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mercredi, 02 octobre 2013

« Les anges s'étonnent »

  

 

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Jean Cocteau, « Les anges s'étonnent » (1953),
illustration pour
Thomas l'imposteur, dessin à l'encre noire,
dans la maison du Bailly, demeure (1947-1963) de Jean Cocteau, à Milly-la-Forêt, dans l'Essonne,
photographie : août 2013.

 

 

 

mardi, 01 octobre 2013

Encre noire

 

 à Straton.

 

 

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Jean Cocteau, « Attendre » (1940), dessin à l'encre noire, détail,
dans la maison du Bailly, demeure (1947-1963) de Jean Cocteau, à Milly-la-Forêt, dans l'Essonne,
photographie : août 2013.

 

  

lundi, 30 septembre 2013

« J'embrasse ta belle âme »

  

 

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Photographie de Marlène Dietrich dédicacée pour Jean Cocteau
(photographe non identifié, sans date, détail), dans la maison du Bailly, 
demeure (1947-1963) de Jean Cocteau, à Milly-la-Forêt, dans l'Essonne,
photographie : août 2013.

 

 

 

mercredi, 18 septembre 2013

L'heure et la lumière

 

 

Si la date, si l'heure sont si précieuses pour véritablement connaître la photographie d'un visage, d'une ville, d'un palais ou d'un jardin, il ne semble pas toujours qu'elles le soient pour des photographies de peintures. Et pourtant, la lumière, le temps, l'air même qui sont autour du tableau, et sur lui, influent sur l'image et la fondent ; ils l'inscrivent sur un écran ou du papier avec la même unicité que celle d'un paysage selon le temps. Devant l'Ecce Homo du Caravage, au Palazzo Bianco de Gênes, je me souviens que je fus soudain seul, dans la salle où il est exposé ; et seul durant dix immenses minutes, au moins, dans cette salle vide et silencieuse, que même les gardiens, plus nombreux, ce jour où j'étais là, que les visiteurs du musée, avaient désertée. Et je me souviens de m'être dit brusquement que j'étais la seule personne au monde, à ce moment-là, à contempler cette œuvre déchirante, et que cela était quelque chose d'extraordinaire, moi — énième contemplateur parmi les siècles et les visiteurs, comme ce tableau en avait déjà tant vus — devant ce Christ de peinture violemment éclairé que montrent les mains et les yeux sévères et lointains de Pilate, Jésus baissant les yeux, au visage jeune et si beau — et que ce moment était une immarcescible présence, comme si Le Caravage, pour un seul regard, n'avait peint ce tableau que pour moi, à cet instant-là — ce qui d'ailleurs était vrai : j'étais le seul au monde, alors, à le contempler...

 

 

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Michelangelo Merisi dit Le Caravage (1571/73-1610), Ecce Homo (vers 1605),

Palazzo Bianco, Gênes, photographie : vendredi 26 juillet 2013, une heure de l'après-midi.

 

 

 

mardi, 17 septembre 2013

Le toucher

  

 

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Bernardo Strozzi (1581-1644), L'Incrédulité de saint Thomas, détail.

Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

jeudi, 12 septembre 2013

Les larmes

 

  

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Hans Memling (1435/1440-1494), Christ de douleur bénissant (vers 1480-1490), détail.

Palazzo Bianco, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

 

mercredi, 11 septembre 2013

Jean et les Nombres

  

 

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Palma le Jeune (Jacopo di Antonio Negretti, dit Palma il Giovane, 1548-1628),

La Femme adultère. Palazzo Rosso, Gênes, Italie, photographie : juillet 2013.

 

 

Les exégètes s'interrogent toujours sur les mystérieuses paroles que Jésus trace sur le sol lors de l'épisode de la femme adultère (Jean, 8, 1-11), invoquant un passage du Deutéronome (10, 4) qui l'aurait inspiré.

Cependant, pourquoi les rédacteurs de l'Évangile de Jean n'auraient-ils pas songé, ou songé également, aux versets des Nombres (5, 11-31) où nous est narré le rôle de "l'eau de jalousie" ? J'ouvre le livre et je lis que, pour confondre une femme soupçonnée d'adultère, le prêtre devait, selon les prescriptions de Yahvé, préparer une mixture que la femme devait avaler : il s'agissait d'eau sainte, que le prêtre mélangeait à de la poussière ramassée sur le sol du Temple ; à cette "eau amère" était ensuite ajoutée l'encre d'une formule de malédiction écrite sur un livre que l'on mouillait. La femme qui n'était en rien incommodée par l'amertume du breuvage était innocente ; celle dont, nous dit-on, le ventre enflait et la cuisse se desséchait était coupable. Peut-être Jésus songea-t-il à cette poussière de l'eau de jalousie, peut-être ne voulut-il écrire aucune malédiction dans un livre, préférant écrire de frêles paroles éphémères sur le sol, pour dire à la femme, à haute voix, qu'elle pouvait aller ?

 

 

mardi, 10 septembre 2013

Céleste

 

  

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Le Guerchin (Giovan Francesco Barbieri, 1591-1666), Le Père Éternel avec un petit ange, détail (vers 1620).

Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

lundi, 09 septembre 2013

Archange

 

 

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Ludovic Carrache (Ludovico Carrachi, 1555-1619), Annonciation, détail (1603-1604).

Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

dimanche, 08 septembre 2013

Des ailes dans le labyrinthe d'un Palais rouge

 

  

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Andrea Sacchi (1599-1661), Dédale et Icare (vers 1645), détail.

Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

vendredi, 06 septembre 2013

D'après Ovide

  

 

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 Domenico Piola (1627-1703) & Stefano Camogli (vers 1610-1690), Le Char du Soleil avec les Saisons, (vers 1645-1650), détail.

Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

mardi, 03 septembre 2013

Le cartouche

 

  

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Domenico Piola (1627-1703), cartouche et détail de L'Athénée des Beaux-Arts.

 Palazzo Bianco, Gênes, Italie, photographie : juillet 2013.

 

 

lundi, 02 septembre 2013

Trois feuilles et un petit fruit

  

 

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Joos Van Cleve (vers 1485-1540/1541), Vierge à l'Enfant (vers 1518-1522), détail.

 Palazzo Bianco, Gênes, Italie, photographie : juillet 2013.

 

 

dimanche, 01 septembre 2013

Dans le Palais blanc

 

  

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Luca Cambiaso (1527-1585), Autoportrait de l'artiste en train de peindre le portrait de son père Giovanni (vers 1570), détail.

 Palazzo Bianco, Gênes, Italie, photographie : juillet 2013.

 

 

vendredi, 30 août 2013

Avec figures

 

  

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Joos de Momper (1584-1635), Paysage de montagne avec figures.

Palazzo Bianco, Gênes, Italie, photographie : juillet 2013.