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vendredi, 23 mai 2014

Une phrase du voyage

 

 

 

Voyager me semble ouvrir des guillemets qu'il est impossible de fermer.

 

 

 

 

Couleurs

 

 

 

 

 

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Dans la cathédrale Saint-Corentin de Quimper (XIIIe-XVe s.),
photographie : février 2014.

 

 

 

jeudi, 22 mai 2014

Vaisseau de pierre

 

  

 

 

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La cathédrale Saint-Corentin de Quimper (XIIIe-XVe s.),
photographie : février 2014.

 

 

 

Façades

 

  

 

 

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À Quimper, rue Kéréon, et les tours de la cathédrale Saint-Corentin (XIII-XVe s.),
photographie : février 2014.

 

 

 

mercredi, 21 mai 2014

L'Odet dans la ville

 

  

 

 

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À Quimper, l'Odet,
photographie : février 2014.

 

 

 

 

mardi, 20 mai 2014

La vue

 

 

 

 

 

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Des remparts de la Ville Close, vue sur l'arrière-port de Concarneau,
photographie : février 2014.

 

 

 

lundi, 19 mai 2014

Synchronie

 

 

 

Le 4 décembre 1359, Edward III, roi d'Angleterre, campe avec son armée devant Reims, dans l'intention, encore une fois, de s'y faire couronner roi de France — c'est l'un des épisodes que narre Georges Minois dans son long et passionnant ouvrage, La Guerre de Cent Ans, que je suis également en train de lire ; je veux dire que je le lis parmi d'autres livres, car il me faut préciser que cette interminable suite de batailles, de massacres, d'assassinats, de destructions, entée d'épidémies de peste, et de famines, est accablante, et qu'elle demande quelques pauses à son lecteur, non par simple délicatesse, mais parce qu'il faut garder, autant que possible, l'esprit clair (et j'en dirais de même de la lecture continue des immenses et terribles Bienveillantes de Jonathan Littell, lecture continue qui rendrait parfaitement fou le lecteur de ce roman ; elle ne correspond pas à la lecture quotidienne de la vie...).

 

Ainsi donc nous voici à Reims, le 4 décembre 1359. Et, à cette occasion, Georges Minois nous apprend en passant (« Mais l'heure n'est pas à la poésie », écrit-il naïvement*, il faut bien être naïf parfois, même lorsqu'on est Georges Minois) que, parmi ceux qui s'apprêtaient à combattre le roi d'Angleterre et protéger la ville, se trouvait le poète et musicien Guillaume de Machaut, chanoine de la sublime cathédrale, et auteur du Livre du Voir Dit et du Dit de la Rose. Et l'historien d'ajouter que dans le camp d'en face, c'est-à-dire l'armée anglaise, figurait Geoffrey Chaucer, le poète des licencieux et drôles Contes de Cantorbéry. Presque dans le même temps, non loin de là, parce qu'il était de l'entourage des légats du pape Innocent VI qui tentaient en vain quelque paix, François Pétrarque lui-même vint constater l'horreur du désastre qui avait lieu.

 

Mais justement, ce qui avait lieu, en ces heures vraiment affreuses, n'était rien, je veux dire, non pas rien pour ces hommes malheureux qui mouraient au nom de choses qui les dépassaient, et qui étaient massacrés selon les intérêts de puissants pour lesquels ils n'étaient rien, mais rien pour notre inénarrable mémoire, ni pour la beauté ; le véritable événement était la réunion, en un seul lieu, selon quelque heure, de trois hauts poètes, sans doute effarés par leur temps comme nous le sommes par le nôtre. Cela n'eut pas lieu cependant pour les contemporains de Machaut, de Chaucer et de Pétrarque — cela a lieu toujours dans nos pensées, qui sont aussi des rêves, certes.

 

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* Page 199 de l'édition de poche "Tempus", Paris : Perrin, 2010.

 

 

19:49 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

L'imprévu & la réimpression

 

 

 

 

Je signale à mes très chers Lecteurs la deuxième impression* de mon ouvrage Les Effigies, paru en octobre 2013, la première étant épuisée.

On saura, toute affaire cessante, naturellement, se procurer ce livre ici.

 

 

Frédéric Tison - Les Effigies - Librairie-Galerie Racine - collection Les Hommes sans épaules - 2013.JPG

 

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* Je précise qu'il s'agit d'une deuxième impression, non d'une deuxième édition. C'est le même livre.

 

 

 

18:36 Écrit par Frédéric Tison dans Une petite bibliothèque | Tags : frédéric tison, les effigies | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

La Ville Close

 

 

 

 

 

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La Ville Close, Concarneau,
photographie : février 2014.

 

 

 

Huile sur toile

 

 

  

 

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Lucien Victor Delpy (1898-1967), Concarneau, le démantèlement du Québec (1928),
Musée de la pêche, collection de la Ville de Concarneau,
photographie : février 2014.

 

 

 

dimanche, 18 mai 2014

La timidité

 

 

 

 

 

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Blennie ("Blennius Gattorugine"), aquarium, Musée de la pêche, Concarneau,
photographie : février 2014.

 

 

 

Le canot bleu

 

  

 

 

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 Concarneau,
photographie : février 2014.

 

 

 

samedi, 17 mai 2014

Tempus Fugit Velut Umbra

  

 

 

 

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Le Temps Passe Comme l'Ombre,
cadran solaire, remparts de la Ville Close de Concarneau,

photographie : février 2014.

 

 

 

vendredi, 16 mai 2014

L'extravagance

 

 

 

 

 

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Le château de Keriolet (XIIIe s., transformé au XIXe s. en "folie" néo-gothique
par le comte de Chauveau et la princesse impériale russe Zénaïde Narischkine,
puis propriété du prince Félix Felixovitch Youssoupov, assassin de Raspoutine),
près de Concarneau,
photographie : février 2014.

 

 

 

Le château d'un comte, d'une princesse et d'un prince-assassin

 

  

 

 

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Le château de Keriolet (XIIIe s., transformé au XIXe s. en "folie" néo-gothique
par le comte de Chauveau et la princesse impériale russe Zénaïde Narischkine,
puis propriété du prince Félix Felixovitch Youssoupov, assassin de Raspoutine),
près de Concarneau,
photographie : février 2014.