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mercredi, 16 janvier 2019

Descente de croix

 

 

 

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Colijn de Soter (1455-1540), La Descente de croix (début du XVIe s.),
au musée des beaux-arts d'Angers, en Maine-et-Loire, en Anjou,

photographie : avril 2018.

 

 

 

 

 

Le roi d'environ quinze ans

 

 

 

 

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Atelier de François Clouet (1522-1572),
Portrait de Charles IX, roi de France, enfant, âgé de quinze ans environ (vers 1565)
au musée des beaux-arts d'Angers, en Maine-et-Loire, en Anjou,

photographie : avril 2018.

 

 

 

 

 

La Dame de Beauté, peut-être

 

 

 

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Anonyme français du début du XVIe d'après un original perdu du XVe s.,
Portrait présumé d'Agnès Sorel,
au musée des beaux-arts d'Angers, en Maine-et-Loire, en Anjou,

photographie : avril 2018.

 

 

 

 

dimanche, 13 janvier 2019

La Jérusalem nouvelle

 

 

 

 

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La Jérusalem nouvelle, détail de la Tapisserie de l'Apocalypse,
 commandée par Louis Ier d'Anjou, frère de Charles V, vers 1375,
 dessins et cartons préparatoires de Hennequin de Bruges (nommé aussi Jean de Bruges),
peintre du roi de France (actif entre 1368 et 1381), et d'un artiste anonyme,
tapisserie réalisée dans les ateliers parisiens de Nicolas Bataille et de Robert Poinçon,
collection du château d'Angers, en Maine-et-Loire, en Anjou,

photographies : avril 2018.
Ci-dessous, la salle d'exposition dans le château :

 

 

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samedi, 12 janvier 2019

Les Harpes de Dieu

 

 

 

 

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Les sept dernières plaies et les harpes de Dieu, détail de la Tapisserie de l'Apocalypse,
 commandée par Louis Ier d'Anjou, frère de Charles V, vers 1375,
 dessins et cartons préparatoires de Hennequin de Bruges (nommé aussi Jean de Bruges),
peintre du roi de France (actif entre 1368 et 1381), et d'un artiste anonyme,
tapisserie réalisée dans les ateliers parisiens de Nicolas Bataille et de Robert Poinçon,
collection du château d'Angers, en Maine-et-Loire, en Anjou,

photographie : avril 2018.

 

 

 

 

vendredi, 11 janvier 2019

Saint Jean mange le livre

 

 

 

 

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Saint Jean mange le livre, détail de la Tapisserie de l'Apocalypse,
 commandée par Louis Ier d'Anjou, frère de Charles V, vers 1375,
 dessins et cartons préparatoires de Hennequin de Bruges (nommé aussi Jean de Bruges),
peintre du roi de France (actif entre 1368 et 1381), et d'un artiste anonyme,
tapisserie réalisée dans les ateliers parisiens de Nicolas Bataille et de Robert Poinçon,
collection du château d'Angers, en Maine-et-Loire, en Anjou,

photographie : avril 2018.

 

 

 

 

jeudi, 10 janvier 2019

L'Ange au livre

 

 

 

 

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L'Ange au livre (et saint Jean), détail de la Tapisserie de l'Apocalypse,
 commandée par Louis Ier d'Anjou, frère de Charles V, vers 1375,
 dessins et cartons préparatoires de Hennequin de Bruges (nommé aussi Jean de Bruges),
peintre du roi de France (actif entre 1368 et 1381), et d'un artiste anonyme,
tapisserie réalisée dans les ateliers parisiens de Nicolas Bataille et de Robert Poinçon,
collection du château d'Angers, en Maine-et-Loire, en Anjou,

photographie : avril 2018.

 

 

 

 

mercredi, 09 janvier 2019

Les Larmes de saint Jean

 

 

 

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Les Larmes de saint Jean, détail de la Tapisserie (ou Tenture) de l'Apocalypse,
 commandée par Louis Ier d'Anjou, frère de Charles V, vers 1375,
 dessins et cartons préparatoires de Hennequin de Bruges (nommé aussi Jean de Bruges),
peintre du roi de France (actif entre 1368 et 1381), et d'un artiste anonyme,
tapisserie réalisée dans les ateliers parisiens de Nicolas Bataille et de Robert Poinçon,
collection du château d'Angers, en Maine-et-Loire, en Anjou,

photographie : avril 2018.

 

 La page du site du Centre des Monuments nationaux présentant la tapisserie.

 

 

 

lundi, 31 décembre 2018

Réminiscence d'une cathédrale

 

 

 

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František Kupka (1871-1957), Réminiscence d'une cathédrale (1920-1923),
à l'exposition "Kupka, pionnier de l'abstraction",
au Grand Palais, à Paris VIII,
photographie : avril 2018.

 

 

 

 

 

dimanche, 30 décembre 2018

Centrifuge ou centripète

 

 

 

 

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František Kupka (1871-1957), Autour d'un point (1920-1930),
à l'exposition "Kupka, pionnier de l'abstraction",
au Grand Palais, à Paris VIII,
photographie : avril 2018.

 

 

 

 

Fleur

 

 

 

 

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František Kupka (1871-1957), Fleur (1925),
à l'exposition "Kupka, pionnier de l'abstraction",
au Grand Palais, à Paris VIII,
photographie : avril 2018.

 

 

 

 

Le musicien Follot

 

 

 

 

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František Kupka (1871-1957), Portrait du musicien Follot (1910-1911),
à l'exposition "Kupka, pionnier de l'abstraction",
au Grand Palais, à Paris VIII,
photographie : avril 2018.

 

 

 

 

 

samedi, 29 décembre 2018

Kupka

 

 

 

 

František Kupka est un artiste des plus curieux. Il semble chercher sa voie, interminablement, en tâtonnant, au risque de s'égarer ; il connaît le métier de peintre, et maîtrise toutes les manières au point d'en réinventer quelques-unes. Cependant, le spectateur ne sait est exactement le peintre, tant les esthétiques à l’œuvre au sein de ses tableaux guerroient entre elles au lieu de se compléter, un peu comme si un seul et même poète était l'auteur de La Jeune Parque et de Sueur de sang. Il reste que nombre de ses toiles sont d'éclatantes réussites, comme ces Touches de piano inondant la surface de couleurs liquides et résonantes, ou le détail de ce jeune homme lisant qui dit toute la délicatesse studieuse et tout le charme d'un après-midi européen, dans un jardin, à la fin du XIXe siècle.

 

 

 

 

Synesthésie

 

 

 

 

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František Kupka (1871-1957), Les Touches de piano (Le Lac) (1909),
à l'exposition "Kupka, pionnier de l'abstraction",
au Grand Palais, à Paris VIII,
photographie : avril 2018.

 

 

 

 

Le mec

 

 

 

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František Kupka (1871-1957), Le Mec (1910),
à l'exposition "Kupka, pionnier de l'abstraction",
au Grand Palais, à Paris VIII,
photographie : avril 2018.