Pays mouvant

 

 

 

 

Les gens de Bretagne auxquels j'ai parlé, durant mon récent voyage en ces contrées, me dirent bien souvent la même chose, à savoir que leur pays illustrait, chaque jour ou presque, les quatre saisons : aux vents enthousiastes et glaciaux succèdent en effet les nuages les plus calmes, eux-mêmes remplacés soudain par un ciel d'orage furibond qu'apaise bientôt une toute douce pluie qui fait place au plus extatique des ciels bleus. J'aurai aimé cela. Je dois bien dire qu'en France, même en Normandie, et même dans les Pyrénées, les "Hautes-Pyrénées" où je suis né, je n'ai guère vécu de ciels aussi changeants, aussi délicieusement capricieux, aussi féconds, aussi propices au rêve, aussi comparables à la pensée qui danse. À la Pointe de Dinan, qui est peut-être plus belle encore que la Pointe du Raz, j'ai vu, en une heure à peine, une mer bleue, une mer blanche, une mer verte et une mer noire, et j'ai vu de l'aveuglant et du sombre, la pluie intime et le soleil formidable, des nuages inoubliables comme la musique et les plus beaux des ciels peints, et puis un arc-en-ciel. En avançant, toujours, ce ne pouvait être que la fin du monde.

 

 

 

 

Et le ciel brûlé

 

  

 

 

 

 

Du côté de la Pointe de Dinan (Beg Din), dans le Finistère,
photographie : février 2014.

 

 

 

 

Fontaine

 

 

 

 

 

La chapelle Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle & fontaine (XVIe s.), à Locronan,
photographie : février 2014.

 

 

 

Les écharpes du nuage

 

 

 

 

 

Quelque part dans le Finistère,
photographie : février 2014.

 

 

 

Histoire de la pierre

 

 

 

 

 

 

La chapelle Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle & Calvaire (XVIe s.), à Locronan,
photographie : février 2014.

 

 

 

 

Visages

 

  

 

 

 

Détail d'une Descente de Croix (pierre polychrome, XVIe s.),
en l'église Saint-Ronan (XVe s.), à Locronan,
photographie : février 2014.

 

 

 

Ymaiges

 

 

 

 

 

 Scènes de la Passion, vitrail (XVe s.), 
abside de l'église Saint-Ronan (XVe s.), à Locronan,
photographie : février 2014.

 

 

 

 

Visage de l'ange triste

  

à Antire.

 

 

 

 

Le visage de l'un des anges portant la dalle funéraire de saint Ronan
(pierre de Kersanton, début du XVIe s.),
dans la chapelle du Penity (XVIe s.), à Locronan,
photographie : février 2014.

 

 

 

D'émail et d'argent doré

 

 

 

 

 

Détail d'un calice (argent doré, émail, XVe s.), par un orfèvre anonyme,
en l'église Saint-Ronan (XVe s.) à Locronan,
photographie : février 2014.

 

 

 

 

Deux visages

 

 

 

 

 

 Dalle funéraire de saint Ronan
(pierre de Kersanton, début du XVIe s.), détail,
dans la chapelle du Penity (XVIe s.), à Locronan,
photographie : février 2014.

 

 

 

 

Du détail

 

  

 

 

  

 Dalle funéraire de saint Ronan
(pierre de Kersanton, début du XVIe s.), détail,
dans la chapelle du Penity (XVIe s.), à Locronan,
photographie : février 2014.

 

 

 

Les porteurs

 

 

 

 

 

Les anges portant la dalle funéraire de saint Ronan
(pierre de Kersanton, début du XVIe s.),
dans la chapelle du Penity (XVIe s.), à Locronan,
photographie : février 2014.

 

 

 

Toits & clochers

 

 

 

 

 

Détail de l'église Saint Ronan (XVe s.) et la chapelle du Penity (XVIe s.),
à Locronan,
photographie : février 2014.

 

 

 

De la beauté

 

 

 

 

 

 

 

 

L'église Saint-Ronan (XVe s.) et la chapelle du Penity (XVIe s.),
à Locronan,
photographies : février 2014.

 

 

 

Lokorn (ou L'oiseau qui s'envola)

 

  

 

 

 

Locronan (Lokorn), dans le Finistère ;
au bout de la rue, la Place de l'Église,
où se trouvent l'église Saint-Ronan (XVe s.) et la chapelle du Penity (XVIe s.),
photographie : février 2014.