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mercredi, 23 février 2022

Et les oiseaux et les papillons s'envolent de concert

 

 

 

 

Felix Mendelssohn, Scherzo du Songe d'une nuit d'été,
Orchestre Marinsky dirigé par Valery Gergiev, Festspielhaus de Baden-Baden, 2008.

 

 

 

 

12:42 Écrit par Frédéric Tison dans Un concert sur un blogue | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

vendredi, 28 janvier 2022

Danse dans la vie brève

 

 

 

 

Manuel de Falla, danse extraite de La Vida Breve, par un orchestre non mentionné.

 

 

 

 

14:05 Écrit par Frédéric Tison dans Un concert sur un blogue | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

dimanche, 23 janvier 2022

Terre d'orage

 

 

 

 

José Pablo Moncayo (1912-1958), Tierra de temporal, ballet, pour orchestre (1949).
Orchestre symphonique national de Mexico, dirigé par Sergio Cárdenas.

 

 

 

 

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mardi, 04 janvier 2022

Musique pour un voyage

 

 

 

 

Wilhelm Stenhammar, Lodolezzi sjunger, Suite from incidental music to the play, Op. 39 (1919),
par le Gothenburg Concert Hall Choir, Göteborgs Symfoniker, dirigé par Neeme Järvi.

 

 

 

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mercredi, 08 décembre 2021

Recuerdos

 

 

Radio Classique, à l'instant, vient de diffuser cette mélodie merveilleuse de Déodat de Séverac. Comme cela est beau ! Je ne m'en lasserai jamais ; c'est comme si plus rien n'existait en dehors de cette grâce légère. J'oublie, fort injustement, et naïvement, en l'écoutant, Bach, Mozart, Debussy, Ravel et Sibelius ! Ne serait-ce pas comme l'amour ?

 

 

 

vendredi, 29 octobre 2021

Du Cid

 

 

 

 

Jules Massenet, Suite de ballet, Le Cid, direction par Neeme Järvi, avec l'orchestre de la Suisse romande.

 

(Il est possible que la musique nous rende fous. Parfois, je pense que j'en écoute trop, mais la musique sait être aussi puissante qu'un amour inachevé ou qu'un alcool fort, et c'est bien mieux. Cette Suite est digne de Mozart ou de Debussy, ai-je trouvé ; de toute façon, elle me touche.)

 

 

 

dimanche, 10 octobre 2021

La grâce

 

 

 

 

Claude Debussy, Rêverie, piano : Kathryn Stott.

 

(La grâce, l'élégance, la légèreté, la profondeur : ô Claude Debussy, comme je vous admire !)

 

 

 

lundi, 21 juin 2021

D'un opéra

 

 

Si Pelléas et Mélisande demeure le chef-d’œuvre inoubliable de la musique moderne, c’est que Claude Debussy a su traduire, en musique, et la lenteur, et le silence intime, et la discrétion, et la grâce attentive et lointaine, cette élégance quasi perdue, lesquels manquent terriblement à nos heures, nos instants. Et cela dure depuis 1902, quand le compositeur fit jouer l’œuvre à l’Opéra Comique, à Paris, pour la première fois.

*

Merveilleuse chose qu’un « dieu du piano » par le dieu lui-même… Dans le coffret du  Pelléas et Mélisande enregistré par Roger Désormière en 1942 et publié (dans l'exemplaire en ma possession) par EMI « Références » se trouvent insérés des morceaux exceptionnels : Claude Debussy accompagnant lui-même au piano, en 1904 à Paris, Mary Garden, la première interprète de Mélisande, dans un extrait de l’opéra (Acte III, scène 1 : « Mes longs cheveux descendent jusqu’au seuil de la tour ») et jouant quelques mélodies (les « Ariettes oubliées », 1, 3 & 5, d’après Verlaine). Ah, si nous avions pu écouter le dieu du piano qui précédait Debussy : Frédéric Chopin

 

 

 

Où joue Claude Debussy, où chante Mary Garden (1904).

 

 

 

dimanche, 16 mai 2021

Soledad y el Mar

 
 
 
 
 
Natalia Lafourcade, « Soledad y el Mar »
 
En el canto de las olas
Encontré un rumor de luz
Por un canto de gaviotas
Supe que allí estabas tú
Despidiendo últimamente
Todo lo que sucedió
Hoy, saludo mi presente
Y gusto de este dulce adiós
Voy a navegar en tu puerto azul
Quisiera saber de dónde vienes tú
Vamos a dejar que el tiempo pare
Ver nuestros recuerdos en los mares
Y esta soledad tan profunda...
Que en el canto de las olas
Me quisiera sumergir
Embriagándome en su aroma
Algo nuevo descubrir
Voy a navegar en tu puerto azul
Quisiera saber de dónde vienes tú
Vamos a dejar que el tiempo pare
Ver nuestros recuerdos en los mares
Y esta soledad tan profunda...
Que me cante el mar
Un bolero de soledad
Que me cante el mar
Que ando sola, con soledad
Que me cante el mar
Un bolero de soledad
Que me cante el mar
Que ando sola, con soledad
Soledad y el mar
 
 Dans le chant des vagues
J'ai retrouvé une rumeur de lumière
Grâce à un chant de mouettes
J'ai appris que tu étais là
En disant au revoir
À tout ce qu'il s'est passé récemment 
Aujourd'hui, je salue mon présent
Et savoure ces doux adieux
Je vais naviguer dans ton port bleu
J'aimerais savoir d'où tu viens
Laissons le temps s'arrêter
Regardons nos souvenirs dans les mers
Et cette solitude si profonde...
Et dans le chant des vagues
J’aimerais me plonger
M'enivrer de leur parfum
Découvrir quelque chose de nouveau
Je vais naviguer dans ton port bleu
J'aimerais savoir d'où tu viens
Laissons le temps s'arrêter
Regardons nos souvenirs dans les mers
Et cette solitude si profonde...
Que me chante la mer
Un boléro de solitude
Que me chante la mer
Que je passe seule, avec la solitude
Que me chante la mer
Un boléro de solitude
Que me chante la mer
Que je passe seule, avec la solitude
La solitude et la mer
 
Traduction de Frédéric Tison, avec l'aide amicale de Fabián Santiago.
 
 

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mardi, 11 mai 2021

De l'aube à midi sur la mer

 

 

 

 

 

Claude Debussy, La Mer, Premier Mouvement, "De l'aube à midi sur la mer",
direction : Pierre Boulez.

 

(C'est à propos de ce merveilleux Premier Mouvement qu'Érik Satie fit part de ses impressions au compositeur lui-même en lui écrivant : « J'aime beaucoup le passage vers onze heures un quart », ce que j'ai toujours trouvé très drôle.)

 

 

 

samedi, 08 mai 2021

« Espagne, mon amour... » (Les Oiseaux perdus)

 

 

 

 

 

Antonio Soler (1729-1783), Los Pajaros Perdidos (Fandango),
L'Arpeggiata, Christina Pluhar, Salle Gaveau, Paris, 2012.

 

 

 

 

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mardi, 04 mai 2021

Love Theme

 

 

 

 

Alex North, musique (« Love Theme ») pour le film Spartacus (1960) de Stanley Kubrick.

 

 

 

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mardi, 13 octobre 2020

Un concerto du roi de Prusse

 

 

 

 

 

Frédéric II, roi de Prusse (1712-1786), Concerto pour flûte n°4 en ré majeur,
Flûte et direction : Kurt Redel, avec le Pro Arte Orchester de Munich.

 

 

 

 

 

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samedi, 10 octobre 2020

Ô les chants des matelots !

 

 

 

 

 

Déodat de Séverac (1872-1921), Trois Souvenirs : II. Chants des matelots. Andantino (1919),
Orchestre de la Suisse Romande, dirigé par Roberto Benzi.

 

 

(J'aurai rarement écouté une musique aussi légère, élégante et profonde à la fois que celle-ci, avec les volutes de ses violons frémissants.)

 

 

 

dimanche, 16 février 2020

Pour un dimanche profond, une des plus belles cantates du monde

 

 

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Buxtehude, Alleluia (Der Herr is mit mir),
Orchestra Anima Eterna & Royal Consort Collegium Vocale.

 

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