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jeudi, 30 avril 2020

La ville enchantée

 

 

 

Désormais, on voit des canards et des cygnes se promener dans les rues de Paris. Et tous les oiseaux chantent à tue-tête, par ma fenêtre. 

 

 

 

 

14:37 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

lundi, 20 avril 2020

L'Éveil

 

 

 

 

l'éveil.jpg

 

L'Éveil, Paris, par ma fenêtre,
photographie : 20 avril 2020, cinq heures du matin.

 

 

Une fenêtre s'éveille parfois devant une autre qui ne dort plus.

 

 

 

lundi, 13 avril 2020

Autoportrait dans un miroir convexe

 

 

 

 

20200413_023332.jpg

 

Autoportrait dans un miroir convexe, la nuit,
photographie : avril 2020.

 

(Je lisais une monographie consacrée à Georges de La Tour, dont j'aime les scènes nocturnes et solitaires, éclairées par quelque bougie... Puis j'ai croisé mon regard dans ce miroir convexe accroché à côté de mon bureau, et c'est ainsi que cette photographie est née, fortuitement !)

 

 

vendredi, 10 avril 2020

Recouvrir

 

 

La musique recouvre la vie. 

 

 

 

dimanche, 26 janvier 2020

Jamais assez

 

 

 

Il n'y a jamais assez de soleils. C'est ce que sait celui qui a aimé.

 

 

 

dimanche, 19 janvier 2020

Minuscule

 

 

 

 Je peins le manque.

 

 

 

19:49 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

samedi, 18 janvier 2020

Où es-tu ?

 

 

 

Où es-tu.jpg

Frédéric Tison, Où es-tu ?
encres et aquarelle sur papier grain nuage,

18 x 24 cm, janvier 2020.

 

(On pense à quelqu'un de gentil, de spirituel et de sensuel ; et l'on se dit « Mais où es-tu ? »)

 

 

 

 

11:36 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

jeudi, 16 janvier 2020

Des nuits d'insomnie et du poème

 

 

C'est durant les nuits d'insomnie, vers deux, trois ou quatre heures, qu'il faut relire les poèmes aimés ou ceux que l'on a écrits : c'est ainsi que l'on sait s'ils « tiennent la route ».

 

 

 

jeudi, 26 décembre 2019

Les étoiles

 

 

 

Toujours, à la campagne, il me semble que je me souviens des étoiles de la voûte céleste une fois que la nuit est tombée, ces étoiles que le citadin que je suis ne voit presque plus jamais.

 

 

 

09:34 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (1) |  Facebook |

vendredi, 06 décembre 2019

De la musique

 

 

 

Il y a la musique aussi parce que la tendresse absolue n'est pas.

 

 

 

 

dimanche, 24 novembre 2019

Du voyage et de la magnificence

 

 

 

Quelle musique ! Par sa légèreté profonde, par son élégance suprême, elle inspire également, après son écoute, toute l'écriture — elle exprime l'esprit du voyage et la magnificence, qui manquent toujours et qu'il faut traquer sans cesse.

 

_______________

 

 

Jean Sibelius (1865-1957), Le Roi Christian II, Suite, I : Nocturne.
New Zealand Symphony Orchestra dirigé par Pietari Inkinen.

 

 

 

 

lundi, 04 novembre 2019

De l'ennui

(Pour Odile Cohen-Abbas, qui me demandait une définition de l'ennui.)

 

 

L'ennui : un désir inachevé.

 

 

 

 

 

04:24 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (4) |  Facebook |

jeudi, 24 octobre 2019

De la musique

 

 

La Musique est parfois l'expression du temps étrange de l'attente.

 

 

 

mercredi, 25 septembre 2019

Le désert

 

 

 

« La poésie est un langage en érection », écrivait le poète Georges Séféris, le mot d'érection étant à entendre, naturellement, en ses multiples sens. Il semble hélas que le simple fait d'être un auteur, ou celui qu'on l’apprenne soudain, fassent fuir ou effraient ; le poète et son poème forment un corps d'attente et de désir dans une chambre vide ou brusquement désertée.

 

 

 

dimanche, 18 août 2019

Pierres

 

 

Les livres qui siègent ou grimpent sur mes murs sont les pierres de mon château absent.