Une rencontre à Saint-Mandé

 

 

25 novembre 2017 / 14h30

Rencontre avec Frédéric Tison à Saint-Mandé

_____________

L’association Arts et Jalons organise, le samedi 25 novembre 2017,
à 14h30 au Centre Pierre Cochereau
(2 avenue Gambetta, 94160 Saint-Mandé. Métro (ligne 1) : Saint-Mandé Tourelles),
une rencontre avec Frédéric Tison, qui sera présenté par Jean-Louis Bernard. Entrée libre.

Contact et renseignements : [e-mail]

 

 ___________

 ___

 

 http://www.leshommessansepaules.com/evenement-evenement-e...

 

 

 

 

Une note de lecture de Jean-Louis Bernard

 

 

 

Je signale la publication d'une note de lecture de Jean-Louis Bernard sur Le Dieu des portes (2016), dans la revue Diérèse, n° 70, juin 2017.

Elle est reproduite (avec l'autorisation de l'auteur) sur la page consacrée à l'ouvrage sur le site des Hommes sans Épaules, dans l'onglet "Presse" (il faut cliquer, sous la photographie de la couverture du livre, sur cet onglet et dérouler toute la page jusqu'en bas) :

 

C'est ici.

 

 

 

 

Une carte d'art

 

 

 

 

 

La Quiétude IV, eau-forte d'Hiroko Okamoto,
poème de Frédéric Tison,
carte d'art,
édition Galerie Expression d'Aujourd'hui, mai 2017.

 

 

La carte d'art à laquelle j'ai eu le plaisir de collaborer est désormais disponible directement sur le site de la Galerie Expression d'Aujourd'hui.

 

Précisions sur les commandes :

1 carte : 18 € + 1,46 € de frais de port
Règlement à adresser à : Galerie Expression d'Aujourd'hui
32, rue Raspail
92300 Levallois Perret
Vous pouvez également écrire à [e-mail]

 

 

 

 

 

 

Une librairie

 

 

 

Il est désormais possible de commander en ligne, sur le site rénové de la Librairie-Galerie Racine, trois de mes livres publiés chez cet éditeur :

 

 

https://commandes-editions-lgr.fr/page/8

 

 

 

 

 

 

 

Un rendez-vous

 

 

 

Chers amis et lecteurs, poètes ou amis du poème, je me rendrai au Marché de la poésie, place Saint-Sulpice à Paris, le samedi 10 juin prochain. L'éditeur de mes livres n'y sera pas représenté, aussi irai-je de stand en stand dès une heure de l'après-midi jusqu'à quatre heures environ. N'hésitez pas à me signaler, dans un commentaire ici ou dans un message privé, quand vous y serez vous-mêmes et où : je passerai très volontiers vous voir. Au plaisir de vous rencontrer.

D'autre part, je me ferais une joie, si vous apportez en ces lieux votre exemplaire du Dieu des portes, toujours disponible ci-dessous, de vous le dédicacer sur un banc, la margelle de la fontaine Saint-Sulpice ou l'aile d'un oiseau.

 

Le Dieu des portes sur le site des Hommes sans Épaules.

 

 

 

 

Une carte double : La Quiétude IV, eau-forte d'Hiroko Okamoto, poème de Frédéric Tison

 

(Texte et image : Galerie Expression d'Aujourd'hui.)

 

 

 

 

Parution d'une carte double, éditée par la Galerie Expression d'Aujourd'hui
en collaboration avec l'Association Okamoto

La Quiétude IV, eau-forte d'Hiroko Okamoto, poème de Frédéric Tison

 

 

Hiroko Okamoto est née en 1957 au Japon. Après avoir étudié la peinture à l'Université de Musashino à Tokyo, elle entre à l'Ecole des Beaux-Arts Sokel pour se spécialiser dans la gravure. Sa première exposition personnelle The Sweaters a lieu en 1981 à Tokyo. Elle était membre de l'Association japonaise de la gravure depuis 1982. Hiroko Okamoto expose au Japon, en France, en Italie et au Canada. Prématurément disparue dans sa cinquantième année, l'artiste japonaise laisse une œuvre riche et originale constituée de plus de 3 000 dessins et gravures à l'eau-forte.

À l'automne 2001, elle s'installe à Paris conformément à ses rêves de jeunesse. Elle débute alors une nouvelle série de dessins et de gravures sur le thème de la nature (arbres, feuillages, plantes). L'artiste grave alors à l'atelier de Chaville, puis dans l'Atelier Collectif de la Cité Internationale des Arts à Paris. En 2007, la ville de Saint-Ouen lui attribue un atelier. Cette même année elle part au Japon pour une exposition personnelle.

 

 

Carte d’art à 2 volets à 30 exemplaires, édition mai 2017.

Format fermé : 14,9 x 21 cm - format ouvert : 21 x 29,7 cm.

 

Prix : une carte 18 euros avec enveloppe -
deux cartes avec enveloppes 30 euros - trois cartes avec enveloppes 45 euros.

 

Galerie Expression d’Aujourd’hui

[e-mail]

Expression d'aujourd'hui

32 rue Raspail

92300 Levallois Perret

[phone] / www.expressiondaujourdhui.fr

 

 

 

 

 

 

Avec l'œil

 

 

 

 

 

À la demande de ***, une photographie de votre serviteur avec Paul Farellier,
lors de la soirée au Théâtre Les Déchargeurs, à Paris, le samedi 22 avril 2017.

(Photographie : Norbert Crochet.)

 

 

 

 

La réunion des amis

 

 

 

 

 

À l'issue de la soirée au Théâtre Les Déchargeurs, à Paris, le samedi 22 avril 2017.

De gauche à droite : Alain Breton, Adeline Baldacchino,
Christophe Dauphin, Frédéric Tison, Paul Farellier.

 

(Photographie : F. C.)

 

 

 

Au Théâtre Les Déchargeurs, à Paris, le samedi 22 avril 2017

 

 

 

 

 

De gauche à droite :
Christophe Dauphin, Alain Breton,
Frédéric Tison, Paul Farellier, Adeline Baldacchino.

(Photographie : Norbert Crochet.)

 

C'était lors de cette soirée.

 

 

 

Au Théâtre Les Déchargeurs, le samedi 22 avril 2017, à cinq heures du soir

(Nouvelle mise en ligne.)

 

 

J'aurai le plaisir de figurer auprès de Paul Farellier, Alain Breton et Christophe Dauphin lors de cette soirée consacrée à la revue Les Hommes sans Épaules, le samedi 22 avril prochain (à 17h) au Théâtre Les Déchargeurs à Paris.

Songez, si vous souhaitez vous y rendre, à réserver une place gratuite sur le site du Théâtre.

 

 

 

 

 

Une note de lecture, par Bernard Fournier, sur 'Le Dieu des portes'

 

 

 

Je signale la publication d'une note de lecture de Bernard Fournier, de l'Académie Mallarmé, sur Le Dieu des portes (2016), dans la revue Poésie/Première, n° 67, mars 2017.

Elle est reproduite sur la page consacrée à l'ouvrage sur le site des Hommes sans Épaules, dans l'onglet "Presse" (La note se trouve tout en bas de la page).

 

 

 

Autour de 'Rues gris sable'

 

 

 

Jusqu'au 19 avril 2017, des images peintes
(acrylique sur photographies, multiples non identiques) de Sylvie Ledouxe
(dont certaines sont reproduites dans le livre d'artiste Rues gris sable)
sont en vente chez Patrice Pérasie, encadreur, au 41, rue Faidherbe à Paris XI
(Tél. : [phone]).
Ouverture du mardi au samedi, de 10h à 13h et de 14h à 19h.

 

 

 

 

Photographies du mardi 4 avril 2017.

 

***

Se procurer Rues gris sable.

 

 

 

 

Au théâtre le soir du 22 avril 2017

 

 

Samedi 22 avril 2017
Soirée Les Hommes sans Épaules
au Théâtre Les Déchargeurs

Lecture/Rencontre

 

Le Théâtre Les Déchargeurs, à l'occasion des vingt ans de la 3ème série, consacre une soirée à la revue Les Hommes sans Épaules, le samedi 22 avril 2017, à 17h.
Une soirée présentée et animée par Adeline Baldacchino, en présence de Christophe Dauphin, Paul Farellier, Alain Breton et Frédéric Tison.

 

Le Théâtre Les Déchargeurs

3, rue des Déchargeurs, Paris 1. Tél. : [phone]. Métro Châtelet.

 

Entrée gratuite sur réservation :

 

Lecture/Rencontre au Théâtre Les Déchargeurs.

 

 

 

Pour les réservations gratuites.

 

 

 

 

Lecture en ligne

 

 

 

Il y a un an et demi paraissaient quelques poèmes miens dans la revue en ligne Ce qui reste ; c'était là la deuxième fois, après que Recours au poème m'eut accueilli, que je confiais à une revue en ligne quelques écrits. Je reconnais avoir été réticent à la publication sur l'Internet de poèmes. Il me semble aujourd'hui (et Cécile A. Holdban, qui co-dirige la revue Ce qui reste, a grandement contribué à cela, par sa curiosité inlassable et sa bienveillance) qu'une revue en ligne sait proposer un autre regard, et ouvrir d'autres portes, sans concurrencer le livre de papier, en s'ajoutant plutôt à ce dernier :

 

Quatre poèmes et trois photographies.

 

 

 

 

Retour à Tübingen

 

 

 

Pour les curieux, qui voudraient lire ma petite étude "Killalusimeno sur les bords du Neckar (Notes sur le lieu, le temps, la poésie & Hölderlin à Tübingen)" parue dans le n° 43 de la revue de poésie Les Hommes sans Épaules avec, en regard, les photographies (dont deux figurent dans le numéro) qui furent prises parallèlement à l'écriture de cette étude :

 

Tübingen dans Les Lettres blanches.