Un après-midi à l'Espace Andrée-Chedid

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lors de l'exposition « Infusions poétiques », présentant notamment le Tapis de chiffons (2020),
une peinture et un vers sur des sachets de thé à assembler puis relier,
de Cécile A. Holdban,
à l'Espace Andrée-Chedid, à Issy-les-Moulineaux, le mercredi 24 juin 2020.

 

Photographies : F. T.

 

 

 

Une note de lecture sur "La Table d'attente"

 

 

 

Je signale une note de lecture sur La Table d'attente, par Monique W. Labidoire,
qui vient de paraître sur le site Francopolis, 162ème édition, mai-juin 2020.

 

C'est ici.

 

 

 

Cette note est reproduite sur la page consacrée à l'ouvrage sur le site
des Hommes sans Épaules, dans l'onglet "Presse".

 

 

 

« Infusions poétiques », le mercredi 24 juin 2020

 

 

Je serai présent lors de cet événement :

 

Infusions poétiques

 

Une rencontre pour découvrir l’étonnant projet Tapis de chiffons réalisé par Cécile A. Holdban, poète, peintre et traductrice pendant le confinement à partir des contributions de quelque 170 poètes, dont je fais partie avec Tapis de chiffons 30.

 

 

 

 

Concerto pour marées et silence, revue, n°13, juin 2020

 

 

 

 

 

J'ai le plaisir de figurer au sommaire du numéro 13 (juin 2020)
de Concerto pour marées et silence, revue, une revue fondée par Colette Klein,
avec trois poèmes inédits (extraits d'un ouvrage en cours, Nuages rois),
parmi de nombreuses autres contributions.

 

 

 

 

 

 

 

Les Hommes sans Épaules au 30ème Salon de la Revue

 

 

Je serai présent lors de cet événement :

 

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9 octobre 2020 - 11 octobre 2020
Les Hommes sans Épaules au 30ème SALON DE LA REVUE

 

Les Hommes sans Épaules sont présents au 30ème Salon de la revue pour y présenter le n°50 des HSE (Dossiers : René Depestre, Gérard Mordillat...), le n°49 des HSE (Dossier : La poésie brésilienne), les derniers numéros et livres édités : Le premier livre de la nouvelle "collection Peinture et Parole", dialogue entre un peintre et un poète : Christophe Dauphin (Totem normand pour un soleil noir, orné par Alain Breton), Anne Peslier (Deux corps pliés dans un jardin), Frédéric Tison (La Table d’attente), Ilarie Voronca (Journal inédit, suivi de Beauté de ce monde, Poèmes 1940-1946, Deuxième édition revue et augmentée)…

Le Salon de la revue 2020 (Espace des Blancs-Manteaux, 48 rue Vieille du Temple, Paris 4, métro : Hôtel de Ville) sera ouvert au public le vendredi 9 octobre de 20h00 à 22h00, le samedi 10 octobre de 10h00 à 20h00 et le dimanche 11 octobre de 10h00 à 19h30.

 

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L'actualité sur le site des Hommes sans Épaules.

 

 

 

Un soir au 59 Rivoli, le 16 février 2020

 

 

 

 

 

 

Un moment d'une soirée — au 2ème étage du 59 Rivoli, à Paris,
le dimanche 16 février 2020, lors de la « Lecture de poésie anticontemporaine »
organisée par l'artiste et poète Luigi La Ferla.
Avec le Maître Jardinier Filippo Romano Valtore,
Ludovico Bonifacio (à la guitare), Marianne Vinégla Camara,
Frédéric Tison, Clémentine Stab. © 59 Rivoli.

 

 

 

Il y a deux ans

 

 

 

Il y a exactement deux ans, en mai 2018, paraissait ma première étude :

 

 

 

Se procurer l'ouvrage.

 

Un entretien à propos de ce livre.

 

 

 

 

Où Xavier Bordes cite mon nom

 

 

Le poète Xavier Bordes me cite dans un article de son site. J'en suis très honoré.

 

 

Après lecture d'un poème de Frédéric Tison.

 

 

 

 

Poème de la quinzaine, mai 2020

 

 

 

Je figure parmi les auteurs du Poème de la quinzaine (mai 2020), sur le site Poèmes à lire que dirige Guillaume de Lacoste Lareymondie. Je suis en excellente compagnie : Alphonse de Lamartine et Joyce Mansour.

 

Poème de la quinzaine, mai 2020.

 

 

J'avais déjà eu l'honneur de figurer dans une précédente livraison de la revue, en compagnie de Charles d'Orléans et d'Aloysius Bertrand.

 

 

 

 

Le lot n° 58

 

 

 

Renaud Allirand, Oiseau (2013).  Photogravure originale
accompagnée d'un poème manuscrit de Frédéric Tison (2013).
Plaque 30 x 40 cm, papier 50 x 70 cm.

 

 

 

 

Mes livres de photographies

 

 

 

Aujourd'hui, 19 mai 2020, jusqu'à 23h59, l'imprimeur en ligne Blurb fait une remise de 40% sur mes carnets et albums de photographies, avec le code promotionnel EARLYACCESS4T.

 

Veuillez vous rendre sur cette page.

 

 

 

Un entretien avec Cécile A. Holdban

 

 

 

Un entretien avec Cécile A. Holdban, au sujet du Tapis de chiffons, un projet collectif auquel j'ai eu le plaisir d'être associé. 

 

 

 

Réédition de « Rues gris sable » en format de poche

 

 

Une parution

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J'ai le plaisir de signaler la réédition, en format de poche, du livre d'artiste que j'ai conçu avec Sylvie Ledouxe, peintre et photographe, Rues gris sable (2016).

 

Rues gris sable
poèmes de Frédéric Tison, images de Sylvie Ledouxe

24 pages, 13 x 20 cm, couverture souple, illustrations en couleurs,
papier satiné, impression par Blurb Inc., Chez les auteurs,
réédition en format de poche, 2020.

Prix : 10 euros, frais de port compris.

Pour le commander, veuillez user du formulaire de contact de ce blogue.

 

 

Le livre d'artiste original (42 pages, format paysage 25 x 20 cm, couverture rigide,
illustrations en couleurs,
papier satiné, impression par Blurb Inc., Chez les auteurs, 2016) est toujours disponible,
au prix de 49 euros l'unité, frais de port compris.

 

 

 

Renaud Allirand présente « Carnet d'oiseaux »

 

 

 

 

 

Renaud Allirand présente Carnet d'oiseaux.

 

 

« La plus belle histoire du monde est un oiseau qui chante. »

 

 

 

 

 

 

Le Tapis de chiffons de Cécile A. Holdban

 

 

 

J'ai la joie de figurer (avec le Tapis de chiffons 30) dans cette collection conçue par Cécile A. Holdban, dont voici une vue d'ensemble au 1er mai 2020 :

 

 

(Veuillez cliquer sur l'image pour l'agrandir.)

Cécile A. Holdban, Tapis de chiffons,
une peinture et un vers sur des sachets de thé à assembler puis relier (2020),

(Photographie reproduite avec l'autorisation de Cécile A. Holdban.)

 

Cécile A. Holdban, poète, peintre et traductrice, a emprunté le titre de ce projet collectif au recueil de son poète hongrois préféré, Sándor Weöres. Elle réalise en ce moment une série de toutes petites peintures sur des sachets de thé recyclés. Elle a souhaité que (je cite la poète) « sur chacun de ces sachets devenu estampe, figure également un vers unique — comme faisait René Char sur ses galets ou ses écorces (....), pour, à la manière d’un cadavre exquis, composer un patchwork pictural et poétique. Comme une fenêtre toujours ouverte sur le monde ».