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dimanche, 27 janvier 2019

Chateaubriand

 

 

 

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Pierre-Jean David, dit David d'Angers (1788-1856),
François-René de Chateaubriand (1829), plâtre, détail,
dans la Galerie David d'Angers, dans l'abbaye Toussaint d'Angers,
à Angers, en Maine-et-Loire, en Anjou,

photographie : avril 2018.

 

 

 

 

lundi, 12 septembre 2016

L'ombre du photographe

 

 

 

 

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Le refuge de l'écrivain, dans le parc de la maison de Chateaubriand, à Châtenay-Malabry,
dans les Hauts-de-Seine,
photographie : mars 2016.

 

 

 

 

 

Le refuge

 

 

 

 

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Le refuge de l'écrivain, dans le parc de la maison de Chateaubriand, à Châtenay-Malabry,
dans les Hauts-de-Seine,
photographies : mars 2016.

 

 

 

 

dimanche, 11 septembre 2016

La vie dans les miroirs

 

 

 

 

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Louis Garneray (1783-1857), Vue de Saint-Malo,
dans la bibliothèque de la maison de Chateaubriand, à Châtenay-Malabry,
dans les Hauts-de-Seine,
photographie : mars 2016.

 

 

 

 

samedi, 10 septembre 2016

La fenêtre

 

 

 

 

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Dans la maison de Chateaubriand, à Châtenay-Malabry,
dans les Hauts-de-Seine,
photographie : mars 2016.

 

 

 

 

 

L'écritoire

 

 

 

 

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 Bureau et écritoire de l'écrivain, dans la maison de Chateaubriand, à Châtenay-Malabry,
dans les Hauts-de-Seine,
photographie : mars 2016.

 

 

 

vendredi, 09 septembre 2016

L'escalier à double branche

 

 

 

 

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 Escalier à double branche, provenant sans doute d'un bateau et installé par l'écrivain,
dans la maison de Chateaubriand, à Châtenay-Malabry,
dans les Hauts-de-Seine,
photographie : mars 2016.

 

 

 

 

La lucarne

 

 

 

 

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Dans la maison de Chateaubriand, à Châtenay-Malabry,
dans les Hauts-de-Seine,
photographie : mars 2016.

 

 

 

 

 

jeudi, 08 septembre 2016

Salon XIXe (La vie dans les miroirs)

 

 

 

 

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Le grand salon, dans la maison de Chateaubriand, à Châtenay-Malabry,
dans les Hauts-de-Seine,
photographie : mars 2016.

 

 

 

mercredi, 07 septembre 2016

Ouvertures

 

 

 

 

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La maison de Chateaubriand, à Châtenay-Malabry,
dans les Hauts-de-Seine,
photographie : mars 2016.

 

 

 

mardi, 06 septembre 2016

Dans le parc de la Vallée aux Loups

 

 

 

 

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La maison (XVIIIe-XIXe s.) de François-René de Chateaubriand, à Châtenay-Malabry,
dans les Hauts-de-Seine,
photographies : mars 2016.

 

 

 

mercredi, 15 juillet 2015

L'écrivain qui voulut reposer ici pour n'y entendre que la mer et le vent

 

 

 

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Tombe de François-René de Chateaubriand sur l'île du Grand Bé,
à Saint-Malo,
photographies : février 2015.

 

 

 

dimanche, 12 juillet 2015

Pastel

 

 

 

 

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Portrait de François-René de Chateaubriand vers l'âge de dix-neuf ans (vers 1786-1787)
attribué à Charles-Joseph La Celle de Chateaubourg (1758-1837),
collection du château de Saint-Malo,
photographie : février 2015.

 

 

 

dimanche, 05 juillet 2015

La chambre de François-René

 

 

 

 

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« Moi, j’étais niché dans une espèce de cellule isolée, au haut de la tourelle de l’escalier qui communiquait de la cour intérieure aux diverses parties du château. [...] »

 

 

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« La fenêtre de mon donjon s’ouvrait sur la cour intérieure ; le jour, j’avais en perspective les créneaux de la courtine opposée, où végétaient des scolopendres et croissait un prunier sauvage. Quelques martinets qui, durant l’été, s’enfonçaient en criant dans les trous des murs, étaient mes seuls compagnons. La nuit, je n’apercevais qu’un petit morceau du ciel et quelques étoiles. Lorsque la lune brillait et qu’elle s’abaissait à l’occident, j’en étais averti par ses rayons, qui venaient à mon lit au travers des carreaux losangés de la fenêtre. Des chouettes, voletant d’une tour à l’autre, passant et repassant entre la lune et moi, dessinaient sur mes rideaux l’ombre mobile de leurs ailes. Relégué dans l’endroit le plus désert, à l’ouverture des galeries, je ne perdais pas un murmure des ténèbres. Quelquefois, le vent semblait courir à pas légers ; quelquefois il laissait échapper des plaintes ; tout à coup, ma porte était ébranlée avec violence, les souterrains poussaient des mugissements, puis ces bruits expiraient pour recommencer encore. À quatre heures du matin, la voix du maître du château, appelant le valet de chambre à l’entrée des voûtes séculaires, se faisait entendre comme la voix du dernier fantôme de la nuit. Cette voix remplaçait pour moi la douce harmonie au son de laquelle le père de Montaigne éveillait son fils. »

 

(François-René de Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe, Première Partie, Livre III.)

 

 La chambre à coucher de Chateaubriand, au château de Combourg,
en Ille-et-Vilaine,
photographies : février 2015.

 

 

 

samedi, 04 juillet 2015

De Paris à Combourg

 

 

 

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Table de travail de François-René de Chateaubriand à Paris,
transférée au
château de Combourg,
photographie : février 2015.