jeudi, 16 décembre 2021
L'atelier
12:56 Écrit par Frédéric Tison dans Île-de-France, Musée d'un regard, Voyages et promenades en France | Tags : frédéric tison, photographie, musée de montmartre, atelier, suzanne valadon, maurice utrillo, andré utter, paris | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Aristide Bruant
08:38 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard | Tags : frédéric tison, photographie, sacha guitry, portrait d'aristide bruant, aristide bruant | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
mercredi, 15 décembre 2021
Le musée de Montmartre
05:05 Écrit par Frédéric Tison dans Île-de-France, Voyages et promenades en France | Tags : frédéric tison, photographie, musée de montmartre | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
mardi, 14 décembre 2021
Un Maître par un Maître
05:43 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard, Visages du poète | Tags : frédéric tison, photographie, gustave courbet, portrait de charles baudelaire, charles baudelaire | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
lundi, 13 décembre 2021
Oh !
15:34 Écrit par Frédéric Tison dans Châteaux de France, Île-de-France, Parcs et jardins, Voyages et promenades en France | Tags : frédéric tison, château de champs, photographie | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
De la laideur
Pourquoi est-ce que je hais la laideur ? Au fond, mes contemporains, pour beaucoup, s'en accommodent. Pourquoi est-ce que je la déteste à ce point, pourquoi me blesse-t-elle ? Elle me rend malade, il est vrai, ainsi que tous les comportements humains que je trouve détestables, trahisons, délations, mensonges, ainsi que la publicité des affiches, ainsi que les vêtements négligés, ainsi que les bruits vulgaires, ainsi que la langue maltraitée, ainsi que toute la politique d'aujourd'hui. Mais pourquoi ? Il me serait facile de me proclamer esthète, et, pourquoi pas, dandy ! Mais il s'agit d'autre chose, que je creuse et dont je ne parviens pas à déceler la cause ou l'origine.
15:01 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Marginalia, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
De l'actualité
Il suffit d'écouter quelques minutes les informations et les entretiens (notamment politiques) qui nous sont donnés à la radio puis de basculer sur Radio Classique pour mesurer à quel point les paroles, les discours et les opinions divers sont viciés, vains, et que la musique les emporte, véritablement, éternellement actuelle.
09:47 Écrit par Frédéric Tison dans Autour de la musique, Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
Les épreuves
07:01 Écrit par Frédéric Tison dans Autour du livre, Musée d'un regard, Traces | Tags : frédéric tison, photographie, charles baudelaire, épreuves d'imprimerie, les fleurs du mal | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Le plus beau
Quel est le plus beau nom d'un musicien français ? J'hésite entre Jean-Philippe Rameau et Claude Debussy. (Quoique, Maurice Ravel...)
06:30 Écrit par Frédéric Tison dans Autour de la musique, Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Tout est vanité
00:26 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Tags : frédéric tison, autoportrait | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
dimanche, 12 décembre 2021
Les deux radios
Un visiteur de ce blogue, qui fut jadis un admirateur, mais dont je ne publie plus désormais les commentaires, lesquels sont à la fois systématiquement désagréables et réguliers, quasi harcelants, ce que je ne m'explique pas (Quel intérêt trouve-t-il à fréquenter constamment, jusqu'à l'obsession, ce site s'il en déplore toutes les publications ? Que je sache, je n'impose rien à quiconque), m'a écrit qu'il s'étonnait que j'écoutasse Radio Classique, radio privée, plutôt que France Musique. Je ne lui réponds pas personnellement, il ne le mérite certainement pas (Il va encore m'écrire un message assassin, je m'en amuse par avance ; de l'admiration à la haine, il n'y a toujours qu'un pas) ; France Musique, que j'écoutais jadis régulièrement, m'apparaît bien souvent comme une succession de bavardages interminables, où les protagonistes ont un langage souvent relâché, au sein d'émissions seulement entrecoupées de musique, tandis que Radio Classique, dont un des seuls défauts est de ne diffuser, la plupart du temps, que de trop courts extraits d'œuvres, a, au moins, davantage de tenue, et laisse toute la place, ou presque, malgré les inévitables, hélas, "plages de publicité", à la musique, ce qui est le moins qu'un auditeur mélomane puisse attendre d'une radio consacrée à elle ! France Musique ne laisse pas toujours respirer la musique, c'est un comble ; Radio Classique a pour slogan « Radio Classique, et votre journée devient plus belle », slogan qui avait fait sourire l'un de mes amis lorsqu'il l'entendit pour la première fois chez moi, un slogan toujours un peu agaçant comme tous les slogans mais qui, pour une fois, n'est pas tout à fait mensonger.
23:31 Écrit par Frédéric Tison dans Autour de la musique, Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Des confidences et des trahisons
Il ne sert à rien, il est même néfaste, je l'ai découvert récemment à mes dépens, de vous confier à ceux dont vous constatez brutalement qu'ils vous jugent sans d'abord vous écouter véritablement ni tenter de vous comprendre, car ils s'imaginent qu'ils ont raison par avance. Ils vous dénonceront avec un air vertueux et sentencieux qui n'est que le masque de leur impuissance ou de leur médiocrité — L'excuse de l'impulsivité étant, ici, nulle. C'est ainsi, devant cette malfaisance doublée souvent de quelque sottise, qu'il est loisible de mesurer notre solitude d'oiseau étrange. — C'est ainsi que nous mesurons, bien habillés au possible parmi la laideur répandue, notre qualité d'êtres aptères, les yeux levés vers le ciel. Ne vous confiez qu'à vous-même, hélas ! — ou bien à deux ou trois amis choisis, choisis extrêmement, qui vous ont déjà manifesté que quelque secret était, avec eux, en sécurité ; ou bien dans les pages de livres que vous composerez, mais que très peu liront vraiment. Nos pages sont nos ailes d'attente, douces, violentes, fébriles et patientes à la fois. Un vrai lecteur y découvrira votre confidence, vos terreurs, vos amours sur un fond blanc. — Un autre passera, il feuillettera, rapidement : il n'aura pas su vous lire, et encore moins vous voir ; cela n'aura plus aucune incidence ; il passera ainsi qu'un croassement de corbeau.
23:07 Écrit par Frédéric Tison dans Autour du livre, Crayonné dans la marge, Sur le poème | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Du hiatus
Des hiatus sont inévitables dans la langue française. Dans le poème, c'est un grand dommage. Quoique, certes : "la suie ignoble des quinquets" (Mallarmé). Dans mon livre Aphélie, je me souviens d'avoir été très ennuyé par quelque formulation. J'écrivis : "As-tu été le voyageur / [...] ?" Je n'en étais pas totalement satisfait. Pourtant j'ai laissé telle quelle, au terme de nombreuses tergiversations intérieures, cette suite de mots parce qu'aucune autre n'eût été meilleure, à mon sens : "Fus-tu le voyageur", non (laideur !) ; "Est-ce que tu as été le voyageur", non plus (lourdeur !) ; "Et si tu avais été le voyageur", non, non (ce n'était pas là ce que je voulais exactement exprimer et traduire). Donc : "As-tu été le voyageur", qui n'est pas mon meilleur vers ; il ne pouvait cependant qu'accueillir (en tremblant) le hiatus, dissonance qui est dans la langue, peut-être, l'un des miroirs ou l'un des fragments de la vie.
12:16 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Sur le poème | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Missive
12:05 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard | Tags : frédéric tison, photographie, charles baudelaire, lettre à sa mère | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook |
« Ô ma Beauté »
07:24 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard, Traces | Tags : frédéric tison, photographie, charles baudelaire, manuscrit autographe, à une mendiante rousse, les fleurs du mal | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |