lundi, 17 janvier 2022
Le Cabinet des Glaces
00:26 Écrit par Frédéric Tison dans Île-de-France, Musée d'un regard, Voyages et promenades en France | Tags : frédéricphptographie, cabinet des glaces, hôtel de la marine, frédéric tison, photographie, paris | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
dimanche, 16 janvier 2022
Constellation sur un tapis (Pour des Lys d'or)
23:49 Écrit par Frédéric Tison dans Île-de-France, Musée d'un regard, Voyages et promenades en France | Tags : : chambre à coucher de madame thierry de ville-d'avray, hôtel de la marine, paris, frédéric tison, photographie | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Glané (2)
Florilège de paroles entendues dans notre monde (2019-2021), notées dans mes carnets.
« — Tu me fais penser à George Michael dans son clip As, cette chanson avec Mary J. Blige. — Ah oui ? C'est flatteur ! Pourquoi donc ? — C'est à cause de ta moustache. » (Dans un bar (C'était moi qui demandai pourquoi).)
« Le ciel est trop bleu pour qu'on le voie aujourd'hui. » (Un jeune homme dans la rue, au téléphone.) [Ah non, ceci est de moi ; tant pis, je me suis trompé de phrase, c'est de ma faute et tout cela sera attribué à ce jeune homme aimable, qui dit plus ou moins la même chose...]
« Zut, j'ai perdu mes clefs, mais tu es là, non, tu es ma clef ? » (Dans une brasserie.)
19:25 Écrit par Frédéric Tison dans Album des phrases | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
La chambre à coucher
12:33 Écrit par Frédéric Tison dans Île-de-France, Voyages et promenades en France | Tags : chambre à coucher de madame thierry de ville-d'avray, hôtel de la marine, paris, frédéric tison, photographie | Lien permanent | Commentaires (3) | Facebook |
Glané
Florilège de paroles entendues dans notre monde (2019-2021), notées dans mes carnets.
« Moi, c'qu'je kiffe, c'est la beauté. » (Un jeune homme dans la rue.)
« J'm'en bats la moule. » (Une Parisienne élégante, dans la rue.)
« Pour moi, tu réalises pas, c'est le langage qui compte. » (Dans une brasserie.)
« Ouais, Vermeer, c'est pas mal, mais bon, quand même, tu vois, l'art street, c'est quand même plus sympa. » (Lors d'une exposition.)
« Macron, c'est nul, mais y a quoi d'autre, à part un roi ? Et un roi c'est nul aussi. » (Dans une brasserie.)
« Bla bla bla tout ça. Moi c'que j'aime, c'est l'amour sincère et authentique, enfin quelque chose comme ça. » (Dans un bar.)
« Mozart, c'est moyen. » (Lors d'une soirée privée.)
« Debussy, qu'est-ce qu'on s'emmerde ! » (Lors d'une soirée privée.)
« Le monde est une frite qu'on bouffe. » (Dans un commerce.)
« Une hostie, finalement, c'est comme une chips. » (Sur le parvis d'une église parisienne.)
12:28 Écrit par Frédéric Tison dans Album des phrases | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
samedi, 15 janvier 2022
Retenir
Toute musique retient sa tristesse (ainsi que le poème).
18:20 Écrit par Frédéric Tison dans Autour de la musique, Crayonné dans la marge, Minuscules, Sur le poème | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
mardi, 11 janvier 2022
Devenir
Il m'apparaît que le musicien voudrait devenir sa propre musique, comme le poète voudrait devenir son propre poème.
15:32 Écrit par Frédéric Tison dans Autour de la musique, Crayonné dans la marge, Sur le poème | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
lundi, 10 janvier 2022
Le Poème fantôme
21:31 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
dimanche, 09 janvier 2022
L'arrivée et le départ
10:31 Écrit par Frédéric Tison dans Île-de-France, Voyages et promenades en France | Tags : frédéric tison, photographie, escalier, hôtel de la marine, paris | Lien permanent | Commentaires (4) | Facebook |
samedi, 08 janvier 2022
La contemplatrice d'étoiles
19:25 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard | Tags : frédéric tison, photographie, la contemplatrice d'étoiles, marbre, asie mineure occidentale | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
vendredi, 07 janvier 2022
Des doigts
Vêtir ses doigts de bagues, c'est lancer une main possible dans le monde inépuisable.
10:22 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
jeudi, 06 janvier 2022
Des portes & d'une fenêtre
Des gens claquent leurs portes avec un bruit terrible, sans se soucier de savoir si ce bruit pourrait déranger leurs voisins. Moi, j'ouvre doucement une fenêtre.
21:25 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
De la peur
Je n'ai peut-être jamais eu véritablement peur (je parlerais plutôt de terreur) parce que j'ai toujours senti quelque hostilité, quelque absence, quelque horreur, quelque mensonge dans ce monde, et que j'ai toujours su que je serai seul, que je vivrai seul, que je mourrai seul, et que la peur était inévitable. — Dès lors, pourquoi avoir peur dans ce froid, dans cette solitude, dans cette indifférence ?
C'est la raison pour laquelle, au sein de cette abomination incompréhensible et absurde, la musique me fut toujours une tendresse, la musique qui sait tout, la musique évidente comme le plus beau des poèmes.
J'ai cependant eu peur, une fois, en découvrant quelque morceau que je ne connaissais pas : c'était le magnifique et terrible "Deuxième Mouvement" de la Neuvième Symphonie de Bruckner, que je ne peux écouter qu'en tremblant. Là résidait peut-être ma propre peur, laquelle était cachée ; je puis désormais entendre calmement ce mouvement (même si le petit enfant que je reste a toujours peur en l'écoutant, et frémit, et se souvient).
17:49 Écrit par Frédéric Tison dans Autour de la musique, Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
L'aile interrompue
13:08 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
D'un envoyé extraordinaire
Dans le livre d'histoire que je lis en ce moment, j'apprends que, en 1687, tel "envoyé extraordinaire de Sa Majesté" a dû faire ceci, et cela, etc. Peu importe. Je retiens l'envoyé extraordinaire : cet (ou ce) hiatus ravira, je le sais, tel ami mien. Ô cet Envoyé extraordinaire !
12:03 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |