dimanche, 13 octobre 2024
12 octobre 2024 - Salon de la Revue
L'ombre de Frédéric planait ce 12 octobre dans les allées du Salon de la Revue, au-dessus des voix des poètes et visiteurs, ou se mêlant à elles, selon...
François Charmoille et Norbert Crochet m'accompagnaient dans ce Salon.
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De nombreuses revues consacrent des pages à sa mémoire, telles les Hommes sans Épaules, Poésie/première, Concerto pour marées et silence, ou Margelles.
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Le numéro 58 des Hommes Sans Épaules de Christophe Dauphin présente une suite de
poèmes inédits de Frédéric, intitulée Prestes.
Ces textes devaient à l'origine former un livre d'artiste avec une douzaine de dessins de Sylvie Ledouxe, faisant suite à Rues Gris Sable. Le destin en a décidé autrement, un seul dessin figurant dans cette brochure.
De gauche à droite : Norbert Crochet, Odile Cohen-Abbas, Paul Farellier, Christophe Dauphin et François Charmoille.
Photographies de C.T. - Salon de la Revue, Halle des Blancs Manteaux, Paris 75004, le 12 octobre 2024.
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Le numéro 89 de Poésie/première de Gérard Mottet comporte l'intégralité de l'allocution de Paul Farellier en hommage à Frédéric, allocution prononcée le 16 avril 2024.
De gauche à droite : Claire Boitel, Pascal Mora, Gérard Mottet, François Charmoille (debout) et Norbert Crochet.
Photographie de C.T. - Salon de la Revue, Halle des Blancs Manteaux, Paris 75004, le 12 octobre 2024.
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Dans le numéro 17 de la revue Concerto pour marées et silence créée par Colette Klein, paru en juillet 2024,Frédéric a fait l'objet d'une magnifique note rédigée par Colette :
"Nous reste l'image d'un Prince égaré dans un monde en déroute, perpétuellement en quête d'amour et pour cela condamné à la solitude."
De gauche à droite : Colette Klein, Norbert Crochet et François Charmoille.
Photographies de C.T. - Salon de la Revue, Halle des Blancs Manteaux, Paris 75004, le 12 octobre 2024.
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Frédéric Tison, en décembre 2010, à Paris.
Note rédigée par sa maman, Catherine.
16:02 Écrit par Frédéric Tison dans Soirées & manifestations | Tags : salon de la revue 2024, les hommes sans epaules, poésiepremiere, concerto pour marées et silence, margelles, christophe dauphin, paul farellier, odile cohen-abbas, claire boitel, gérard mottet, colette klein, laurent billia, philippe agostini, bruno guattari, isabelle sancyi, pascal mora | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
lundi, 07 octobre 2024
Du 11 au 13 octobre 2024 - Les Hommes sans Epaules au 34e Salon de la revue, à Paris
Les Hommes sans Epaules au 34e Salon de la revue, à Paris
Les Hommes sans Épaules seront présents au 34ème Salon de la revue, pour y présenter le n°58 des HSE (Dossier : Daniel Varoujan, le poète & la Terre rouge d'Arménie), le n°57 des HSE (Dossier : Poètes bretons pour une baie tellurique), les derniers numéros et livres édités :
Paul Farellier (Le Pas de l’heure), signature de Paul Farellier, samedi 12 octobre, de 15 à 17h; Alain Breton (Je ne rendrai pas le feu, PRIX MALLARMÉ 2024), signature d'Alain Breton, samedi 12 octobre de 16 à 18h...
Odile Cohen-Abbas (La Face proscrite), Christophe Dauphin (Derrière mes Doubles, Jean-Pierre Duprey, Jacques Prevel), Hervé Delabarre (Les contes du Sire de Baradel)…
Dans ce numéro 58 des HSE,
figurent des textes inédits de Frédéric.
Le Salon de la revue 2024 (Espace des Blancs-Manteaux, 48 rue Vieille du Temple, Paris 4, métro : Hôtel de ville) est ouvert au public, entrée libre et gratuite, Vendredi 11 octobre : 20h-22h, Samedi 12 octobre : 10h-20h, Dimanche 13 octobre : 10h-19h30.
Note rédigée par sa maman, Catherine
08:00 Écrit par Frédéric Tison dans Livres parus, Soirées & manifestations | Tags : frédéric tison, les hommes sans épaules, christophe dauphin, paul farellier, alain breton | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
mardi, 01 octobre 2024
Septembre 2024 - Poésie /première n°89
L'hommage de Paul Farellier à Frédéric du 16 avril 2024 est paru
dans le numéro 89 de la revue poétique et littéraire Poésie/première.
Pour se procurer ce numéro 89, suivre ce lien.
Que Gérard Mottet et tous ses collaborateurs soient chaleureusement remerciés de continuer à parler de la poésie de Frédéric.
Note rédigée par sa maman, Catherine
11:37 Écrit par Frédéric Tison dans Le Prix Louis Guillaume du Poème en prose 2021, Traces | Tags : frédéric tison, paul farellier, gérard mottet, poésie première 90 | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook |
vendredi, 19 avril 2024
16 avril 2024 - Hommage à Frédéric, par Paul Farellier
Hommage à Frédéric Tison
Allocution prononcée par Paul Farellier à l’occasion de la remise du Prix Louis Guillaume, le 16 avril 2024.
N’attendez de moi, ce soir, ni les soins attentifs de l’étude, ni la
consonance de l’éloge. Je vous propose simplement de partager
quelques pensées en mémoire de Frédéric Tison, qui, avec son livre
La Table d’attente, fut notre poète-lauréat pour l’année 2021.
Sa mort, tellement prématurée, à l’automne dernier, est venue marquer
d’un trait d’inachèvement une œuvre poétique qui se trouvait encore
dans la toute-puissance de sa phase ascendante. Mais, même aussi
tragiquement interrompue dans notre lecture, cette œuvre recèle pour
longtemps de considérables enjeux : quelque chose de profondément
mystérieux semble y brûler toujours dans le silence.
Les Ailes basses (2010), Les Effigies (2013), Le Dieu des portes
(2016), Aphélie, suivi de Noctifer (2018), La Table d’attente (2019),
Nuages rois (2021) : tels sont, parmi de multiples écrits, les titres des
principaux livres de poésie que publia Frédéric Tison.
Plus exercice de la pensée descendant en soi-même qu’approche
sensitive des choses ; entièrement vouée au discontinu, aux
métamorphoses, au mouvement, au passage ; aimantée par le mystère,
par les mythes et le sacré ; sensible aux richesses de la pénombre
(« approfondir ma pénombre est mon entier trésor », écrivait-il) ;
irrésistiblement orientée par la Beauté (c’est quasiment incongru dans
la poésie d’aujourd’hui !) ; cette poésie, dès ses débuts, sonna pour
nous, ses premiers lecteurs, en une harmonie dont l’époque semblait
avoir perdu jusqu’au souvenir. Ensemble, l’énigme et le sens y
brillaient pour nous.
Montant à l’horizon de notre temps, elle aura été, sans vaine rumeur,
sans profession de foi, sans manifeste, un authentique événement,
passé presque inaperçu. Quelque chose – quelque part dans notre
cycle évolutif – s’est rompu, s’est disjoint, mais en même temps, s’est
mué en promesse.
Tison a lui-même éclairé, au seuil de son livre, Aphélie, le sens
profond de son engagement poétique : il s’agit pour lui de laisser
parler le lointain qu’il regarde en lui-même, explorer donc son
« lointain intérieur » à l’instar d’un Michaux, mais bien sûr d’une tout
autre manière ; ce qu’il regarde ici, c’est son propre regard. Et voilà ce
que nous croyons être sa « découverte » capitale : son regard dans
l’intime « n’est peut-être qu’un immense Regard partagé, éparpillé ».
Le poète est allé suffisamment loin – en aphélie justement, c’est-à-
dire à la distance où mûrit son retour vers le monde, « chargé de
regards étonnés » – pour comprendre qu’il n’est pas à lui seul sa
propre origine, mais la soif d’un plus vaste regard. Dans ce regard, se
composera l’inaltérable visage, recherché de toute éternité et pour
lequel, dans la longue cohorte du logos, peut-être le poète s’abreuve-t-
il à son tour aux reflets d’une éternelle fontaine originaire, – on pense
à cette Castalie qui, pour lui aussi, coule encore dans le vallon de
Delphes.
Mais revenons enfin à la parole du poète en lisant cette page où se clôt
le livre Aphélie :
JE TOUCHE TES ÉPAULES, je laisse glisser mon ombre
sur la pierre d’angle de tes portiques. Je suis l’ombre qui
toujours t’a suivi. Comme toi j’ai demandé — à l’eau, à
l’arbre, aux villes et aux hommes — qui je suis.
J’ai travaillé — ainsi que l’air, la vague, le feu, ainsi que le
bois, la semence et l’ordure — à la vie.
J’accompagne ce qui passe, ce qui demeure et appelle ; je
suis ce qui se narre, s’oublie et s’invente après toutes les
pluies.
Je suis la fumée sur une veine de marbre — la brèche sur
l’écorce. Je suis quelque clef pour un millier de serrures. Je
me tiens près des havres ; je suis celui qui veille les phares.
Je suis le nom auquel tu n’as jamais pensé.
Photographie de François Charmoille, le 16 avril 2024.
Note rédigée par sa maman, Catherine
18:25 Écrit par Frédéric Tison dans Le Prix Louis Guillaume du Poème en prose 2021, Traces | Tags : frédéric tison, paul farellier | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook |
vendredi, 12 avril 2024
Les Hommes sans Épaules n°57 - Hommage à Frédéric
Le numéro 57 des Hommes sans Épaules d'avril 2024 est dédié à la mémoire de Frédéric.
Pour commander ce numéro, suivez ce lien.
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Que Christophe Dauphin et les poètes qui ont contribué à cet hommage en soient vivement remerciés.
Quelques extraits de la revue :
Hommage de Paul Farellier et de Pierrick de CHERMONT.
Note rédigée par sa maman, Catherine.
18:53 Écrit par Frédéric Tison dans Revues, Traces, Une petite bibliothèque | Tags : hse, les hommes sans épaules, frédéric tison, paul farellier, andre breton, odile cohen-abbas, pierrick de chermont, andré prodhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
vendredi, 24 décembre 2021
De Paul Farellier
Le mercredi 22 décembre 2021 me fut remis le Prix Louis-Guillaume du Poème en prose 2021 pour mon livre La Table d'attente ; à cette occasion, Paul Farellier écrivit et lut ce texte de présentation qu'il m'a autorisé à reproduire ici. Je lui suis infiniment reconnaissant, pour tout.
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Quand on aborde ce livre pour la première fois, et que, bien évidemment, on ne connaît pas encore la richesse poétique que sa lecture va révéler, on se trouve sur un chemin d’apparence modeste. L’auteur nous y accueille d’abord par un titre d’aspect plutôt « tranquille » – La Table d’attente –. Puis la définition académique qui nous en est donnée, assure elle aussi une sérénité relative :
Table d’attente. Plaque, pierre, planche, panneau sur lequel il n’y a encore rien de gravé, de sculpté, de peint. Fig : C’est une table d’attente, ce n’est qu’une table d’attente, se dit d’un jeune homme dont l’esprit n’est pas entièrement formé, mais qui est propre à recevoir toutes les impressions qu’on voudra lui donner.
En réalité, dès le premier poème (Je suis ici le chemin dévorant – et cette offrande-là, unique soleil parmi les herbes, entre les pierres, c’est mon ardente éclipse), on découvre très vite que l’on va avoir affaire à des enjeux immenses. Et tout d’abord, le poète se posera la question fondamentale de sa propre existence et de sa présence au monde :
J’avais vingt-quatre ans, et je veillais près d’un château. Et je me disais : « Je suis sur une terrasse, à ne toujours pas savoir. Suis-je en ce monde un regard ? Suis-je une pensée ? Suis-je un monde d’os et de sang qui passe en écartant quelques voiles, ne suis-je que cette ombre, cette écume-là, vaine sur les dalles ?
Car la table d’attente n’a rien de la mythique page blanche qui, dans la légende littéraire, impatiente si souvent l’inspiration. Elle est le lieu d’une recherche héroïque de soi-même, lieu faste parfois, riche de découvertes revivifiantes, mais aussi lieu pouvant devenir hostile et désertique. Là, sur cet écran de voyance, se nourrit l’invincible mélancolie dont le poète évoquera les ombres multiples, les fera monter sur l’horizon de son histoire.
Que sont-elles, ces ombres ? Elles sont lui-même : regardées, rejointes à plusieurs âges de la vie, chacune témoignant d’une étape de la connaissance, d’une étape de la sensibilité, d’une étape aussi vers « l’autre ami », celui de cet autre visage ardemment recherché bien que le poète craigne qu’il « ne se rencontre peut-être pas ». Car ce livre est en quête perpétuelle d’un amour jamais rejoint, alors même que sa présence peut être si forte à travers les évanescences du rêve :
Une respiration, un baiser sur mes lèvres : est-ce toi qui viens jusqu’à mon corps troublé ?
Jadis je caressais tes oublis — J’attends le jour où je mettrai tes mains au creux des miennes : fuira-t-il assez cet oiseau qui est toi, loin de mes bras ?
(Il paraît que la haute mer connaîtra son corps épuisé — ses regards, ses saisons, ses années — dont les eaux feront des vents et des chansons.)
Un doigt sur tes lèvres et je viens m’y échouer.
Le poète lui-même se tient dans un espace d’ombre dont il dit qu’il lui est infiniment précieux (approfondir ma pénombre est mon entier trésor). Dans cet espace, sa ressouvenance est discontinue : non pas un flot de mémoire, mais un archipel d’étincelles où le passé regarde intensément le visage de l’avenir, et où se remémorer n’est qu’une suite de morts à l’éternel désir, à la beauté toujours mystérieuse, où chaque fois persévère malgré tout un espoir réenchanté.
Au terme, certainement provisoire, que constitue la dernière page de ce livre, le poète se trouve enseigné de son mode d’être au monde ; rien ne le fixe, rien ne l’arrime – se mouvoir, devenir, passer, mais tenir le monde par la mémoire et le regard :
Je suis ici le rythme et l’élan d’un autre vent, d’un autre chant, d’un autre temps.
Nuages ! Haltes incessantes, je suis ici le mouvant.
Je suis ici l’eau vivante — Mort ! Que je te peigne sur fond d’or ou d’océan… Soirs ! Que je vous baigne dans mes miroirs et mes rouges… Amour ! Que je t’invente…
Je serai là l’image qui manque, la ressouvenance, la pleine fenêtre et l’innombrable passant.
La vérité de ce très beau livre ne réside ni dans le caractère introspectif de sa démarche, ni dans le semblant d’autobiographie auquel on aurait grand tort de le réduire. Intemporelle, cette vérité n’a pu naître cependant que de la fluidité du temps et de la présence-absence du poète à chacune des étapes de son âge et dans leur entremêlement. De là dérive, pour ce livre, avec ces mots qui descendent vers nous dans leur tremblement et leur écho, la grâce de ce que Bonnefoy appelait « vérité de parole » et qui est seul garant de vraie poésie.
C’est à quoi nous avons été particulièrement sensibles. Il faut ajouter qu’en couronnant ce livre, notre jury s’est sans doute également souvenu qu’il avait à distinguer un ouvrage de poèmes en prose, c’est-à-dire un ouvrage composé d’authentiques poèmes, eux-mêmes écrits dans une véritable prose. La Table d’attente est, à cet égard, tout proche de ce qu’on pourrait appeler « notre idéal » : les quatre-vingt-dix-neuf pièces qui le composent sont indiscutablement d’admirables poèmes ; mais, de surcroît, la prose qui en forme le corps nous est apparue comme l’une des plus éblouissantes qui se puissent rencontrer dans la poésie de langue française d’aujourd’hui, en même temps que l’une des plus musicales. Lire ou écouter ce livre est un rare plaisir de l’esprit.
Paul Farellier
02:55 Écrit par Frédéric Tison dans Le Prix Louis Guillaume du Poème en prose 2021, Lectures, Soirées & manifestations, Une petite bibliothèque | Tags : paul farellier | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
samedi, 25 avril 2020
« L'Arbre voyageur », une carte d'art
Une parution
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L’Arbre voyageur,
poème de Paul Farellier, 29 mars 2020,
dessin de Frédéric Tison, mars 2020.
Hors commerce.
Pour vous procurer la carte, veuillez m'écrire ici.
07:14 Écrit par Frédéric Tison dans Livres parus, Une petite bibliothèque | Tags : paul farellier, frédéric tison, l'arbre voyageur, carte d'art | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
samedi, 26 janvier 2019
Pages dans la forêt — Aperçus de la poésie française contemporaine
Pages dans la forêt — Aperçus de la poésie française contemporaine
Paul Farellier
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et cet obscur porté à même la peau,
je reviens vers vous parfois, les nuits d'été,
échanger présence et monnaie de lumière.
le temps simple de rire dans nos regards ;
puis je repars pour les menées d'un hiver
avec cet avenir qui durcit le ciel.
éditions L'Arbre à paroles, collection Traverses, 2000, p. 46,
repris dans L'Entretien devant la nuit, Poèmes 1968-2013, Les Hommes sans Épaules éditions, 2014, Grand Prix de poésie de la SGDL 2015,
p. 448.
11:03 Écrit par Frédéric Tison dans Pages dans la forêt | Tags : florilège, paul farellier, dans la nuit passante, l'entretien devant la nuit | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
samedi, 29 septembre 2018
Souvenir d'un Mercredi
Paul Farellier, Frédéric Tison et Bernard Fournier,
lors du Mercredi du poète du 26 septembre 2018,
au café Le François Coppée,
1, boulevard du Montparnasse, à Paris VI,
photographie (capture d'une vidéo) : Norbert Crochet.
Sur le site du Mercredi du poète.
18:32 Écrit par Frédéric Tison dans Soirées & manifestations, Une petite bibliothèque | Tags : mercredi du poète, paul farellier, bernard fournier, frédéric tison, café le françois coppée | Lien permanent | Commentaires (3) | Facebook |
mardi, 13 décembre 2016
Un samedi après-midi, à la brasserie Lipp (2)
Votre serviteur & Paul Farellier,
à la brasserie Lipp, le samedi 10 décembre 2016,
à l'occasion de la remise du Prix Aliénor 2016 au livre Le Dieu des portes,
photographies de Stéphane Bily,
reproduites avec l'aimable autorisation de leur auteur.
Lien vers la première photographie.
Lien vers la seconde photographie.
La Galerie de photographies de Stéphane Bily.
16:53 Écrit par Frédéric Tison dans Le Prix Aliénor 2016, Une petite bibliothèque | Tags : photographie, paul farellier, frédéric tison, prix aliénor 2016, brasserie lipp, le dieu des portes, stéphane bily | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
dimanche, 10 mai 2015
Le rendez-vous des îlots — Communiqué
Paul Farellier au café littéraire Le Mercredi du Poète
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Le livre de Paul Farellier, L'Entretien devant la nuit,
qui a obtenu le Grand Prix de Poésie de la SGDL (Société des Gens de Lettres),
sera présenté par Max Alhau en présence de l'auteur, à 15 h,
au café littéraire Le Mercredi du Poète, le mercredi 27 mai 2015.
Le Mercredi du Poète :
café "Le François Coppée" (salle du 1er étage),
1, boulevard du Montparnasse, Paris VI. Métro : Duroc.
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Paul Farellier au musée Jacquemart-André, à Paris, en avril 2011.
(Photographie de Frédéric Tison)
07:57 Écrit par Frédéric Tison dans Autour du livre | Tags : paul farellier, rencontre | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
jeudi, 23 janvier 2014
« Poèmes choisis »
Poèmes de Paul Farellier,
sur le site de la revue de poésie en ligne Recours au poème.
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(à Paul Farellier.)
Joachim Wtewael (1556-1638), Persée secourant Andromède (1611), détail,
Musée du Louvre, photographie : octobre 2012.
16:47 Écrit par Frédéric Tison dans Album des phrases, Musée d'un regard | Tags : paul farellier, poèmes, photographie, frédéric tison, joachim wtewael, persée secourant andromède, détail | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |