Bleu, blanc, rouge (« Vive la France ! Vive la République ! »)

 

  

  

Claude Monet (1840-1926), Rue Saint-Denis, fête du 30 juin 1878 (1878),
Musée des beaux-arts de Rouen, photographie : septembre 2013.

 

 

(Le spectateur distingue à peine une banderole et un drapeau proclamant "Vive la France !" et "Vive la République !" parmi la foule enflammée des drapeaux.)

 

  

Les coquelicots de Monet

 

 

 

 

Claude Monet (1840-1926), Champ de coquelicots, environs de Giverny (1885), détail,
Musée des beaux-arts de Rouen, photographie : septembre 2013.

 

 

 

Jehanne

 

 

 

Jean-Baptiste Deshays (1729-1765), Sainte Jeanne de France, détail,
Musée des beaux-arts de Rouen, photographie : septembre 2013.

 

 

Ébauche

 

 

 

 

Nicolas Regnier (Nicolo Renieri, vers 1591-1667), Saint Luc peignant la Vierge, détail,
Musée des beaux-arts de Rouen, photographie : septembre 2013.

 

 

 

Regards

  

 

 

Mattia Preti (1613-1699), Saint Nicolas de Bari, détail.
Musée des beaux-arts de Rouen, photographie : septembre 2013.

 

  

Mains

 

  

 

Gérard David (vers 1460-1523), détail de La Vierge entre les vierges (vers 1509),
Musée des beaux-arts de Rouen, photographie : septembre 2013.

 

 

Regard

 

 

 

 

Nicolas Regnier (Nicolo Renieri, vers 1591-1667), Saint Luc peignant la Vierge, détail,
Musée des beaux-arts de Rouen, photographie : septembre 2013.

 

 

 

Toujours selon

 

 

 

Lorsque nous les contemplons, nous retenons des tableaux des musées ce qui nous frappe selon notre histoire (et nos goûts plus ou moins appris), mais l'humeur de nos jours, certainement, y participe également ; pourquoi, en effet, et c'est ce que je me dis quand je revois, pour les trier, les photographies que j'ai pu prendre lors d'une visite d'un musée ou d'une salle d'exposition, pourquoi ai-je pris ce jour-là ce tableau d'abord, puis ce détail, selon cet angle, pourquoi ce visage, ce ciel, ce bras, cette ligne d'arbre, cet éclat de couleur, cette étoffe, cette goutte d'eau, cette ombre ? Il me semble que si j'y revenais aujourd'hui, ne me retiendraient pas tout à fait comme alors le même peintre ni la même lumière. Ainsi je serais, comme nous tous, le temps qui passe devant les tableaux, le temps que regardent les tableaux.

 

 

 

Le satyre près de la Chasseresse

 

  

  

François Clouet (vers 1510-1572), détail du Bain de Diane (vers 1558-1559),
Musée des beaux-arts de Rouen, photographie : septembre 2013.

 

 

Regard

 

 

 

 

Gérard David (vers 1460-1523), détail de La Vierge entre les vierges (vers 1509),
Musée des beaux-arts de Rouen, photographie : septembre 2013.

 

 

 

Lignes de l'ange

 

  

 

Keith Haring (1958-1990), Dialogue de l'Enfer et du Paradis (1984), acrylique sur toile, détail,
Espace CENTQUATRE-Paris, 5 rue Curial, Paris XIX,
à l'occasion de l'exposition "Keith Haring, The Political Line",
photographie : juillet 2013.

 

 

Rythmes modernes

 à Norbert.

 

 

 

Keith Haring (1958-1990), détail, à gauche, du Chien Dansant (1989),
et Tête à travers ventre (1987), à droite, aciers peints, dans le Hall de l'Espace CENTQUATRE-Paris,
5 rue Curial, Paris XIX, à l'occasion de l'exposition "Keith Haring, The Political Line",
photographie : juillet 2013.

 

 

 

Souvenir recommencé

 

 

Je me souviens des tableaux que j'aime ainsi que des corps et des pensées silencieux, attendant nos regards mais s'en passant avec l'élégance et la sérénité de beaux et vieux arbres.

 

 

 

 

Au-dessus de l'autel

 

  

  

Jean Cocteau, La Résurrection du Christ (1950), Chapelle Saint-Blaise des Simples (XIIe s.),
à Milly-la-Forêt, dans l'Essonne, photographie : août 2013.

 

 

Duel

 

  

 

Jean Cocteau, Satan et le Christ (vers 1950 ?), maison du Bailly, demeure (1947-1963) de Jean Cocteau,
à Milly-la-Forêt, dans l'Essonne, photographie : août 2013.