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mardi, 17 septembre 2013

Le toucher

  

 

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Bernardo Strozzi (1581-1644), L'Incrédulité de saint Thomas, détail.

Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

vendredi, 13 septembre 2013

Terrasse du Palais rouge

 

  

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La terrasse au sommet du Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

  

 

mercredi, 11 septembre 2013

Jean et les Nombres

  

 

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Palma le Jeune (Jacopo di Antonio Negretti, dit Palma il Giovane, 1548-1628),

La Femme adultère. Palazzo Rosso, Gênes, Italie, photographie : juillet 2013.

 

 

Les exégètes s'interrogent toujours sur les mystérieuses paroles que Jésus trace sur le sol lors de l'épisode de la femme adultère (Jean, 8, 1-11), invoquant un passage du Deutéronome (10, 4) qui l'aurait inspiré.

Cependant, pourquoi les rédacteurs de l'Évangile de Jean n'auraient-ils pas songé, ou songé également, aux versets des Nombres (5, 11-31) où nous est narré le rôle de "l'eau de jalousie" ? J'ouvre le livre et je lis que, pour confondre une femme soupçonnée d'adultère, le prêtre devait, selon les prescriptions de Yahvé, préparer une mixture que la femme devait avaler : il s'agissait d'eau sainte, que le prêtre mélangeait à de la poussière ramassée sur le sol du Temple ; à cette "eau amère" était ensuite ajoutée l'encre d'une formule de malédiction écrite sur un livre que l'on mouillait. La femme qui n'était en rien incommodée par l'amertume du breuvage était innocente ; celle dont, nous dit-on, le ventre enflait et la cuisse se desséchait était coupable. Peut-être Jésus songea-t-il à cette poussière de l'eau de jalousie, peut-être ne voulut-il écrire aucune malédiction dans un livre, préférant écrire de frêles paroles éphémères sur le sol, pour dire à la femme, à haute voix, qu'elle pouvait aller ?

 

 

mardi, 10 septembre 2013

Céleste

 

  

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Le Guerchin (Giovan Francesco Barbieri, 1591-1666), Le Père Éternel avec un petit ange, détail (vers 1620).

Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

lundi, 09 septembre 2013

Archange

 

 

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Ludovic Carrache (Ludovico Carrachi, 1555-1619), Annonciation, détail (1603-1604).

Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

dimanche, 08 septembre 2013

Des ailes dans le labyrinthe d'un Palais rouge

 

  

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Andrea Sacchi (1599-1661), Dédale et Icare (vers 1645), détail.

Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

Le Palais rouge vu du jardin du Palais blanc

 

  

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Le jardin du Palazzo Bianco, et la façade du Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

samedi, 07 septembre 2013

Dans le Palais rouge

 

  

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Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

Traverser

  

 

J'aurai aimé qu'au Palazzo Rosso, et qu'au Palazzo Bianco, à Gênes, le visiteur pouvait aller et venir à sa guise entre les salles de peinture, les escaliers et les portes-fenêtres qui donnaient sur des terrasses en jardin ou sur un belvédère, dans l'ombre des arbres ou bien, très haut, vers les milliers de toits sous le ciel trop bleu qui tombait sur la mer dévorée par le port.

 

 

 

vendredi, 06 septembre 2013

D'après Ovide

  

 

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 Domenico Piola (1627-1703) & Stefano Camogli (vers 1610-1690), Le Char du Soleil avec les Saisons, (vers 1645-1650), détail.

Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.