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lundi, 14 avril 2014

Alentir

 

  

 

 

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Dans le port du Rosmeur, à Douarnenez, dans le Finistère,
photographie : février 2014.

 

 

 

dimanche, 13 avril 2014

Grandes forces sombres

 

 

 

 

 

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Renaud Allirand, Sans titre, diptyque (2013),
très grandes gravures (Ateliers Moret, Paris)
présentées au Salon international de l'estampe & du dessin,
au Grand Palais (10-13 avril 2014),
photographie : 13 avril 2014.

 

 

 

Le Lai de l'Ombre, encore

 

 

 

 

Une amie qui m'a témoigné son plus vif intérêt, et le plaisir  qu'elle prit à cette lecture, m'enjoint ce soir de signaler à mon Lecteur, de nouveau, la parution du Lai de l'Ombre, ce conte courtois du XIIIe siècle traduit de l'ancien français par mes soins, et disponible ici :

 

Le Lai de l'Ombre

 

 

Je renvoie également mon Lecteur à  mon entretien avec Jean de Rancé, au sujet de ce livre.

 

 

CAELO MVSA BEAT.

 

 

 

 

Retenir

 

 

 

 

 

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Dans le port du Rosmeur, à Douarnenez, dans le Finistère,
photographie : février 2014.

 

 

 

La venue

 

 

 

 

Mille pensées, mille opinions auront siégé sous nos crânes avant qu'un oiseau vienne les en déloger.

 

 

 

 

09:42 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules | Tags : fredéric tison, minuscule | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

samedi, 12 avril 2014

Le bateau-phare rouge

 

  

 

 

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Le Port Rhu, à Douarnenez, dans le Finistère,
(vers la gauche, le
Scarweather, bateau-phare ou bateau-feu, 1947)
photographie : février 2014.

 

 

 

Attente

 

  

 

 

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Dans le port de cabotage, à Douarnenez, photographie : février 2014.

 

 

 

 

vendredi, 11 avril 2014

Interlude — Un document historique

 

 

 

 

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(cliquer pour agrandir)

 

L'Est républicain, dimanche 16 mars 2014,

à l'occasion de l'exposition "Écritures rebelles, encres, gravures & livres d'artistes" de Renaud Allirand (février-mars 2014) à la Bibliothèque Léon Deubel de Belfort, dans le cadre du Printemps des poètes 2014.

 

 

Lecture publique

 

 

 

Partage

 

à Madame Valérie T***, en amical hommage.

 

 

 

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Port Rhu, à Douarnenez, dans le Finistère,
photographie : février 2014.

 

  (Pour regarder cette photographie en un plus grand format)

 

 

 

 

07:34 Écrit par Frédéric Tison dans Bretagne, Voyages et promenades en France | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

jeudi, 10 avril 2014

Ô Tristan

 

 

 

 

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 L'Île Tristan (ou Tutuarn), à Douarnenez, dans le Finistère,
photographie : février 2014.

 

 

 

mercredi, 09 avril 2014

Trois questions de Jean de Rancé (Entretien d'un soir)

 

(Je dédie ce petit entretien à mes Lecteurs & Correspondants.)

 

 

 

Jean de Rancé. -. Voici assez longtemps, cher Frédéric Tison, que nous ne nous sommes pas entretenus "publiquement" (sur ce blogue, je veux dire). Le temps manque, toujours, hélas, mais en attendant quelque heure plus propice à un long entretien, j'aimerais vous poser trois questions, si vous le voulez bien.

 

Frédéric Tison. -. Je suis là, vous le savez bien, cher Jean de Rancé !

 

J. de R. -. La première concerne la réception de vos dernières publications, Les Effigies (aux Éditions Librairie-Galerie Racine) pour commencer, puis votre traduction du Lai de l'Ombre de Jehan Renart, et encore "Les Herbes le soir", la carte que vous avez publiée, le peintre et graveur Renaud Allirand et vous, enfin le deuxième volume du Clair du temps, cette collection de photographies accompagnées de notes que vous avez auto-éditée récemment. Ces livres ont-ils rencontré un public ?

 

F. T. -. Je ne vous cacherai pas que leur diffusion est restée confidentielle, mais je suis très heureux de ces publications, et je mesure avant toute chose la chance qui m'a été donnée de pouvoir les partager. L'absence de relais "médiatique" n'en a nullement fait des lettres mortes ; au contraire, d'assez nombreuses personnes m'ont témoigné leur intérêt pour l'une ou l'autre de ces publications, et c'est pour moi l'occasion de dire que, malgré le pessimisme de rigueur qu'il est loisible d'observer parmi tous les contempteurs systématiques de la modernité, un archipel demeure possible, un échange, une réunion d'îles aimantes et attentives, îles qui savent bien que, depuis que le monde est monde, seul importe l'acte d'aimer, non son intention.

 

J. de R. -. Vous continuez d'enrichir votre blogue de toute sorte d'images et de notes, à un rythme régulier. Là encore, l'échange est-il réel ?

 

F. T. -. Bien sûr, j'augmente avec un grand plaisir ce blogue, et j'ai encore cette chance d'avoir des lecteurs réguliers et attentifs, même si nombreux sont ceux qui ne se manifestent qu'en privé. Ce blogue est également, vous l'aurez noté, une sorte de "laboratoire", et mes visiteurs, même discrets, demeurent bienveillants. J'en profite pour les saluer amicalement !

 

J. de R. -. Que vous a permis de comprendre l'acte de publier, et ainsi de soumettre à l'appréciation (ou l'indifférence) d'autrui vos "travaux" ?

 

F. T. -. Publier me permet de passer à autre chose, de tout simplement passer. Cela m'indique des chemins, et le regard que je pose sur mes publications est toujours critique, c'est-à-dire qu'il est fécond. Je ne peux pas connaître les regards de mes lecteurs, mais je les suppose en pensée... C'est ainsi que je deviens mon propre lecteur, en quelque sorte... Écrire, c'est aussi se voir écrire, et cela est très instructif (je dirais de même pour la photographie ou l'aquarelle). Ainsi, par exemple, mais cela m'est essentiel, je m'interroge sur la valeur, sur la beauté, sur l'"aura" de tel livre ou telle image : ces notions sont sans cesse bouleversées. Pour être plus précis : l'écueil (le r é c i f) est le joli, et même le beau, quand celui-ci n'est que souvenir ou récit personnels, qui ne diront peut-être pas le même beau à chacun... La tentation est grande et redoutable de donner du clair du temps, justement (le clair du temps étant non seulement l'instant des choses mais leur horizon, passé, présent et "avenir" rassemblés), la seule image choisie parmi les noirceurs du monde, quand celles-ci sauraient pourtant l'irriguer, ce monde, et le connaître tout en nous le faisant connaître. Le piège est le même que celui qui attend le poème, lorsque de la poésie il ne retient que le prisme du langage admirable... Il fallait tomber parfois dans ce piège ; c'était sans doute la condition de la poursuite du chemin. À la fin c'est toujours plus de profondeur qui manque, dirais-je, s'il faut aller plus loin que ce qui est seulement beau, ou plutôt que ce que je trouve beau... À la fin c'est chercher l'image qui demeure un Désir ; le mot qui demeure parole dans l'oreille et dans le cœur ; le visage d'encres et de couleurs.

 

 

 

Le port la nuit

 

  

 

 

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 La nuit dans le port du Rosmeur, à Douarnenez, dans le Finistère,
photographie : février 2014.

 

 

 

 

Images aimées

 

 

 

Les photographies de nos voyages redoublent nos souvenirs en les fixant dans un cadre qui est le regard de quelqu'un qui aima.

 

 

 

 

 

mardi, 08 avril 2014

Le port le soir

 

à François.

  

 

 

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La mer, le soir, dans le port du Rosmeur, à Douarnenez, dans le Finistère,
photographie & film sonore : février 2014.

 

 

 

 

lundi, 07 avril 2014

Matières

 

 

 

 

 

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Michele Pace, dit Michelangelo da Campidoglio (1610-1670),
Nature morte au tapis, détail,
Musée des beaux-arts de Rennes,

photographie : février 2014.