samedi, 08 avril 2017
Après quelques vagabondages (Interlude)
Au centre, le linguiste Claude Hagège (né en 1936), lors de son allocution « Vagabondages poétiques »
à la séance mensuelle du Cercle Aliénor, à la brasserie Lipp, à Paris VI,
photographie (prise avec mon téléphone portable) du samedi 8 avril 2017.
19:12 Écrit par Frédéric Tison dans Île-de-France, Voyages et promenades en France | Tags : frédéric tison, photographie, claude hagège, cercle aliénor, brasserie lipp | Lien permanent | Commentaires (4) | Facebook |
mardi, 13 décembre 2016
Un samedi après-midi, à la brasserie Lipp (2)
Votre serviteur & Paul Farellier,
à la brasserie Lipp, le samedi 10 décembre 2016,
à l'occasion de la remise du Prix Aliénor 2016 au livre Le Dieu des portes,
photographies de Stéphane Bily,
reproduites avec l'aimable autorisation de leur auteur.
Lien vers la première photographie.
Lien vers la seconde photographie.
La Galerie de photographies de Stéphane Bily.
16:53 Écrit par Frédéric Tison dans Le Prix Aliénor 2016, Une petite bibliothèque | Tags : photographie, paul farellier, frédéric tison, prix aliénor 2016, brasserie lipp, le dieu des portes, stéphane bily | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
dimanche, 11 décembre 2016
Présentation du livre 'Le Dieu des portes', par Béatrice Marchal
Présentation du livre Le Dieu des portes de Frédéric Tison,
lauréat du Prix Aliénor 2016,
par Béatrice Marchal, Présidente du Cercle Aliénor,
à la brasserie Lipp, le samedi 10 décembre 2016.
(Le bandeau, d'azur aux lettres d'argent, du Cercle Aliénor.)
Le titre d’abord nous interpelle, servi par la saisissante photo, en couverture, d’un regard d’ange dirigé vers l’Au-delà. Dans une Note liminaire, l’auteur explique d’emblée que « de Janus à proprement parler [le dieu romain au double visage], il ne sera pas question dans ces pages » ; mais le dieu des portes n’en reste pas moins actuel, puisque son œuvre, qui se situe essentiellement dans le temps, « est de passer – d’aller enfin », passage perçu par la présence du vent dans ces textes, aussi forte qu’insaisissable : « J’aime le vent, et chaque vent me déçoit » ; aussi « à nous de traquer à chaque instant sa présence », dit le poète qui fait sienne la devise de son aîné, Jean-Antoine Roucher, « se regarder passer ».
10:51 Écrit par Frédéric Tison dans Le Prix Aliénor 2016, Une petite bibliothèque | Tags : béatrice marchal, le dieu des portes, texte de présentation, frédéric tison, prix aliénor 2016, brasserie lipp | Lien permanent | Commentaires (4) | Facebook |