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samedi, 10 septembre 2022

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                                                  I

06:24 Écrit par Frédéric Tison | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

vendredi, 09 septembre 2022

Beauté de Paris

 

 

Il fait beau quand il pleut à Paris.

 

 

 

22:51 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

jeudi, 08 septembre 2022

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A

11:39 Écrit par Frédéric Tison | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

mercredi, 07 septembre 2022

Les épreuves

 

 

 

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Détail des épreuves d'un livre (?) par Honoré de Balzac,
sur son bureau devant la fenêtre de son cabinet de travail,

dans la maison de Balzac, à Paris XVI, photographie : août 2022.

 

 

 

mardi, 06 septembre 2022

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V

23:57 Écrit par Frédéric Tison | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

De la solitude & de l'élégance

 

 

 

J'ai, une fois, croisé dans Paris un jeune homme aussi élégamment vêtu que Raphaël de Valentin. Tout le monde le regardait avec un air bête, ricanant ou moqueur. Moi, je l'aimais beaucoup. Tout est dans les yeux. Je l'ai salué discrètement, en souriant doucement, et son salut fut aussi élégant que son vêtement.

 

 

 

23:36 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Les épreuves

 

 

 

SAM_1590 b.JPG

 

Détail des épreuves de La Vieille Fille, par Honoré de Balzac,
dans la maison de Balzac, à Paris XVI, photographie : août 2022.

 

 

 

In a bed in Yugoslavia

 

 

 

 

And Also The Trees, In a bed in Yugoslavia, dans l'album The Bone Carver (2022).

 

 

 

22:44 Écrit par Frédéric Tison dans Et aussi les arbres | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

D'une élégance

 

 

L'élégance est d'être suspendu.

 

 

 

16:18 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Chez Balzac

 

 

 

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La maison de Balzac, à Paris XVI, photographie : août 2022.

 

 

 

 

lundi, 05 septembre 2022

Le chat dans l'escalier

 

 

 

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À Paris, photographie : septembre 2022.

 

 

 

 

14:51 Écrit par Frédéric Tison dans Photographies solitaires | Tags : frédéric tison, photographie | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

Une parution : "Écho, tes lèvres"

 

 

 

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Frédéric Tison, Écho, tes lèvres (2021), août 2022,
Chez l'auteur, 78 p., édition limitée,

avec un poème manuscrit de l'auteur,
prix : 150 euros.

 

 

 

14:43 Écrit par Frédéric Tison dans Livres parus, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Regarder les mots

 

 

 

Il me semble que l'un des maux de notre temps (mais lui est-il propre ? Non, évidemment) est de n'être pas lu : nous écrivons des mots qui ne sont pas lus, nous parlons dans le vide, sur une page qui apparaît blanche aux yeux de ceux qui ne voient pas les mots. Nous avons beau écrire, mettre en toutes lettres quelque chose sur un support écrit, qu'il soit de papier ou virtuel : eh bien, non, nul ou presque ne lit ce que nous avons écrit : tel répond à côté de notre interrogation ou de nos propos, tel autre fait exactement le contraire de ce que nous lui avions demandé gentiment de faire, comme si nos mots pourtant limpides étaient brouillés, opaques, lointains, comme s'ils n'avaient jamais existé. Cela reste pour moi un mystère. On n'y voit rien est le titre d'un beau livre de Daniel Arasse sur la peinture ; il m'apparaît que celui-ci pourrait s'étendre à toute la langue.

Jamais, aujourd'hui, l'expression de lettre morte n'aura été aussi juste.

 

 

 

03:37 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

dimanche, 04 septembre 2022

Du Scherzo de Josef Suk

 

 

 

 

Josef Suk, Scherzo fantastique (1902-1903), Czech Philharmonic Orchestra dirigé par Charles Mackerras.

 

Du Scherzo de Josef Suk je n'ai jamais trouvé qu'il soit judicieux de l'appeler "fantastique", même s'il s'agit de l'extrait d'une suite symphonique issue d'une rêverie sur des contes, mais peut-être est-ce là que je songe trop à la Symphonie fantastique de Berlioz, et que j'écris là une sottise. Cependant voilà une musique somptueuse, déroutante, élégante (elle me fait songer à celle de Grieg, que j'aime tant), et dont certains passages sont d'une délicatesse inouïe qui donne envie de vivre et de mourir dans le même temps. Il y a même quelques oiseaux qui passent comme en frémissant, et s'en vont comme tous les oiseaux !

 

 

 

Des sons

 

 

 

Le contraste entre les sons que nous entendons est, parfois, à devenir fou : voici que j'écoute un chant adorable d'oiseau, au matin, et le camion rugissant du service indispensable des poubelles (cependant, anormalement bruyant à Paris, j'en ignore les raisons techniques) traverse la rue ; voici que j'écoute quelque symphonie de Sibelius, et quelqu'un, dans mon immeuble, faisant vibrer les murs, claque si violemment sa porte qu'on se croirait un instant dans l'antre des Nains du Nibelungen de Wagner ; voici que j'adore le silence enfin revenu, et la sonnerie du téléphone retentit (Heureusement, dans notre pauvre monde, la possibilité du "mode silencieux" est prévue (J'aurais jeté par la fenêtre mon téléphone portable si cette possibilité ne l'avait pas été)) ; voici que j'ouvre grand ma fenêtre pour regarder le ciel, et quelque clochard ivre trainant là, dans mon petit passage habituellement calme, se met à vociférer. Ô mon château solitaire sur une île au milieu d'un lac, où es-tu ?

 

 

 

07:08 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |