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dimanche, 26 septembre 2021

Femmes à la fontaine

 

 

 

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Paul Signac (1863-1935), Saint-Tropez, fontaine des Lices (1895),
à l'exposition "Signac, Les Harmonies colorées", au musée Jacquemart-André, à Paris VIII,
photographie : juin 2021.

 

 

 

 

samedi, 25 septembre 2021

Des laboratoires numériques

 

 

Lorsque l'électricité sera coupée par quelque catastrophe climatique ou je ne sais quoi, et que tout aura été décomposé, détruit, fragmenté, ce blogue mien, à l'instar de tout l'Internet, sera effacé. Au fond, je me sers de la possibilité du blogue comme d'un brouillon toujours recommencé ; je n'en suis pas dupe cependant. Moi qui suis documentaliste et bibliothécaire de formation, j'ai vu tant et tant de données se perdre ! "Disques durs externes", clefs "usb", vous nous mentez, vous nous abusez ! Seul compte un support écrit, qu'il s'agisse de livres copiés, imprimés, ou de manuscrits d'écrivains dans des coffres retrouvés ; il suffit, pour en être certain, de se souvenir des jarres qui contenaient les papyrus de Nag Hammadi datant des premiers siècles de notre ère, ainsi que de celles de la secte des Esséniens, sans parler des tablettes mésopotamiennes, lesquelles furent retrouvées aux XIXe et XXe siècles. Le numérique est mortel comme tout corps, sauf qu'il se fait passer pour une immarcessible virtualité. Comme certains parmi les Modernes sont sots, ignorants et vaniteux ! Ils ont confiance en toute cette technique tâtonnante, peu fiable, et inconstante comme en l'amour éternel imaginé.

 

(Ainsi ces pages virtuelles ne sont-elles qu'un laboratoire où tout sera consumé.)

 

 

 

 

14:09 Écrit par Frédéric Tison dans Autour du livre, Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

La Ganne

 

 

 

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L'étang de la Ganne, dans le Bourbonnais, photographie : août 2021.

 

 

 

vendredi, 24 septembre 2021

En anglais

 

 

Blue crescent moon,
Sudden stars strewn
Among the flowers of galaxies :
You live in this sown country.

 

High rhythms, suns of music,
Wide multiplied eyes :
In the skies of your rains I see
Those pieces of light that rustle.

 

 

Frédéric Tison, traduction en anglais, par l'auteur, d'un poème isolé (avril 2019),
non repris dans un livre,
poème en langue française accompagné d'un dessin au pastel de l'auteur (avril 2020) qui a donné lieu à une carte d'art
.

 

 

00:19 Écrit par Frédéric Tison dans Traductions, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

L'âne des contes ?

 

 

 

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Dans le Bourbonnais, photographie : août 2021.

 

 

 

 

jeudi, 23 septembre 2021

Fenêtres d'eaux

 

 

 

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Quelque part dans Paris, photographie : septembre 2021.

 

 

 

04:54 Écrit par Frédéric Tison dans Photographies solitaires | Tags : frédéric tison, photographie, paris | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

mercredi, 22 septembre 2021

Le plus beau

 

 

Quel est le plus beau nom d'un poète ? Selon moi, c'est celui de Paul Verlaine.

 

 

 

Hérisson

 

 

 

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Le château de Hérisson (XIe-XIVe s.), dans l'Allier, photographie : août 2021.

 

 

 

 

mardi, 21 septembre 2021

L'eau froissée

 

 

 

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Détail de la fontaine de Vénosc, en Isère, photographie : juillet 2021.

 

 

 

Autoportrait en homme invisible assis sur un banc

 

 

 

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Devant la Muzelle, en Isère, photographie : juillet 2021.

 

 

 

lundi, 20 septembre 2021

L'élégance 1901

 

 

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Théobald Chatran (1849-1907), Portrait de James Hazen Hyde, huile sur toile (1901),
(c) New York, Historical Society / don James Hazen Hyde, inv. 1949.1,
photographie prise dans l'ouvrage Histoire des Modes et du Vêtement,
dirigé par Denis Bruna et Chloé Demey, éd. Textuel, 2018, p. 263.

 

 

 

Du Maître verrier

 

 

 

 

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Yvan Guyet (1930-2017), vitrail, détail, en la chapelle Saint-Benoît (1956),
aux Deux-Alpes, en Isère, photographie : juillet 2021.

 

 

 

vendredi, 17 septembre 2021

Kametsa

Frédéric Tison (Tarbes, Altos Pirineos, 1972) vive y trabaja en París, donde es responsable de una biblioteca escolar. Es autor de diez libros de cuentos y poesía. En 2013 colaboró ​​con el pintor y grabador Renaud Allirand para un libro de artista, Otra ciudad , presentado al Gabinete de Artes Gráficas del Museo de Bellas Artes de Orleans. También es editor de textos raros y olvidados de los siglos XIII, XV y XVI (Jehan Renart, Charles d’Orléans, Maurice Scève, Étienne Dolet…). Todavía publica, como fotógrafo aficionado, sus propios álbumes de fotos y practica la acuarela y la tinta china. En un francés muy puro, moderno ciertamente, pero regado en profundidad del pasado de la lengua, Frédéric Tison sabe defender su joven independencia y la originalidad de su pensamiento poético. Los mitos antiguos, tanto como el trobar, o incluso la preocupación mallarmeana por el “Libro” y las obsesiones de lo inactivo y lo incompleto rozan el fondo, la decoración mental de una creación ambiciosa y muy evolutiva. Frédéric Tison recibió el Premio Aliénor 2016 por su libro de poemas, Le Dieu des Portes.

***

Narrador en sueños, arena bajo el mar, ¿cuándo contarás tu edad y tu historia?
Tu habitación tiene su fuente en agua clara. Una montaña retumba en ti.
Narrador en sueños, memoria con alas nuevas, ¿hay alguien detrás de ese bello rostro?

***

Nacieron otras savias
Así te hablan los jardines del sol y las flores de la estrella oscura que habita en tu corazón.
En este camino donde dormía tu casa, conoces toda la nieve en las ventanas y las canciones andrajosas en millones de años.
Surgiste de una sangre antigua.
En cada plaza de tu ciudad esculpas a los dioses de los ríos.

***

Aquí estoy la canción de otro país, otro tiempo, otro puerto.
Estoy aquí en el jardín por un momento. Pasa la hora y soy expulsado como un mendigo.
Aquí estoy la historia olvidada: abro libros cubiertos de terciopelo blanco para encontrar la flor inusual pintada sobre un fondo plateado.

***

Vivir de nuevo en las terrazas por donde caminaste
– Acechar el sueño de los árboles altos – Creer que estás solo en el laberinto de voces:
esta es mi obra clara.
Ahora me levantas, no me rompes contra el viento.
Me haces rama y agua corriente: este es tu trabajo suave y completo.

***

Ciudades enteras, eres el pasajero silenciado por los pájaros de cada calle, pero dejas las ciudades,
y he aquí, contigo van tus fábulas y tus esplendores.
(Es él, es él a quien amas – sus huellas en tu cuerpo y tus sábanas – él también se va, a veces ya no está
– Te revela tu belleza, tu amor y tu espejo – Oh, nunca destruyas la alegría … )
Pasando ciudades enteras y viviendo en el cielo de repente
– ¡Sí! ciudades enteras el pasajero que de pronto narra la ciudad imaginada, donde suenan todos los amores.

23:13 Écrit par Frédéric Tison dans Traductions, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

« Seigneur, montrez-nous votre visage »

 

 

 

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Jean Hautinguiraut (1927-2006), Seigneur, montrez-nous votre visage (Psaume 79, 4),
bois sculpté, en la chapelle Saint-Benoît (1956), aux Deux-Alpes, en Isère, photographie : juillet 2021.

 

 

 

 

Jésus

 

 

 

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Jean Hautinguiraut (1927-2006), Le Christ en croix,
bois sculpté, en la chapelle Saint-Benoît (1956), aux Deux-Alpes, en Isère,
photographie : juillet 2021.