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samedi, 11 décembre 2021

Portrait dans l'ouverture

 

 

 

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Portrait de l'auteur au musée de Montmartre, à Paris XVIII,
photographie par S. G. : novembre 2021.

 

 

 

 

18:48 Écrit par Frédéric Tison dans Photographies solitaires | Tags : frédéric tison, portrait | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

Portrait numérisé

 

 

 

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Portrait numérisé de l'auteur,
d'après une photographie recadrée de S. G. (à suivre), par ***, décembre 2021.

 

 

 

 

17:11 Écrit par Frédéric Tison dans Photographies solitaires | Tags : frédéric tison, portrait | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

De l'apparence

 

 

La musique est aussi l'apparence du temps.

 

 

 

Un autre autoportrait

 

 

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Charles Baudelaire, Autoportrait (1860),
à l'exposition "Baudelaire, la modernité mélancolique",
à la Bibliothèque nationale de France, à Paris XIII,

photographie : novembre 2021.

 

 

 

L'autoportrait du Maître

 

 

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Charles Baudelaire, Autoportrait (vers 1863-1864),
à l'exposition "Baudelaire, la modernité mélancolique",
à la Bibliothèque nationale de France, à Paris XIII,

photographie : novembre 2021.

 

 

 

vendredi, 10 décembre 2021

Le bandeau

 

 

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Bandeau élaboré par Alain Breton, l'éditeur de mes livres (éditions Librairie-Galerie Racine),
en vue de la remise du Prix du Poème en prose Louis-Guillaume 2021, pour La Table d'attente.

 

 

 

Baudelaire dans la marge

 

 

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Étienne Carjat (1828-1906), Baudelaire surpris dans l'atelier (décembre 1861),
lors d'une séance de pose d'un client de Carjat, le bibliophile Paul Arnauldet, ami des Goncourt,
ou Thomas, son frère, bibliothécaire au cabinet des Estampes de la Bibliothèque impériale,
à l'exposition "Baudelaire, la modernité mélancolique",
à la Bibliothèque nationale de France, à Paris XIII,

photographie : novembre 2021.

 

 

 

jeudi, 09 décembre 2021

L'épilogue

 

 

 

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Charles Baudelaire, manuscrit autographe (1860) de l'"Épilogue",
projet inachevé et abandonné d'un épilogue pour une nouvelle édition des
Fleurs du Mal,
conçu comme une adresse à la ville de Paris,
à l'exposition "Baudelaire, la modernité mélancolique",
à la Bibliothèque nationale de France, à Paris XIII,

photographie : novembre 2021.

 

 

 

De la forme et du fond

 

 

Si vous tentez de bien vous habiller dans ce monde, on vous reprochera d'être "narcissique", de ne penser qu'à votre apparence, d'être, en quelque sorte, superficiel et de ne songer nullement aux choses essentielles, l'altruisme, la compassion, le don, et de leur préférer les choses éphémères. Or, bien s'habiller, c'est tenter de s'accorder au monde ; c'est tenter la coïncidence, toujours lointaine, entre le monde, qui est beau, et nous. Nous n'avons de maîtrise sur quiconque ; un tel vous délaisse, celui-ci vous aime en passant, celui-là vous juge sans vous connaître et vous méprise peut-être secrètement. Mais nous avons la maîtrise de notre maintien, dans l'époque hostile et déguenillée qui est la nôtre. Il n'y a pas de différence fondamentale entre le "fond" et la "forme", ou, plutôt, ceux-ci s'échangent. Le "fond", selon certaines personnes, ce sont les sentiments et les actes ; la "forme", toujours selon elles, n'est qu'une simple formalité, inutile et vaniteuse. Ainsi ces personnes parées de toutes leurs vertus autoproclamées vont-elles dans la rue, sur leurs lieux de travail, à l'Opéra ou dans une exposition de peinture en baskets et en tee-shirts informes ; dès lors, elles sont désaccordées. Or, l'image pense. Pour que la Beauté soit, il est nécessaire d'avoir à la fois en soi le désir de l'infini et celui de porter d'élégants et sobres vêtements ; réponse à la réponse ; question à la question ; d'ailleurs, c'est ainsi que naît quelque véritable poème.

 

 

 

 

L'élégance 1844

 

 

 

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Émile Leroy (1820-1846), Portrait de Charles Baudelaire (1844),
à l'exposition "Baudelaire, la modernité mélancolique",
à la Bibliothèque nationale de France, à Paris XIII,

photographie : novembre 2021.

 

 

 

 

22, rue Beautreillis

 

 

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22, rue Beautreillis, à Paris IV, l'un des nombreux domiciles (ici, en 1858 et 1859) 
de Charles Baudelaire dans la capitale,

photographie : novembre 2021.

 

 

 

mercredi, 08 décembre 2021

Des applaudissements

 

 

Certaines personnes applaudissent toujours trop vite, à l'issue d'un concert ; c'est comme si elles étaient impatientes de briser la beauté, et de combler par avance un silence qui, pourtant, appartient à la musique.

 

 

 

Sépia

 

 

 

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Portrait de l'auteur par F. C., pour D. B., Paris, décembre 2021.

 

 

 

18:18 Écrit par Frédéric Tison dans Photographies solitaires | Tags : portrait, frédéric tison | Lien permanent | Commentaires (4) |  Facebook |

Un nouveau ciel

 

 

 

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Eugène Boudin (1824-1898), Saint-Vaast-la-Hougue (1892),
au musée Eugène-Boudin, à Honfleur, photographie : novembre 2021.

 

 

 

 

Recuerdos

 

 

Radio Classique, à l'instant, vient de diffuser cette mélodie merveilleuse de Déodat de Séverac. Comme cela est beau ! Je ne m'en lasserai jamais ; c'est comme si plus rien n'existait en dehors de cette grâce légère. J'oublie, fort injustement, et naïvement, en l'écoutant, Bach, Mozart, Debussy, Ravel et Sibelius ! Ne serait-ce pas comme l'amour ?