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jeudi, 28 août 2014

Interlude (sans Ravel)

 

à ma mère.

 

 

 

SAM_2019.JPG

 

 

À l'issue du concert : le Magnificat en mi bémol majeur de Bach,
précédé de la
Messe brève en sol mineur du même
et du
Magnificat pour chœur a cappella et d'Orient Occident d'Arvo Pärt,
Chœur Luce del Canto, Ensemble Europa Barroca, direction de Simon-Pierre Bestion,

au Festival de La Chaise-Dieu, en Haute-Loire,
dans l'abbatiale Saint-Robert,
vue de la stalle 54,
photographie : lundi 25 août 2014.

***

 

 

**

 

 

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mercredi, 20 août 2014

Au Belvédère, chez Maurice Ravel (1)

  

 

 

 

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Belvédère - extérieur rue 2.jpg

 

 

Le Belvédère, maison de Maurice Ravel,
à Montfort-l'Amaury, dans les Yvelines,
photographies : juin 2014.

 

 

 

 

Entrant dans le village

 

 

 

 

 

Belvédère - Montfort entrée.jpg

 

 

Une entrée de Montfort-l'Amaury, dans les Yvelines
(avec un fragment de l'église Saint-Pierre, XVe-XVIe s.),
photographie : juin 2014.

 

 

 

Ruines

 

 

 

 

 

Belvédère - ruines chât reconstruit fin XV par Anne de Bretagne sur l'emplacement de celui des Monfort.jpg

 

Les ruines du donjon du château-fort de Montfort (XIIe-XVe s.),
donjon dit "Tour d'Anne de Bretagne", 
à Montfort-l'Amaury, dans les Yvelines,
photographie : juin 2014.

 

 

 

 

samedi, 16 août 2014

Ombres

 

 

 

 

 

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Dans le parc du château de Rambouillet,
photographie : mai 2014.

 

 

 

 

vendredi, 15 août 2014

Le cerf

 

 

 

 

 

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Dans le parc du château de Rambouillet,
photographie : mai 2014.

 

 

 

jeudi, 14 août 2014

Au loin le château

 

 

 

 

 

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Le château de Rambouillet (XIVe-XVIIIe siècles) vu du parc,
photographie : mai 2014.

 

 

 

N'écouter pas

 

 

 

Naguère, tandis que j'assistais à la représentation de Pelléas et Mélisande à l'Opéra Comique, dans la salle même qui accueillit, en avril 1902, la première du merveilleux drame lyrique, dont chaque phrase et chaque motif semblent solitaires et, disparaissant, laissent comme le souvenir d'une mélodie inachevée, voire d'une symphonie tout entière qui fut esquissée, je remarquai que, durant les interludes  musicaux conçus par Debussy entre certaines scènes (et qui, accessoirement, permettaient à l'origine aux machinistes de procéder aux changements de décor), des chuchotements s'élevaient entre les rangées de sièges, comme si le Drame qui avait lieu sous nos yeux et dans nos oreilles était en quelque sorte suspendu, puisque les personnages ne chantaient plus ni n'étaient plus présents sur la scène.

 

Or, même si le rideau était tombé, la musique de Debussy était encore là, elle, agissante, réfléchissante, passionnée, sublime ; j'observais certaines gens n'écouter pas ; je me croyais à la représentation de quelque opéra du passé, du temps de Haydn et de Mozart, où, ai-je lu, certains spectateurs bavardaient durant l'Ouverture d'un Don Giovanni, spectateurs qui croyaient sans doute que, sous les lustres éblouissants de la salle, l'opéra n'avait pas véritablement commencé, puisque personne encore ne chantait...

 

La musique de Debussy connaît parfaitement le silence ; quelques uns n'hésitaient cependant pas à en briser la profondeur en échangeant quelques propos, certes sussurés, mais à peine, de sorte qu'ils étaient malgré tout audibles dans l'air.

 

Il arrive à la musique ce qu'il arrive habituellement au poème, dont chaque mot suppose une lecture interminable, si j'ose dire (tout poème est une lecture infinie du langage) : on la croit strictement descriptive, et émotive, comme on croit que les mots du poème ne sont que les véhicules transparents d'un "sens" ; celle de Debussy, qui souligne, accompagne et dépasse l'action à la fois, semble victime de son propre pouvoir : je jurerais que certains spectateurs l'écoutaient alors comme ils écoutent une musique de film...

 

À la prochaine représentation de Pelléas et Mélisande, je me proposerais volontiers d'acheter toutes les places d'une soirée ; je les revendrais, par souscription, à tous ceux qui s'engageraient à écouter, à tout écouter, avec l'humilité des ombres silencieuses...

 

 

 

 

mercredi, 13 août 2014

Deux images pour une petite fabrique

  

 

 

 

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La chaumière aux coquillages (1779-1780),
construite par le duc de Penthièvre pour la princesse de Lamballe
,
dans le parc du château de Rambouillet,
photographies : mai 2014.

 

 

(Devant ces images il faut de ce petit édifice s'imaginer, qu'il est impossible de photographier, le décor intérieur de nacre, de marbre et de coquillages.)

 

 

 

mardi, 12 août 2014

Arbres

 

 

 

 

 

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Dans le parc du château de Rambouillet,
photographie : mai 2014.

 

 

 

lundi, 11 août 2014

Regard

 

  

 

Si j'allais dans un donjon du XIIe siècle vêtu comme un chevalier, ou si je me promenais dans un parc dessiné par Le Nôtre en habits de cour du XVIIe siècle, j'y verrais davantage de choses.

 

 

 

 

11:30 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules | Tags : frédéric tison, minuscule | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

dimanche, 10 août 2014

Le cerf

 

 

 

 

 

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Dans le parc du château de Rambouillet,
photographie : mai 2014.

 

 

 

 

samedi, 09 août 2014

Marbre

 

 

 

 

 

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Julien Édouard, baron de Conny (1818-1900), La Charité fraternelle (1865),
dans le parc du château de Rambouillet,

photographie : mai 2014.

 

 

 

L'espace

 

 

 

 

 

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Le parc, devant le château de Rambouillet, dans les Yvelines,
photographie : mai 2014.

 

 

 

 

vendredi, 08 août 2014

Château royal & présidentiel

 

 

 

 

 

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Le château de Rambouillet (XIVe-XVIIIe siècles), dans les Yvelines,
photographie : mai 2014.