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mardi, 28 février 2023

Oiseaux

 

 

 

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Qi Baishi (1864-1957), détail d'un ensemble de peintures aux sujets animaliers et floraux (1947),
à l'exposition "L'Encre en mouvement : une histoire de la peinture chinoise au XXe siècle",
au musée Cernuschi, à Paris VIII, photographie : février 2023.

 

 

 

 

 

mercredi, 12 mai 2021

Les oiseaux et le klaxon

 

 

 

 

 

Par ma fenêtre, à Paris, le mardi 11 mai 2021.

 

 

 

05:48 Écrit par Frédéric Tison dans Traces | Tags : frédéric tison, film, paris, oiseaux | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

mercredi, 17 février 2021

Le balcon des oiseaux

 

 

 

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Nichoir, dans le parc du château de Champs,
à Champs-sur-Marne,

photographie : février 2021.

 

 

 

lundi, 02 mars 2015

En marge d'un Carnet d'Oyseaulx

 

 

 

Oyseaulx est l'ancienne orthographe d'oiseaux ; je l'aime autant que la nouvelle, et il m'arrive parfois de l'aimer davantage, au point d'en avoir quelque nostalgie : les lettres y et l ajoutaient au mot une aile basse et une aile haute, seulement écrites, propices au rêve du regard, à la lecture, si la langue française a ceci de magnifique qu'elle sait être aussi belle dans l’œil qu'elle l'est dans la voix.

 

(Et je pense aussi à l'ancien et très bel oisel, en ancien français, lequel, en moyen français, se métamorphosa en oyseau.)

 

 

17:47 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Tags : frédéric tison, note, oiseaux, oyseaulx | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

mercredi, 15 octobre 2014

Deux pigeons s'aimaient d'amour tendre

 

 

 

 

 

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Par la fenêtre d'un appartement, à Paris, le soir,
photographie : juillet 2014.

 

 

 

 

mercredi, 19 mars 2014

Anton Bruckner et quelques oiseaux

 

 

 

Dans le petit passage que j'habite à Paris, il arrive souvent que les piafs, les merles et les pigeons qui y vivent également, et qui se posent de temps à autre sur le rebord de la fenêtre de mon salon, ou sur le toit de la maison de ville qui se situe de l'autre côté de ma rue, se taisent soudain quand j'écoute un disque et que ma fenêtre est ouverte. Or voici que j'écoute, maintenant, la Neuvième et grandiose Symphonie de Bruckner, et voici que j'observe deux tout petits oiseaux perchés sur la rambarde à côté de mon bureau (ils y viennent souvent, sachant que je ne les dérangerai pas...) : ils sont là immobiles, silencieux, et ils me semblent écouter la musique qui passe par la fenêtre... Je suis certain qu'ils l'écoutent, et sans doute en sont-ils étonnés : comment expliquer autrement qu'ils soient si stupéfaits, et si calmes à la fois ?... Anton Bruckner, assurément, doit leur apparaître un fort étrange oiseau.