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mercredi, 12 octobre 2022

Les arbres bien rangés

 

 

 

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Au château de Champs, en Seine-et-Marne, photographie : avril 2013.

 

 

 

mardi, 11 octobre 2022

Des oiseaux à Paris

 

 

Il y a, à Paris, comme dans la plupart des villes du monde, de nombreux oiseaux. Dans l'air de Paris, nous surprenons les cris et les chants de corneilles, pigeons, merles, piafs, mésanges, mouettes et goélands (ces derniers, apparemment, passent de temps en temps quelques jours de vacances dans le port de l'Arsenal qui se trouve non loin de chez moi)... Le cri des corneilles n'est pas beau, mais il m'amuse ou m'intrigue. Le chant des merles et des passereaux — lesquels, dirait-on, sont de véritables garnements dans la mesure où ils ne cessent de pépier — est très harmonieux, et ces oiseaux s'adonnent à d'étonnantes et innombrables variations. Mais c'est le cri des mouettes et des goélands qui m'émeut le plus : il apporte la mer et tous les océans jusqu'à ma fenêtre ouverte, par où je ne vois que des pierres, du verre et du ciel bleu ou gris.

 

 

 

11:40 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Du mensonge & et de l'usurpation légère

 

 

Un problème contemporain ne réside pas tant dans l'absence entre les personnes que dans le mensonge. L'absence est intelligible, si elle est clairement énoncée, ou bien implicite (On n'est pas appelé, on sent que l'insistance est inutile, que le silence est éloquent). Le mensonge, lui, est une infâmie : il ruine toute la confiance, il règne confortablement dans une ignominie que je soupçonne d'être parfois légère, insouciante, presque haineuse. Il est une flaque que je prends parfois pour un océan, un gave ou une rivière. Incarné dans ce visage aimé, il est là, il est venu ; mais il ne parle que de lui ; mais mes marins, sur mon vaisseau, n'ont pas assez de cordes pour me fixer au mât, lesquelles m'empêcheraient de succomber au chant des Sirènes ! Serais-je un Ulysse mou ? Non, certes. La plupart du temps, dans les articles que je consulte et dans les messages que je reçois, je ne lis que sottise, répétition éreintante, consolations inutiles. Je rêve à des yeux de ciels, je rêve à des yeux d'océans !

 

 

 

03:33 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

lundi, 10 octobre 2022

La vasque & le château

 

 

 

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Dans le parc du château de Champs, en Seine-et-Marne, photographie : avril 2013.

 

 

 

Les arbres

 

 

 

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Dans le parc du château de Champs, en Seine-et-Marne, photographie : avril 2013.

 

 

 

 

dimanche, 09 octobre 2022

Les fleurs blanches

 

 

 

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Dans le parc du château de Champs, en Seine-et-Marne, photographie : avril 2013.

 

 

 

 

Entendu dans une fleuristerie

 

 

Le fleuriste : — Voulez-vous écrire un petit mot pour la personne à qui vous allez offrir cette fleur ?

 

Le client : — Non, non. Cette fleur est pour moi, j'aime m'offrir des fleurs.

 

 

 

15:54 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

samedi, 08 octobre 2022

La vasque

 

 

 

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Au château de Champs, en Seine-et-Marne, photographie : avril 2013.

 

 

 

 

jeudi, 06 octobre 2022

Du partage

 

 

 

Il s'agit de partager le paradis.

 

 

 

 

13:48 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

mercredi, 05 octobre 2022

De la perfection

 

 

 

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Au château de Champs, en Seine-et-Marne, photographie : avril 2013.

 

 

 

 

De la joie

 

 

Si notre joie, croyons-nous, dépend d'un autre, elle est, dès l'origine, fissurée.

 

 

 

18:38 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Du soleil en automne

 

 

Le soleil, en automne, à Paris, est plus calme.

 

 

 

12:40 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Si

 

 

Si je n'avais pas fait, ni aimé, ni commis certaines sottises, je n'écrirais pas comme je le fais. 

 

 

 

12:36 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

L'œil qui capture

 

 

 

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Affiche publicitaire pour je ne sais quoi (je n'ai jamais retenu aucune publicité)
à la station de métro Reuilly-Diderot, à Paris XII, photographie : octobre 2022.

 

 

 

De quelques rares

 

 

Peut-être faut-il quelques rares beautés malades et inadaptées à ce monde pour le soulever.

 

 

 

02:04 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |