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dimanche, 06 octobre 2024

Automne 2024 - Margelles n°19 fait une place à l'oeuvre de Frédéric

Vient de paraître le numéro 19 de la revue en noir et blanc Margelles,

conçu et piloté par Isabelle Sancy.

 

Capture d’écran 2024-10-06 092208.jpg

 

Parmi le nom de tous les artistes présentés, figure celui de Frédéric.

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Y figurent des extraits du Dieu des Portes et de Nuages Rois.

Le Dieu des portes (2013-2015). Paris : Librairie-Galerie Racine, collection Les Hommes sans Épaules, 2016, Prix Aliénor 2016. (Le Dieu des portes a été retenu dans la sélection finale 2016 du Prix Mallarmé, du Prix Roger-Kowalski, Grand Prix de la ville de Lyon 2016, du Prix Roger-Kowalski des lycéens et du Prix du poème en prose Louis-Guillaume.)

Nuages rois (2018-2020). Paris : Librairie-Galerie Racine, collection Les Hommes sans Épaules, 2021. (Nuages rois a été retenu dans la sélection finale 2022 du Prix Mallarmé.)

* * *

Bruno Guattari est l'éditeur de cette revue dont on peut télécharger la version numérique.

Merci à tous ceux qui ont permis par cette revue de garder trace de l’œuvre de Frédéric.

 

Note rédigée par sa maman, Catherine.

dimanche, 08 octobre 2017

Archive sonore

 

 

 

 



 (c) Archives du Cercle Aliénor. Tous droits réservés.

 

Enregistrement sonore de la séance du 10 décembre 2016,
à la brasserie Lipp, lors de la remise du Prix Aliénor au Dieu des portes, par Frédéric Tison.

Avec Béatrice Marchal, Colette Klein, Guy Chaty, Michel Passelergue,
Bernard Fournier,
Jean-François Blavin, Frédéric Tison.

 

 

 

 

 

jeudi, 22 décembre 2016

Un samedi après-midi, à la brasserie Lipp (3)

 

 

 

 

SAM_3502.JPG

 

Alain Breton, votre serviteur, Béatrice Marchal, Colette Klein et Guy Chaty,
à la brasserie Lipp, le samedi 10 décembre 2016,
à l'occasion de la remise du Prix Aliénor 2016 au livre Le Dieu des portes,
photographie : Norbert Crochet.

*


Ci-dessous : Paul Farellier, votre serviteur, et Béatrice Marchal dans le miroir,
photographie : G. T.

 

20161210 Paris (11-2) K.JPG

 

D'autres photographies ici et .

 

 

 

 

mardi, 13 décembre 2016

Un samedi après-midi, à la brasserie Lipp (2)

 

 

 

 

Frédéric Tison, lauréat du prix Aliénor pour son livre « Le Dieu des portes » — brasserie Lipp, Paris, décembre 2016.JPG

 

 

Le poète Paul Farellier — remise du prix Aliénor de poésie à Frédéric Tison, Lipp, Paris, décembre 2016.JPG

 

Votre serviteur & Paul Farellier,
à la brasserie Lipp, le samedi 10 décembre 2016,
à l'occasion de la remise du Prix Aliénor 2016 au livre Le Dieu des portes,
photographies de Stéphane Bily,
reproduites avec l'aimable autorisation de leur auteur.

Lien vers la première photographie.
Lien vers la seconde photographie.

 

La Galerie de photographies de Stéphane Bily.

 

 

 

 

Un samedi après-midi, à la brasserie Lipp (1)

 

 

 

Quelques images de l'après-midi du samedi 10 décembre 2016,
à la brasserie Lipp,
à l'occasion de la remise du Prix Aliénor 2016
et de la lecture de poèmes des poètes du Cercle Aliénor :
c'est ici.

 

 

 

 

 

dimanche, 11 décembre 2016

Présentation du livre 'Le Dieu des portes', par Béatrice Marchal

 

 

Présentation du livre Le Dieu des portes de Frédéric Tison,
lauréat du Prix Aliénor 2016,
par Béatrice Marchal, Présidente du Cercle Aliénor,
à la brasserie Lipp, le samedi 10 décembre 2016.

 

 

Frédéric Tison - Le Dieu des portes - Librairie-Galerie Racine - Prix Aliénor 2016.JPG

  (Le bandeau, d'azur aux lettres d'argent, du Cercle Aliénor.)

 

 

Le titre d’abord nous interpelle, servi par la saisissante photo, en couverture, d’un regard d’ange dirigé vers l’Au-delà. Dans une Note liminaire, l’auteur explique d’emblée que « de Janus à proprement parler [le dieu romain au double visage], il ne sera pas question dans ces pages » ; mais le dieu des portes n’en reste pas moins actuel, puisque son œuvre, qui se situe essentiellement dans le temps, « est de passer – d’aller enfin », passage perçu par la présence du vent dans ces textes, aussi forte qu’insaisissable : « J’aime le vent, et chaque vent me déçoit » ; aussi « à nous de traquer à chaque instant sa présence », dit le poète qui fait sienne la devise de son aîné, Jean-Antoine Roucher, « se regarder passer ».

 

Lire la suite ici.