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jeudi, 12 novembre 2015

Poète dans un jardin

 

 

 

 

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Cécile A. Holdban au jardin des Tuileries,
photographie : mercredi 11 novembre 2015.

 

 

 

Oiseaux de verre et de plomb

 

 

 

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Pierre Carron (1932-) et l'atelier Michel Blanc Garin, Les Perdrix (2011), détail,
vitrail, panneau d'essai d'un projet non retenu
pour le transept nord de la cathédrale Saint-Gatien de Tours,
exposition "Chagall, Soulages, Benzaken... Le vitrail contemporain",
au palais de Chaillot, Cité de l'architecture et du patrimoine, à Paris XVI,
photographie : juillet 2015.

 

 

 

 

 

mercredi, 11 novembre 2015

Au soldat inconnu

 

 

 

 

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Sous l'Arc de Triomphe,
photographie : 11 novembre 2015.

 

 

 

Sous l'Arc de Triomphe

 

 

 

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Photographie : 11 novembre 2015.

 

 

 

Paris 1900

 

 

 

 

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Sur le pont Alexandre III (1896-1900), à Paris,
et le Grand Palais en arrière-plan,
photographie : juillet 2015.

 

 

 

mardi, 10 novembre 2015

Lectures à L'Entrepot, Paris XIV, le mardi 1er décembre 2015 à 19h15

 

 

Je signale à mes excellents Lecteurs que trois poèmes miens seront lus lors de cette soirée de décembre prochain, dans trois semaines. 

 

 

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Soirée

« Trois poètes, trois façons d'être
au service de la poésie contemporaine »

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Alain Breton

Ses poèmes, ceux de Daniel Barraud de Lagerie,
Monique Labidoire, Svante Svahnström, Sébastien Colmagro, Frédéric Tison

avec le comédien Philippe Valmont
et Laurent Epstein au piano

 

Matthias Vincenot

Ses poèmes, son parcours

 

Bruno Doucey

Ses poèmes, ceux de Laurence Bouvet, Stéphane Bataillon,
Roja Chamankar (Iran), Mireille Fargier-Caruso  

 

Soirée conçue et présentée par André Prodhomme

______________

Mardi 1er décembre 2015 à 19h15

à L’Entrepôt

7 / 9, rue Francis de Pressensé - 75014 Paris - Métro Pernety (ligne 13)

www.lentrepot.fr

 

Libre participation

___________

 

 

 

 

06:38 Écrit par Frédéric Tison | Lien permanent | Commentaires (1) |  Facebook |

Présence de Méphistophélès

 

 

 

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Ary Scheffer (1795-1858), Faust dans son cabinet (1831),
musée de la Vie romantique,
au 16, rue Chaptal, à Paris IX,
photographie : juillet 2015.

 

 

 

lundi, 09 novembre 2015

L'ange rongé

 

 

 

 

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Jean-Jacques Feuchères (1807-1852), Satan (1833), statuette de bronze, détail,
au musée de la Vie romantique, dans l'hôtel Scheffer-Renan,
au 16, rue Chaptal, à Paris IX,
photographie : juillet 2015.

 

 

 

Les souvenirs

 

 

 

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Dans le salon, au musée de la Vie romantique, dans l'hôtel Scheffer-Renan,
au 16, rue Chaptal, à Paris IX,
photographie : juillet 2015.

 

 

 

La Librairie de Jean, duc de Berry, au château de Mehun-sur-Yèvre, en 1416 (72)

 

 

Introduction.

 

 

 

« 154. Un livre appellé les Croniques d'Angleterre, escript en mauvais françois de lettre de court, couvert de cuir fauve, à deux fermoers de laiton._1 liv. 17 s. 6 d. »

 

« Probablement la traduction française de l'ouvrage intitulé : Chronicum saxonicum, seu Annales rerum in Anglia gestarum a Christo nato ad annum 1154 », écrit Hiver de Beauvoir, c’est-à-dire la chronique aujourd’hui connue sous le nom de Chronique anglo-saxone, un ensemble d’annales, datant de la fin du IXe siècle, décrivant l’histoire des Anglo-Saxons de 60 avant Jésus-Christ jusqu'au IXe siècle. Quelques ajouts furent effectués jusqu'en 1154.

 

 

« 155. Un livre de la Prise et mort du roi Richard d'Angleterre, escript en françois rimé, de lettre de court, historié en plusieurs lieux ; et au commencement du second fueillet a escript : Qu’il n'est ; couvert de drap de soye noire, à deux fermoers ronds d'argent doré, esmailliés des armes de France, que feu vidame de Laonnois [Jean de Montaigu (vers 1349-1409, décapité sur l’ordre de Jean sans Peur)], de son vivant grand maistre de l'hostel du roi, donna à Mons._6 liv. 15 s. »

 

C’est l’histoire de Richard II, roi d'Angleterre, détrôné par Henri Bolingbroke qui régna sous le nom d'Henri IV, et assassiné dans sa prison en 1400. Il est difficile d’identifier l'auteur de cet ouvrage.

 

  

« 156. Un livre appelé le Brut d'Angleterre, escript en françois rymé, de lettre de court ; et se commance au second fueillet : Un fils avait ; couvert de cuir vermeil, à deux petis fermoers de cuivre et cinq boullons de mesmes sur chascun ais._5 liv. »

 

Il s’agit probablement du même ouvrage que le précédent.

 

 

(à suivre.)

 

 

 

dimanche, 08 novembre 2015

Manfred

 

 

 

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Barthélémy-Charles Durupt (1804-1838), Manfred et l'Esprit (1831),
au musée de la Vie romantique, dans l'hôtel Scheffer-Renan,
au 16, rue Chaptal, à Paris IX,
photographie : juillet 2015.

 

 

 

 

samedi, 07 novembre 2015

Les volets verts

 

 

 

 

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En arrivant à l'hôtel Scheffer-Renan (1830),
demeure du peintre Ary Scheffer (1795-1858),
actuellement musée de la Vie romantique,
au 16, rue Chaptal, à Paris IX,
photographie : juillet 2015.

 

 

 

vendredi, 06 novembre 2015

Être logé comme un homme

 

 

 

Ce fut surtout dans ses constructions qu'il se montra dissipateur. Il étendit son palais depuis le mont Palatin jusqu'à l'Esquilin. Il l'appela d'abord "le Passage". Mais, le feu l'ayant consumé, il le rebâtit, et l'appela "la Maison dorée". Pour en faire connaître l'étendue et la magnificence, il suffira de dire que, dans le vestibule, la statue colossale de Néron s'élevait de cent vingt pieds de haut ; que les portiques à trois rangs de colonnes avaient un mille de longueur ; qu'il renfermait une pièce d'eau, semblable à une mer bordée d'édifices qui paraissaient former autant de villes ; qu'on y voyait des champs de blé, des vignobles, des pâturages, des forêts peuplées de troupeaux et d'animaux sauvages de toute espèce. Dans les diverses parties de l'édifice, tout était doré et enrichi de pierreries et de coquillages à grosses perles. Les salles à manger avaient pour plafonds des tablettes d'ivoire mobiles, qui, par différents tuyaux, répandaient sur les convives des parfums et des fleurs. La principale pièce était ronde, et jour et nuit elle tournait sans relâche pour imiter le mouvement du monde. Les bains étaient alimentés par les eaux de la mer et par celles d'Albula. Lorsque après l'avoir achevé, Néron inaugura son palais, tout l'éloge qu'il en fit se réduisit à ces mots : « Je commence enfin à être logé comme un homme ».

 

Suétone, Vie de Néron, XXXI.

 

 

14:27 Écrit par Frédéric Tison dans Album des phrases | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Épure

 

 

 

 

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 Ossip Zadkine (1890-1967), Tête de femme (1924), pierre calcaire,
incrustations de marbre gris et rehauts de couleur,
au musée Zadkine, au 100 bis, rue d'Assas, à Paris VI,
photographie : juillet 2015.

 

 

 

 

jeudi, 05 novembre 2015

Une recension

 

 

 

Une recension du numéro 40 de la revue Les Hommes sans Épaules est lisible dans le dernier numéro de la revue en ligne Possibles (n° 2, nouvelle série), où il est, en passant, question de votre serviteur.

 

C'est ici.

 

 

 

19:36 Écrit par Frédéric Tison dans Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (4) |  Facebook |