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dimanche, 03 novembre 2024

Denain, le 2 novembre 2024...

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Des fleurs, pour un poète qui les aimait tant...

 

 

Note rédigée par sa maman, Catherine

10:03 Écrit par Frédéric Tison dans Traces | Tags : denain, frederic tison, tombe | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

dimanche, 06 octobre 2024

Automne 2024 - Margelles n°19 fait une place à l'oeuvre de Frédéric

Vient de paraître le numéro 19 de la revue en noir et blanc Margelles,

conçu et piloté par Isabelle Sancy.

 

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Parmi le nom de tous les artistes présentés, figure celui de Frédéric.

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Y figurent des extraits du Dieu des Portes et de Nuages Rois.

Le Dieu des portes (2013-2015). Paris : Librairie-Galerie Racine, collection Les Hommes sans Épaules, 2016, Prix Aliénor 2016. (Le Dieu des portes a été retenu dans la sélection finale 2016 du Prix Mallarmé, du Prix Roger-Kowalski, Grand Prix de la ville de Lyon 2016, du Prix Roger-Kowalski des lycéens et du Prix du poème en prose Louis-Guillaume.)

Nuages rois (2018-2020). Paris : Librairie-Galerie Racine, collection Les Hommes sans Épaules, 2021. (Nuages rois a été retenu dans la sélection finale 2022 du Prix Mallarmé.)

* * *

Bruno Guattari est l'éditeur de cette revue dont on peut télécharger la version numérique.

Merci à tous ceux qui ont permis par cette revue de garder trace de l’œuvre de Frédéric.

 

Note rédigée par sa maman, Catherine.

mardi, 01 octobre 2024

Septembre 2024 - Poésie /première n°89

L'hommage de Paul Farellier à Frédéric du 16 avril 2024 est paru

dans le numéro 89 de la revue poétique et littéraire Poésie/première.

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Pour se procurer ce numéro 89, suivre ce lien.

 

Que Gérard Mottet et tous ses collaborateurs soient chaleureusement remerciés de continuer à parler de la poésie de Frédéric.

 

 

Note rédigée par sa maman, Catherine

mardi, 17 septembre 2024

Possibles n°33 - Septembre 2024 - Carnets II - Hommage à Frédéric

Le dernier numéro de la revue Possibles de Pierre Perrin fait une large place à des textes de Frédéric.

Qu'il en soit chaleureusement remercié, ainsi que Norbert Crochet et Claire Boitel.

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Ainsi donc, des extraits de ses carnets, allant de 2008 à 2018, sous forme de Minuscules, comme sur ce blogue, sont livrés à la lecture de chacun.

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Suit ensuite une notice de son fidèle ami Norbert Crochet.

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L'hommage au poète et à l'ami se termine par des notes très émouvantes  écrites par Claire Boitel entre le 19 novembre 2023 et le 27 avril 2024.

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Note rédigée par sa maman, Catherine

jeudi, 18 juillet 2024

Juillet 2024 - Nouvel hommage à Frédéric - Poésie : luttes et combats

Un livre collectif, qui se définit résolument comme une œuvre poétique :

Poésie : luttes et combats.

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Il est dirigé par Amar BENHAMOUCHE, que je remercie ici,

ainsi que Claire Boitel, qui a permis de rendre un nouvel hommage à Frédéric.

Pour commander l'ouvrage, veuillez cliquer ICI.

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Note rédigée par sa maman, Catherine

lundi, 15 juillet 2024

15 juillet 2024 : un ami fidèle, une fleur, un chat et Aphélie...

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Photographies de Norbert Crochet, Denain (59220), le 15 juillet 2024.

avec un immense MERCI...

 

Note rédigée par sa maman, Catherine

20:00 Écrit par Frédéric Tison dans Traces | Tags : frédéric tison, norbert crochet, aphélie | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

15 juillet 2024 - "Mon insolence et toute ma pensée"

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Frédéric restera toujours jeune et ne fêtera plus son anniversaire...

 

Une potentille arbustive Goldstar, chargée de symboles, orne désormais sa tombe de Poète, en compagnie de lierres, œillets, fusain et kalanchoés, en hommage à ces vers de La Table d'Attente.

(La Table d'attente, par Frédéric Tison - Librairie-Galerie Racine, coll. Les Hommes sans Épaules, 2019, PRIX 2021 du POÈME EN PROSE LOUIS GUILLAUME. ).

Et des nuages rois se posent sur sa tombe, depuis huit mois déjà...

(Nuages rois, par Frédéric Tison - Librairie-Galerie Racine, 2021)

 

Frédéric repose depuis le 27 novembre 2023 au cimetière communal de Denain, (59220), section B, zone 18/3, numéro 2.

 

Note et photographies de sa maman, Catherine

vendredi, 12 juillet 2024

Juillet 2024 - des pensées des Deux Alpes pour Frédéric

Frédéric s'est souvent promené dans les Alpes jusqu'en août 2022, comme son blogue en témoigne...

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Fleurs des Alpes, pour Frédéric

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La Muzelle, avec un nuage en forme de chapeau, ou de cheveux fous...

 Photographies de François Charmoille, juillet 2024

 

Ce décor aurait fait rêver Frédéric, lui qui aimait tant les fleurs, les nuages, les oiseaux...

 

Note rédigée par sa maman, Catherine

08:57 Écrit par Frédéric Tison dans Alpes, Traces | Tags : françois charmoille, les deux alpes, frédéric tison | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

lundi, 08 juillet 2024

13 juin 2024 - L'asssociation APULIVRE rend hommage à Frédéric

Ce jeudi 13 juin 2024, à la Maison de la Vie Associative du 15ème arrondissement de Paris, un hommage a été rendu à Frédéric, dans le cadre du Festival de la Tour poétique (13, 14 & 15 juin).

Une présentation de son œuvre poétique a été faite par Marie-Line Jacquet, professeure et poète.

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Une lecture de plusieurs pages de son recueil Aphélie, suivi de Noctifer (2015-2017). Paris : Librairie-Galerie Racine, collection Les Hommes sans Épaules, 2018, par le comédien Olivier Korol.

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Et enfin, le poète et critique d'art Alain Pizzera a pris la parole avec deux poèmes qui lui sont dédiés, avant de lire quelques passages de La Table d'attente (2016-2019). Paris : Librairie-Galerie Racine, collection Les Hommes sans Épaules, 2019, Prix du Poème en prose Louis Guillaume 2021

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Plusieurs exemplaires des numéros 81, 87 & 88 de la revue Poésie/Première qui lui consacrent des pages étaient présentés sur une table.

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Que tous soient chaleureusement remerciés de contribuer à honorer ainsi la mémoire de Frédéric.

L'association APULIVRE a publié en février dernier une 
vidéo
sur YouTube, dans laquelle  Alain Pizzera lui rendait déjà hommage... 


 

 

Note rédigée par sa maman, Catherine

vendredi, 21 juin 2024

Juin 2024 : une allée

Une allée est dédiée à la mémoire de Frédéric au Marché de la Poésie 2024.

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C'est un honneur dont il aurait été fier à juste titre !

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Toute ma reconnaissance et ma gratitude se portent sur ceux qui sont à l'origine de cette initiative.

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Photographies de Claire Boitel et François Charmoille (20 &21 juin 2024)

 

 

Note rédigée par sa maman, Catherine

samedi, 15 juin 2024

Juin 2024 : Hommage à Frédéric dans la Revue "Concerto pour marées et silence"

Le numéro 17 de la Revue "Concerto pour marées et silence" dirigée par Colette Klein vient de paraître en juin 2024.

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Avec les participations de :

 

Claude ALBARÈDE, Béatrice ALBERTAT, Max ALHAU, Anne BARBUSSE, Anne BAROUSSE, David BARRANCO, Eva Maria BERG, Jean-Louis BERNARD, Patrice BLANC, Anne-Lise BLANCHARD, Jacques BONNEFON, Jean-Pierre BOULIC, Claudine BRAL, Léon BRALDA, Xavier BUFFET, Valérie CANAT de CHIZY, Geneviève CATTA, Édith CHAFER, Gérard CLÉRY, Jean-Claude-Albert COIFFARD, Marie-Lise CORNEILLE, Danièle CORRE, Françoise COULMIN, Michel DIAZ, Kenzy DIB, Michel DUNAND, Pierre ESPERBÉ, Laurent FAUGERAS, Bernard FOURNIER, Nicole HARDOUIN, Elia JALONDE, Hughes LABRUSSE, Michel LAMART, Philippe LEUCKX, Teo LIBARDO, Rémi MADAR, Alain MARC, Hervé MARTIN, Béatrice PAILLER, Michel PASSELERGUE, Catherine PONT-HUMBERT, Georges ROSE, Marie-Claude SAN JUAN,  Sylvie Léa SCOTT, Eugenia SEGURA,  Ara Alexandre SHISHMANIAN, Martin ZEUGMA.

 

Œuvres plastiques : Lionel BALARD, Daniel DUHAMEL-ARRAPEL, Joëlle EYRAUD.

 

Ont fait l’objet de note(s) ou article : Jean-Louis BERNARD, Claudine BOHI, Jean-Pierre BOULIC, Léon BRALDA, Patricia COTTRON-DAUBIGNÉ, Maurice COUQUIAUD, Pierre DHAINAUT, Michel DIAZ, Alain DUAULT, Marion LAFAGE, Jean LAVOUÉ, Ève LERNER, Isabelle LÉVESQUE, Frédéric TISON, Katty VERNY-DUGELAY, Colette WITTORSKI.

Pour le commander, c'est ICI.

Je ne peux que remercier très chaleureusement Colette Klein et Jean-Louis Bernard pour la publication de leur hommage à Frédéric dans cette Revue.

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Note rédigée par sa maman, Catherine

mardi, 11 juin 2024

Mai 2024 - Poésie/première n°88 - Hommage à Frédéric (suite)

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Vient de paraître le numéro 88 de la revue Poésie/première.

À l'intérieur, se trouve la suite d'un bel hommage à Frédéric :

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Je ne sais comment remercier tous ceux et toutes celles qui contribuent à honorer la mémoire de Frédéric, mon fils et poète disparu bien trop tôt...

Et en particulier, Gérard Mottet, Claire Boitel, Élisabeth Launay-Dolet, Renaud Allirand et Rémi Madar

 

Note rédigée par sa maman, Catherine

 

 

 

vendredi, 19 avril 2024

16 avril 2024 - Hommage à Frédéric, par Paul Farellier

Hommage à Frédéric Tison

 

Allocution prononcée par Paul Farellier à l’occasion de la remise du Prix Louis Guillaume, le 16 avril 2024.

 

N’attendez de moi, ce soir, ni les soins attentifs de l’étude, ni la
consonance de l’éloge. Je vous propose simplement de partager
quelques pensées en mémoire de Frédéric Tison, qui, avec son livre
La Table d’attente, fut notre poète-lauréat pour l’année 2021.
Sa mort, tellement prématurée, à l’automne dernier, est venue marquer
d’un trait d’inachèvement une œuvre poétique qui se trouvait encore
dans la toute-puissance de sa phase ascendante. Mais, même aussi
tragiquement interrompue dans notre lecture, cette œuvre recèle pour
longtemps de considérables enjeux : quelque chose de profondément
mystérieux semble y brûler toujours dans le silence.
Les Ailes basses (2010), Les Effigies (2013), Le Dieu des portes
(2016), Aphélie, suivi de Noctifer (2018), La Table d’attente (2019),
Nuages rois (2021) : tels sont, parmi de multiples écrits, les titres des
principaux livres de poésie que publia Frédéric Tison.
Plus exercice de la pensée descendant en soi-même qu’approche
sensitive des choses ; entièrement vouée au discontinu, aux
métamorphoses, au mouvement, au passage ; aimantée par le mystère,
par les mythes et le sacré ; sensible aux richesses de la pénombre
approfondir ma pénombre est mon entier trésor », écrivait-il) ;
irrésistiblement orientée par la Beauté (c’est quasiment incongru dans
la poésie d’aujourd’hui !) ; cette poésie, dès ses débuts, sonna pour
nous, ses premiers lecteurs, en une harmonie dont l’époque semblait
avoir perdu jusqu’au souvenir. Ensemble, l’énigme et le sens y
brillaient pour nous.
Montant à l’horizon de notre temps, elle aura été, sans vaine rumeur,
sans profession de foi, sans manifeste, un authentique événement,
passé presque inaperçu. Quelque chose – quelque part dans notre
cycle évolutif – s’est rompu, s’est disjoint, mais en même temps, s’est
mué en promesse.

Tison a lui-même éclairé, au seuil de son livre, Aphélie, le sens
profond de son engagement poétique : il s’agit pour lui de laisser
parler le lointain qu’il regarde en lui-même, explorer donc son
« lointain intérieur » à l’instar d’un Michaux, mais bien sûr d’une tout
autre manière ; ce qu’il regarde ici, c’est son propre regard. Et voilà ce
que nous croyons être sa « découverte » capitale : son regard dans
l’intime « n’est peut-être qu’un immense Regard partagé, éparpillé ».

Le poète est allé suffisamment loin – en aphélie justement, c’est-à-
dire à la distance où mûrit son retour vers le monde, « chargé de

regards étonnés » – pour comprendre qu’il n’est pas à lui seul sa
propre origine, mais la soif d’un plus vaste regard. Dans ce regard, se
composera l’inaltérable visage, recherché de toute éternité et pour

lequel, dans la longue cohorte du logos, peut-être le poète s’abreuve-t-
il à son tour aux reflets d’une éternelle fontaine originaire, – on pense

à cette Castalie qui, pour lui aussi, coule encore dans le vallon de
Delphes.
Mais revenons enfin à la parole du poète en lisant cette page où se clôt
le livre Aphélie :

JE TOUCHE TES ÉPAULES, je laisse glisser mon ombre
sur la pierre d’angle de tes portiques. Je suis l’ombre qui
toujours t’a suivi. Comme toi j’ai demandé — à l’eau, à
l’arbre, aux villes et aux hommes — qui je suis.
J’ai travaillé — ainsi que l’air, la vague, le feu, ainsi que le
bois, la semence et l’ordure — à la vie.
J’accompagne ce qui passe, ce qui demeure et appelle ; je
suis ce qui se narre, s’oublie et s’invente après toutes les
pluies.
Je suis la fumée sur une veine de marbre — la brèche sur
l’écorce. Je suis quelque clef pour un millier de serrures. Je
me tiens près des havres ; je suis celui qui veille les phares.
Je suis le nom auquel tu n’as jamais pensé.

frédéric tison,paul farellier

Photographie de François Charmoille, le 16 avril 2024.

 

Note rédigée par sa maman, Catherine

lundi, 15 avril 2024

Hommage à Frédéric, dans la revue "terre à ciel" - poésie d'aujourd'hui

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Un nouvel hommage à Frédéric vient de paraître

dans la revue "terre à ciel - poésie d'aujourd'hui".

 

Un grand MERCI à tous les contributeurs : Alain Breton, Jean-Louis Bernard, Claire Boitel et Isabelle Lévesque.

 

 

Note rédigée par sa maman, Catherine.

samedi, 13 avril 2024

En lettres d'or, à Denain

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En lettres d'or, à Denain...

Photographies de François Charmoille (avril 2024).

 

"Dans ce pays mon corps est moins étrange ; une seule fleur est mon insolence, et toute ma pensée.

Dans ce pays, mes bras sont lierres et pampres, dans ce pays j'ai des jambes plus légères."

 

Extrait de La Table d'attente (2016-2019). Paris : Librairie-Galerie Racine, collection Les Hommes sans Épaules, 2019, Prix du Poème en prose Louis Guillaume 2021.

 

 

Note rédigée par sa maman, Catherine.

12:00 Écrit par Frédéric Tison dans Traces, Visages du poète | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |