 1957 au Japon. Après avoir étudié la peinture à l'Université de Musashino à Tokyo, elle entre à l'Ecole des Beaux-Arts Sokel pour se spécialiser dans la gravure. Sa première exposition personnelle The Sweaters a lieu en 1981 à Tokyo. Elle était membre de l'Association japonaise de la gravure depuis 1982. Hiroko Okamoto expose au Japon, en France, en Italie et au Canada. Prématurément disparue dans sa cinquantième année, l'artiste japonaise laisse une œuvre riche et originale constituée de plus de 3 000 dessins et gravures à l'eau-forte.
 
À l'automne 2001, elle s'installe à Paris conformément à ses rêves de jeunesse. Elle débute alors une nouvelle série de dessins et de gravures sur le thème de la nature (arbres, feuillages, plantes). L'artiste grave alors à l'atelier de Chaville, puis dans l'Atelier Collectif de la Cité Internationale des Arts à Paris. En 2007, la ville de Saint-Ouen lui attribue un atelier. Cette même année elle part au Japon pour une exposition personnelle.
 
***
 
En partenariat avec l’Association Hiroko Okamoto et Frédéric Tison, parution de trois nouvelles cartes “ Hiroko Okamoto “.
 
Prix de lancement jusqu’au 19 octobre 2017
Une carte 18 € avec enveloppe + frais de port 1,46 € = 19,46 €
Deux cartes 30 € avec enveloppe + frais de port 1,46 € = 31, 46 €
Trois cartes 45 € avec enveloppe + frais de port 2,92 € = 47,92 €
 
Tirages limités à 50 exemplaires numérotés et signés par Frédéric Tison
- une édition Galerie Expression d’Aujourd’hui 2017.
 
Galerie Expression d’Aujourd’hui
E-mail: contact@expressiondaujourdhui.fr
Site de la galerie: www.expressiondaujourdhui.fr

 

 

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Carte Hiroko Okamoto, "La Quiétude IV",
d'après une eau-forte de 2006 - poème de Frédéric Tison.
 
 
 

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Carte Hiroko Okamoto, "La Pluie III",
d'après une eau-forte de 2005 - poème de Frédéric Tison.
 
 
 
 

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Carte Hiroko Okamoto, "Distance I",
d'après une eau-forte de 2005 - poème de Frédéric Tison.

 

 

 

 

 

lundi, 11 septembre 2017

Christophe Dauphin et Frédéric Tison sur Radio Libertaire

 

 

 

Christophe Dauphin et Frédéric Tison
seront les invités de Jehan van Langhenhoven

 

à l'occasion des vingt ans de la troisième série de la revue Les Hommes sans Épaules et la publication d’Amer carnaval (Les Hommes sans Épaules éd.) de Nanos Valaoritis ;
pour la parution de l'ouvrage Le Dieu des portes (collection Les Hommes sans Épaules,
éd. Librairie-Galerie Racine, Prix Aliénor 2016)


le lundi 16 octobre 2017

de 14h30 à 16h  


dans l'émission "Ondes de choc" (magazine culturel)

de Radio Libertaire

fréquence 89.4 Mhz FM (Île-de-France)

ou sur le site de la radio
rubrique "écouter en direct".

 

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Grille des programmes : lundi.


 

 

 

vendredi, 08 septembre 2017

Trois cartes d'art : eaux-fortes d'Hiroko Okamoto & poèmes de Frédéric Tison

 

 

 

 

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Trois cartes d'art,
estampes de Hiroko Okamoto (1957-2007),
poèmes de Frédéric Tison,
Galerie Expression d'Aujourd'hui, mai et septembre 2017,
signées et numérotées

 

à découvrir lors du Vernissage de l'exposition
" Quiétude " le mardi 26 septembre 2017 .

 

 

 

 

mercredi, 06 septembre 2017

Exposition "Quiétude"

 

 

 

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Vernissage de l'exposition
" Quiétude "
en présence de Michel Cornu, de l'Association Hiroko Okamoto
et de Frédéric Tison

le mardi 26 septembre 2017 de 18h à 21h

au Couvent des Dominicains
222, rue du faubourg Saint-Honoré à Paris VIII,
(métro Ternes ou Charles De Gaulle - Étoile).



Nouvelles gravures et dessins de Michel Cornu,
estampes de Hiroko Okamoto,
édition de trois cartes " Hiroko Okamoto "
avec des poèmes de Frédéric Tison
signées et numérotées.

 

 

 

 

 

mercredi, 30 août 2017

Entretien avec Jean-Paul Gavard-Perret

 

 

Qu’est-ce qui vous fait lever le matin ?
L’espoir d’une ren­contre : avec un livre, un pay­sage ou un être aimé.

Que sont deve­nus vos rêves d’enfant ?
Il me semble en avoir davan­tage aujourd’hui que lorsque j’étais enfant ; d’ailleurs, je ne me sou­viens plus de ces rêves.

À quoi avez-vous renoncé ?
À voir l’ensemble des pays, des villes, des palais, des lacs et des mers du monde.

D’où venez-vous ?
Je l’ignore. C’est pour moi une ques­tion vertigineuse.

Qu’avez-vous reçu en « héri­tage » ?
La langue française.

Qu’avez-vous dû “pla­quer” pour votre tra­vail ?
La pra­tique du piano, faute de temps.

Un petit plai­sir – quo­ti­dien ou non ?
Boire une tasse de café, atta­blé à la ter­rasse d’une bras­se­rie, et ne rien faire d’autre qu’observer le monde qui passe.

Qu’est-ce qui vous dis­tingue des autres poètes ?
Rien de plus, rien de moins que ce qui dis­tingue un homme d’un autre homme : si peu de choses, et tant de choses !

Com­ment définiriez-vous votre manière d’aborder le tra­vail avec des artistes ?
Je pense être curieux de la créa­tion contem­po­raine ; je ne cesse d’arpenter les gale­ries d’art à la recherche de ce qui m’est encore inconnu. Je me sens très humble devant le savoir-faire des artistes dont les œuvres me plaisent : si j’écris quelques mots en rela­tion avec ces œuvres, c’est pour ins­tau­rer une forme de dia­logue, comme on parle en poé­sie d’un chant amé­bée ; aussi dirai-je qu’il s’agit essen­tiel­le­ment d’un échange et d’un par­tage de regards.

Quelle fut l’image pre­mière qui esthé­ti­que­ment vous inter­pella ?
Je crois bien que ce furent les pein­tures du pla­fond de la Gale­rie des Glaces du châ­teau de Ver­sailles ; je devais avoir huit ou neuf ans.

Et votre pre­mière lec­ture ?
Ma pre­mière « vraie » lec­ture fut cer­tai­ne­ment, à l’adolescence, celle des « Fleurs du mal ».

Quelles musiques écoutez-vous ?
J’aime presque toute la musique, de Guillaume de Machaut à Arvo Pärt, même si mes plus grandes amours vont à Pur­cell, Bach, Mozart, Tchaï­kovski, Sibe­lius, Ravel et Debussy.

Quel est le livre que vous aimez relire ?
Il y en a plu­sieurs : la Bible, les Méta­mor­phoses d’Ovide et Les Fêtes galantes de Ver­laine. J’aime aussi beau­coup me replon­ger dans Héro­dote, dont L’Enquête est inépuisable.

Quel film vous fait pleu­rer ?
Je fus bou­le­versé par Je suis le Sei­gneur du châ­teau, de Régis Wargnier.

Quand vous vous regar­dez dans un miroir qui voyez-vous ?
Quelqu’un qui s’étonne de dire « je ».

À qui n’avez-vous jamais osé écrire ?
Écrire, et publier, c’est oser s’adresser à tous.

Quel(le) ville ou lieu a pour vous valeur de mythe ?
« Mythe » est peut-être un terme un peu trop fort, mais je dirais la ville de Tübin­gen, où Höl­der­lin vécut ses der­niers jours, Ninive, l’ancienne ville de l’Assyrie, et les plages et les ports de la côte nor­mande, qui sont pour moi des lieux presque satu­rés de sou­ve­nirs, de légendes, d’histoire et de beauté.

Quels sont les écri­vains et artistes dont vous vous sen­tez le plus proche ?
Parmi les étoiles les plus brillantes de ma constel­la­tion d’écrivains figurent Ovide, les roman­ciers médié­vaux de la Quête du Graal, Pétrarque, Mau­rice Scève, Fré­dé­ric Höl­der­lin, Charles Bau­de­laire, Paul Ver­laine, Sté­phane Mal­larmé, Guillaume Apol­li­naire, Pierre Jean Jouve, Anto­nin Artaud, Fran­çois Augié­ras, Mar­gue­rite Your­ce­nar, Paul Gadenne, Paul Farel­lier ; et, dans mon musée ima­gi­naire, je place les peintres chi­nois des périodes clas­siques, les minia­tu­ristes per­sans, Fra Ange­lico, Carlo Cri­velli, Herri met de Bles, Rem­brandt, Claude Gel­lée, Hubert Robert, Georges Michel, Gus­tave Moreau, Edvard Munch, Nico­las de Staël… sans oublier les peintres, gra­veurs et pho­to­graphes (Syl­vie Ledouxe, Damien Bro­hon, Sophie Cour­tant, Renaud Alli­rand, Marc Tan­guy, Danielle Ber­thet) avec les­quels j’eus le plai­sir de conce­voir des cartes d’art et des livres d’artiste.

Qu’aimeriez-vous rece­voir pour votre anni­ver­saire ?
Un exem­plaire de l’édition ori­gi­nale (1544) de Délie, Objet de plus haute vertu, de Mau­rice Scève. Un don­jon du XIIIe ou du XIVe siècle, dans un grand parc, me ferait grand plai­sir aussi.

Que défendez-vous ?
La langue fran­çaise, les pay­sages, les belles demeures ; la poé­sie et les arts de tous les siècles et de tous les pays.

Que vous ins­pire la phrase de Lacan : “L’Amour c’est don­ner quelque chose qu’on n’a pas à quelqu’un qui n’en veut pas”?
J’en pense que trop par­ler de l’amour est suspect.

Que pensez-vous de celle de W. Allen : “La réponse est oui mais quelle était la ques­tion ?“
Elle me fait pen­ser aux mots d’Angelus Sile­sius : « La rose est sans pourquoi ».

Quelle ques­tion ai-je oublié de vous poser ?
Qu’est-ce qu’un poème ?

 

Entretien et pré­sen­ta­tion réa­li­sés par Jean-Paul Gavard-Perret pour lelitteraire.com, le 20 août 2017.

 

 

12:42 Écrit par Frédéric Tison dans Entretiens, Revues, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

mardi, 29 août 2017

Un entretien avec Jean-Paul Gavard-Perret

 

 

 

Un entretien avec Jean-Paul Gavard-Perret, sur le site Lelitteraire.

 

 

 

 

 

 

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vendredi, 18 août 2017

"Lettre à la nuit" : une note de lecture

 

 

 

Je signale une note de lecture, par Jean-Paul Gavard-Perret,
sur Lettre à la nuit,
un livre d'artiste conçu avec l'artiste peintre, graveur et photographe Danielle Berthet,
sur le site Lelittéraire.com.

 

C'est ici.

 

 

 

 

16:06 Écrit par Frédéric Tison dans Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

samedi, 12 août 2017

"Lettre à la nuit" : un livre d'artiste

 

 

 

J'ai le plaisir d'annoncer la parution d'un livre d'artiste en collaboration avec l'artiste peintre, graveur et photographe Danielle Berthet : Lettre à la nuit, notes en marge d'un texte effacé, dans la collection Apostilles. L'ouvrage, conçu par l'artiste dans son atelier, est composé, en couverture, de deux images de Danielle Berthet et, dans les pages intérieures, exclusivement de notes de bas de page.

 

 

Danielle Berthet & Frédéric Tison

Lettre à la nuit

notes en marge d'un texte effacé

 

collection "Apostilles"

édition de 12 exemplaires signés et numérotés

20 euros l'exemplaire

 

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Pour le commander, veuillez m'adresser un message via le formulaire de contact de ce blogue.

 

 

 

 

jeudi, 29 juin 2017

Dans une Anthologie

 

 

 

Deux poèmes issus du Dieu des portes figurent dans l'Anthologie L'Oubli,
dans le cadre des Rencontres estivales 2017 de la revue Nunc, Présences à Frontenay :

 

Sommaire de l'Anthologie L'Oubli.

 

 

 

 

 

11:03 Écrit par Frédéric Tison dans Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |