samedi, 11 décembre 2021
Portrait dans l'ouverture
18:48 Écrit par Frédéric Tison dans Photographies solitaires | Tags : frédéric tison, portrait | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
Portrait numérisé
17:11 Écrit par Frédéric Tison dans Photographies solitaires | Tags : frédéric tison, portrait | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
De l'apparence
La musique est aussi l'apparence du temps.
13:40 Écrit par Frédéric Tison dans Autour du livre, Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
Un autre autoportrait
13:22 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard, Traces | Tags : frédéric tison, photographie, charles baudelaire, autoportrait | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
L'autoportrait du Maître
03:36 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard, Traces, Visages du poète | Tags : frédéric tison, photographie, charles baudelaire, autoportrait | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
vendredi, 10 décembre 2021
Le bandeau
Bandeau élaboré par Alain Breton, l'éditeur de mes livres (éditions Librairie-Galerie Racine),
en vue de la remise du Prix du Poème en prose Louis-Guillaume 2021, pour La Table d'attente.
17:57 Écrit par Frédéric Tison dans Le Prix Louis Guillaume du Poème en prose 2021, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
Baudelaire dans la marge
Étienne Carjat (1828-1906), Baudelaire surpris dans l'atelier (décembre 1861),
lors d'une séance de pose d'un client de Carjat, le bibliophile Paul Arnauldet, ami des Goncourt,
ou Thomas, son frère, bibliothécaire au cabinet des Estampes de la Bibliothèque impériale,
à l'exposition "Baudelaire, la modernité mélancolique",
à la Bibliothèque nationale de France, à Paris XIII,
photographie : novembre 2021.
13:06 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard, Visages du poète | Tags : frédéric tison, photographie, étienne carjat, charles baudelaire, charles baudelaire surpris dans l'atelier | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
jeudi, 09 décembre 2021
L'épilogue
Charles Baudelaire, manuscrit autographe (1860) de l'"Épilogue",
projet inachevé et abandonné d'un épilogue pour une nouvelle édition des Fleurs du Mal,
conçu comme une adresse à la ville de Paris,
à l'exposition "Baudelaire, la modernité mélancolique",
à la Bibliothèque nationale de France, à Paris XIII,
photographie : novembre 2021.
17:02 Écrit par Frédéric Tison dans Autour du livre, Traces | Tags : charles baudelaire, manuscrit, épilogue, les fleurs du mal, frédéric tison, photographie | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
De la forme et du fond
Si vous tentez de bien vous habiller dans ce monde, on vous reprochera d'être "narcissique", de ne penser qu'à votre apparence, d'être, en quelque sorte, superficiel et de ne songer nullement aux choses essentielles, l'altruisme, la compassion, le don, et de leur préférer les choses éphémères. Or, bien s'habiller, c'est tenter de s'accorder au monde ; c'est tenter la coïncidence, toujours lointaine, entre le monde, qui est beau, et nous. Nous n'avons de maîtrise sur quiconque ; un tel vous délaisse, celui-ci vous aime en passant, celui-là vous juge sans vous connaître et vous méprise peut-être secrètement. Mais nous avons la maîtrise de notre maintien, dans l'époque hostile et déguenillée qui est la nôtre. Il n'y a pas de différence fondamentale entre le "fond" et la "forme", ou, plutôt, ceux-ci s'échangent. Le "fond", selon certaines personnes, ce sont les sentiments et les actes ; la "forme", toujours selon elles, n'est qu'une simple formalité, inutile et vaniteuse. Ainsi ces personnes parées de toutes leurs vertus autoproclamées vont-elles dans la rue, sur leurs lieux de travail, à l'Opéra ou dans une exposition de peinture en baskets et en tee-shirts informes ; dès lors, elles sont désaccordées. Or, l'image pense. Pour que la Beauté soit, il est nécessaire d'avoir à la fois en soi le désir de l'infini et celui de porter d'élégants et sobres vêtements ; réponse à la réponse ; question à la question ; d'ailleurs, c'est ainsi que naît quelque véritable poème.
11:13 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules, Sur le poème | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
L'élégance 1844
05:15 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard, Visages du poète | Tags : frédéric tison, photographie, charles baudelaire, émile leroy | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
22, rue Beautreillis
05:09 Écrit par Frédéric Tison dans Île-de-France, Voyages et promenades en France | Tags : frédéric tison, photographie, 22 rue beautreillis, paris, charles baudelaire, domicile | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
mercredi, 08 décembre 2021
Des applaudissements
Certaines personnes applaudissent toujours trop vite, à l'issue d'un concert ; c'est comme si elles étaient impatientes de briser la beauté, et de combler par avance un silence qui, pourtant, appartient à la musique.
18:45 Écrit par Frédéric Tison dans Autour de la musique, Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
Sépia
18:18 Écrit par Frédéric Tison dans Photographies solitaires | Tags : portrait, frédéric tison | Lien permanent | Commentaires (4) | Facebook |
Un nouveau ciel
Eugène Boudin (1824-1898), Saint-Vaast-la-Hougue (1892),
au musée Eugène-Boudin, à Honfleur, photographie : novembre 2021.
11:34 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard | Tags : frédéric tison, photographie, eugène boudin, saint-vaast-la-hougue | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Recuerdos
Radio Classique, à l'instant, vient de diffuser cette mélodie merveilleuse de Déodat de Séverac. Comme cela est beau ! Je ne m'en lasserai jamais ; c'est comme si plus rien n'existait en dehors de cette grâce légère. J'oublie, fort injustement, et naïvement, en l'écoutant, Bach, Mozart, Debussy, Ravel et Sibelius ! Ne serait-ce pas comme l'amour ?
11:21 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Un concert sur un blogue | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |