Variations

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Variétés de dahlias, dans le parc floral de Paris, dans le bois de Vincennes,
photographies : septembre 2015.

 

 

 

 

Ce qui se lève

 

 

 

Il est — comme on a dit qu'il est des tableaux qui « se lèvent » — des paysages qui se lèvent soudain devant nos regards, ou en eux. Mais c'est la terre entière, ses visages et ses ciels, qui pourraient se lever.

 

 

 

Picea glauca conica

 

 

 

 

 

 Picea glauca conica, ou « petite forêt », bonzaï,
dans le parc floral de Paris, dans le bois de Vincennes,
photographie : septembre 2015.

 

 

 

 

Le jardin de bonzaïs

 

 

 

 

 

Dans le parc floral de Paris, dans le bois de Vincennes,
photographie : septembre 2015.

 

 

 

 

Le soleil dans l'eau

 

 

 

 

 

Dans le parc floral de Paris, dans le bois de Vincennes,
photographie : septembre 2015.

 

 

 

 

Mélodie de tuyaux et de bois

 

 

 

 

 

L'orgue (1683 et 1727) de l'abbatiale Saint-Robert de la Chaise-Dieu (XIVe s.),
en Haute-Loire, photographie : août 2015.

 

 

 

 

D'une soirée dans une abbatiale

 

à ma mère.

 

 

 

Vue de la Stalle 48, à l'issue du concert "L'Art des castrats", récital de Max Emmanuel Cencic, contre-ténor,
Orchestre de chambre de Bâle, Stefano Barneschi, maître de concert,
en l'abbatiale Saint-Robert de la Chaise-Dieu (XIVe s.), en Haute-Loire, photographie : août 2015.

 

 

 

 

Interlude parmi les ombres

 

 

 

 

 

Étang de la Ganne, dans l'Allier,
photographie : août 2015.

 

 

 

 

Un autre rappel

 

 

 

Poèmes choisis

 

Recours au poème, n°104, juin 2014.

(Le poème « Vesper », inédit lors la publication du numéro de la revue,
figurera, cette fois sans titre,
dans un livre d'artiste à paraître avant l'été 2016.)

 

 

 

Le soir

 

 

 

 

 

 

Caspar David Friedrich (1774-1840), Le Soir (vers 1830), au Musée Goethe,
dans l'annexe de la Goethe-Haus (XVIIIe s.),
Großer Hirschgraben 23, à Francfort-sur-le-Main, dans la Hesse, photographie : août 2015.

 

 

 

 

Le rappel

 

 

 

Quatre poèmes et trois photographies

 

Revue en ligne Ce Qui Reste, octobre 2015.

 

 

 

 

Le soleil

 

 

 

 

 

 

Caspar David Friedrich (1774-1840), [Arbustes dans le soleil couchant (je ne suis pas certain du titre)]
(vers 1832-1835), au Musée Goethe,
dans l'annexe de la Goethe-Haus (XVIIIe s.),
Großer Hirschgraben 23, à Francfort-sur-le-Main, dans la Hesse, photographie : août 2015.

 

 

 

 

Ou bien

 

 

 

J'écoute la radio et je me dis que le monde est faussement confié à ceux qui ne l'habitent pas ; il n'est question que de... et de... Quant à nous, quand aimerons-nous ce monde, et quand irons-nous dans le monde, celui où vivent ceux-là et qui ne l'habitent pas, sans le savoir ? Mais il suffit de le savoir...

 

 

 

Les cygnes de Friedrich

 

 

 

 

 

Caspar David Friedrich (1774-1840), Cygnes parmi les roseaux (vers 1819-1820), au Musée Goethe,
dans l'annexe de la Goethe-Haus (XVIIIe s.),
Großer Hirschgraben 23, à Francfort-sur-le-Main, dans la Hesse, photographie : août 2015.

 

 

 

 

 

Le lutrin et le chevalet

 

 

 

 

Manuscrit et dessin à la plume de Johann Wolfgang Goethe, représentant un atelier (?),
dans la Goethe-Haus (XVIIIe s.), maison du conseiller impérial Johann Caspar Goethe (1710-1782),
où naquit Johann Wolfgang Goethe, le 28 août 1749,
et où il écrivit Les Souffrances du jeune Werther (1774),
détruite en 1944 et reconstruite à l'identique en 1947-1951,
Großer Hirschgraben 23, à Francfort-sur-le-Main, dans la Hesse, photographie : août 2015.