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samedi, 22 mars 2014

Lignes

 

 

 

 

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Le portail du château de Champs, à Champs-sur-Marne, en Seine-et-Marne,
photographie : février 2014.

 

 

 

 

vendredi, 21 mars 2014

Nu sur une feuille

 

 

 

 

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Eugène Delacroix, Étude d'homme nu et vu de dos, détail,
 aquarelle sur traits de graphite (1822),
Musée Delacroix, Paris VI,
photographie : janvier 2014.

 

 

 

jeudi, 20 mars 2014

L'exquis

 

 

 

 

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Eugène Delacroix, Étude d'après des miniatures persanes, détail,
pinceau, aquarelle et rehauts d'or sur graphite (vers 1822-1825),
Musée Delacroix, Paris VI,
photographie : janvier 2014.

 

 

 

mercredi, 19 mars 2014

Anton Bruckner et quelques oiseaux

 

 

 

Dans le petit passage que j'habite à Paris, il arrive souvent que les piafs, les merles et les pigeons qui y vivent également, et qui se posent de temps à autre sur le rebord de la fenêtre de mon salon, ou sur le toit de la maison de ville qui se situe de l'autre côté de ma rue, se taisent soudain quand j'écoute un disque et que ma fenêtre est ouverte. Or voici que j'écoute, maintenant, la Neuvième et grandiose Symphonie de Bruckner, et voici que j'observe deux tout petits oiseaux perchés sur la rambarde à côté de mon bureau (ils y viennent souvent, sachant que je ne les dérangerai pas...) : ils sont là immobiles, silencieux, et ils me semblent écouter la musique qui passe par la fenêtre... Je suis certain qu'ils l'écoutent, et sans doute en sont-ils étonnés : comment expliquer autrement qu'ils soient si stupéfaits, et si calmes à la fois ?... Anton Bruckner, assurément, doit leur apparaître un fort étrange oiseau.

 

 

 

La bibliothèque de Charles d'Orléans, à son château de Blois, en 1427 (28)

 

 

Introduction.

 

 

 

« 75. Les Cronicques de diverses nascions, en françois, en lettre bastarde, historiées, couvertes de cuir blanc. »

 

S’agit-il encore d’un extrait du Miroir de l’histoire ou Miroir historial (Speculum historiale), l’encyclopédie rédigée par le frère dominicain Vincent de Beauvais ? (Cf. livre 72.)

 

 

« 76. Le grant Valère, en latin, de forme lombarde, neufve, couvert de cuir blanc. »

 

La « forme lombarde » fait référence à ces caractères manuscrits inspirés de l’écriture au calame (les « capitales lombardes »).

 

Valère Maxime, historien et moraliste romain du Ier siècle après J.-C., est l’auteur d’un recueil d’anecdotes historiques, ou relatives à la vie sociale et religieuse, connu sous le titre Faits et dits mémorables, dédié à l’empereur Tibère. En voici un extrait (I., V., 5), à propos de la fuite de Rome de Caïus Marius (157-86 av. J.-C.), général et homme d'état romain, lors de la guerre civile qui l'opposa au futur dictateur Sylla :

 

« Sans aucun doute, l’observation d’un présage fut salutaire à Marius, lorsque, déclaré ennemi public par le Sénat, il fut mis à l’écart dans la maison de Fannia à Minturnes comme prisonnier. Il remarqua en effet un petit âne qui, quand on lui présentait du fourrage, le négligeait pour courir vers l’eau. À cette vue, pensant que la providence divine lui montrait un exemple à suivre, et au demeurant très versé dans l'interprétation des croyances religieuses, il obtint de la multitude accourue à son secours de se faire conduire au bord de la mer. Aussitôt il monta dans un petit navire, se transporta en Afrique et se déroba ainsi aux armes victorieuses de Sylla. » (Source)

 

 

(à suivre.)

 

 

 

 

Huile sur toile

 

  

 

 

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Eugène Delacroix, Portrait d'un Jeune Homme au béret bleu, détail,
huile sur toile (vers 1825 ?),
Musée Delacroix, Paris VI,
photographie : janvier 2014.

 

 

 

mardi, 18 mars 2014

Lecture publique

 

 

 

 

 

 

À l'occasion de l'exposition "Écritures rebelles, encres, gravures & livres d'artistes" de Renaud Allirand (février-mars 2014) à la Bibliothèque Léon Deubel de Belfort, dans le cadre du Printemps des poètes 2014, et coïncidant avec la cérémonie de l'inauguration du nouveau nom de cette bibliothèque, anciennement "Bibliothèque des 4 As", lecture, par Frédéric Tison, du cinquième et dernier poème du cahier Une autre ville (2013), poèmes de Frédéric Tison, encres de Chine et gravures de Renaud Allirand, le samedi 15 mars 2014.

 

 

 

Traits

 

à Sylvie G., avec mon amitié.

 

 

 

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Eugène Delacroix, Cavalier arabe traversant un gué, détail,
plume, pinceau et encre brune (vers 1840),
Musée Delacroix, Paris VI,
photographie : janvier 2014.

 

 

 

Le docteur et l'étudiant

 

 

 

 

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Eugène Delacroix, Faust et Wagner discourant dans la campagne,
pinceau et lavis brun sur traits de graphite 
(vers 1827-1828),
Musée Delacroix, Paris VI, 
photographie : janvier 2014.

 

 

 

lundi, 17 mars 2014

Vagues

 

 

 

 

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Eugène Delacroix, Vagues se brisant contre une falaise,
aquarelle et rehauts de gouache sur traits de crayon (vers 1849),
Musée Delacroix, Paris VI,
photographie : janvier 2014.

 

 

 

 

 

Près de la place de Fürstenberg

 

 

 

 

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Atelier d'Eugène Delacroix, jardin du musée Delacroix, Paris VI,
photographie : janvier 2014.

 

 

 

dimanche, 16 mars 2014

La bibliothèque de Charles d'Orléans, à son château de Blois, en 1427 (27)

 

 

Introduction.

 

 

 

« 72. Le livre de Vincent, abrégié, en françois, avecques plusieurs autres histoires et croniques, depuis le trespas saint Loys jusques à Philippe de Valois, escript en lettre courant, couvert de cuir blanc. »

 

Il s’agit sans doute d’un extrait du Miroir de l’histoire ou Miroir historial (Speculum historiale), l’encyclopédie rédigée par le frère dominicain Vincent de Beauvais (vers 1184/94-1264), et traduite en français par Jean de Vignay ; on se souvient (c’est le livre 32. de cet inventaire) que l’ouvrage recense les « faits et gestes historiques selon la chronologie » (comme l’auteur l’écrit dans son « Prologue ») depuis la Création du monde jusqu’au XIIIe siècle. Cet extrait serait la partie historique débutant à la mort de saint Louis (1270) et se poursuivant jusqu’à l’avènement du premier des Valois, Philippe VI de France (Philippe de Valois, 1293-1350, roi en 1328), dont descendent Louis et Charles d’Orléans.

 

 

« 73. Le livre de ceulx qui regnèrent après le deluge, contenant plusieurs croniques, en lettre de forme, en françois, couvert de cuir blanc. »

 

Il s’agirait, selon Le Roux de Lincy, d’un ouvrage de généalogie, présentant tous les rois du monde, de Noé à Charles VI.

 

 

« 74. Ung Breviaire à l’usage de Paris, en deux grans volumes couvert de cuir blanc, notés, portans [contenant] leur psaultier ferial. »

 

 

Ce bréviaire est un livre liturgique « portatif » destiné à célébrer l’office divin : il contient tous les textes nécessaires pour la prière quotidienne des Heures. Les deux volumes de celui-ci étaient « notés », c’est-à-dire qu’ils contenaient des notes de musique. Dans un « psautier férial », la semaine est divisée en « féries » (jours de semaine religieuse) se déroulant du dimanche au samedi. Dans chaque férie, l’on trouve des heures de prières réparties sur l’ensemble de la journée.

 

 

(à suivre.)

 

 

 

 

Celui qui fut notre « Dauphin si gentil »

 

  

 

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Charles Marie Émile Seurre, dit Seurre jeune (1798-1858),
Charles VII, roi de France
(1403-1461) (vers 1840),
château de Versailles, photographie : janvier 2014.

 

 

 

vendredi, 14 mars 2014

La magnificence sous la pluie

 

 

 

 

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Fragment des Jardins de Versailles,
vu de l'antichambre du Grand Couvert, dans les appartements de la reine,
photographie : janvier 2014.

 

 

 

jeudi, 13 mars 2014

Trompe-l'œil

 

  

 

 

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Dans le Salon de Vénus, au château de Versailles,
(
Perspective de jardins (1677), par Jacques Rousseau (1630-1693), détail)
photographie : janvier 2014.