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vendredi, 21 janvier 2022

Des abbayes

 

 

Les abbayes sont les envers et les revers profonds de nos silences et de nos bruits.

 

 

 

05:13 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Un jeune musicien

 

 

 

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Un Jeune Musicien, Qazvin, Iran (vers 1590-1600, époque safavide),
papier, or, pigments opaques,
à l'exposition "Chefs-d'œuvre de la Collection Al Thani",
à l'Hôtel de la Marine, à Paris VIII, 

photographie (ratée, mal cadrée, floue, mais qu'importe !) : janvier 2022.

 

 

 

 

Dans la bibliothèque

 

 

 

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Dans la bibliothèque, à l'Hôtel de la Marine, à Paris VIII, 
photographie : janvier 2022.

 

 

 

 

Le titre mystérieux

 

 

Je suis en train de travailler à un livre (je travaille en ce moment à plusieurs livres), un livre dont le titre est mystérieux. Ce dernier m'étonne moi-même, alors que j'en suis l'auteur !

 

 

 

04:29 Écrit par Frédéric Tison dans Autour du livre, Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

jeudi, 20 janvier 2022

Les plafonds d'or

 

 

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Dans l'une des enfilades des salons d'apparat de l'Hôtel de la Marine, à Paris VIII, 
photographie : janvier 2022.

 

 

 

 

mercredi, 19 janvier 2022

Le manuscrit

 

 

 

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Manuscrit de poésie, calligraphie signée Sultan 'Ali al-Mashhadi (1476), époque timouride,
enluminure probablement par Karamemi, époque ottomane (vers 1550-1560),
papier, encre, or, pigments,
à l'exposition "Chefs-d'œuvre de la Collection Al Thani",
à l'Hôtel de la Marine, à Paris VIII, 

photographie : janvier 2022.

 

 

 

Glané (3)

 

 

Florilège de paroles entendues dans notre monde (2019-2021), notées dans mes carnets.

 

 

« Y a trop d'or, ici. » (Au château de Versailles.)

 

« Tu t'rends compte, le mec [Joseph Haydn], il a écrit cent et quelques symphonies, tu crois ça ? » (Dans un bar.)

 

« Les poèmes, c'est trop chouchou. » (Dans un bar.)

 

« C'était une grosse vache, enfin, j'veux dire, une pure vache. » (Dans le métro, un jeune homme au téléphone.)

 

« Tu vois, j'assume d'être une joyeuse. Surtout avec mes cheveux. » (Dans un bar.)

 

« Grave : je l'aime. Grave de chez grave. » (Dans une brasserie.)

 

 

 

17:17 Écrit par Frédéric Tison dans Album des phrases | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Le parquet

 

 

 

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Parquet (XVIIIe s.), dans une salle de l'Hôtel de la Marine, à Paris VIII, 
photographie : janvier 2022.

 

 

 

lundi, 17 janvier 2022

Le Cabinet des Glaces

Pour Narcisse & quelque nymphe dont le nom est tu. 

 

 

 

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Dans le Cabinet des Glaces,
à l'Hôtel de la Marine, à Paris VIII, 

photographie : janvier 2022.

 

 

 

dimanche, 16 janvier 2022

Constellation sur un tapis (Pour des Lys d'or)

 

 

 

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Tapis, dans la chambre à coucher de Madame Thierry de Ville-d'Avray,
épouse de Marc-Antoine Thierry de Ville-d'Avray,
Intendant du Garde-Meuble de la Couronne (de 1784 à 1792),
à l'Hôtel de la Marine, à Paris VIII, 

photographie : janvier 2022.

 

 

 

 

Glané (2)

 

 

Florilège de paroles entendues dans notre monde (2019-2021), notées dans mes carnets.

 

« — Tu me fais penser à George Michael dans son clip As, cette chanson avec Mary J. Blige. — Ah oui ? C'est flatteur ! Pourquoi donc ? — C'est à cause de ta moustache. » (Dans un bar (C'était moi qui demandai pourquoi).)

 

« Le ciel est trop bleu pour qu'on le voie aujourd'hui. » (Un jeune homme dans la rue, au téléphone.) [Ah non, ceci est de moi ; tant pis, je me suis trompé de phrase, c'est de ma faute et tout cela sera attribué à ce jeune homme aimable, qui dit plus ou moins la même chose...]

 

« Zut, j'ai perdu mes clefs, mais tu es là, non, tu es ma clef ? » (Dans une brasserie.)

 

 

 

 

19:25 Écrit par Frédéric Tison dans Album des phrases | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

La chambre à coucher

 

 

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Chambre à coucher de Madame Thierry de Ville-d'Avray,
épouse de Marc-Antoine Thierry de Ville-d'Avray,
Intendant du Garde-Meuble de la Couronne (de 1784 à 1792),
à l'Hôtel de la Marine, à Paris VIII, 

photographie : janvier 2022.

 

 

 

 

Glané

 

 

Florilège de paroles entendues dans notre monde (2019-2021), notées dans mes carnets.

 

« Moi, c'qu'je kiffe, c'est la beauté. » (Un jeune homme dans la rue.)

 

« J'm'en bats la moule. » (Une Parisienne élégante, dans la rue.)

 

« Pour moi, tu réalises pas, c'est le langage qui compte. » (Dans une brasserie.)

 

« Ouais, Vermeer, c'est pas mal, mais bon, quand même, tu vois, l'art street, c'est quand même plus sympa. » (Lors d'une exposition.)

 

« Macron, c'est nul, mais y a quoi d'autre, à part un roi ? Et un roi c'est nul aussi. » (Dans une brasserie.)

 

« Bla bla bla tout ça. Moi c'que j'aime, c'est l'amour sincère et authentique, enfin quelque chose comme ça. » (Dans un bar.)

 

« Mozart, c'est moyen. » (Lors d'une soirée privée.)

 

« Debussy, qu'est-ce qu'on s'emmerde ! » (Lors d'une soirée privée.)

 

« Le monde est une frite qu'on bouffe. » (Dans un commerce.)

 

« Une hostie, finalement, c'est comme une chips. » (Sur le parvis d'une église parisienne.)

 

 

 

12:28 Écrit par Frédéric Tison dans Album des phrases | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

samedi, 15 janvier 2022

Retenir

 

 

Toute musique retient sa tristesse (ainsi que le poème).

 

 

 

mardi, 11 janvier 2022

Devenir

 

 

Il m'apparaît que le musicien voudrait devenir sa propre musique, comme le poète voudrait devenir son propre poème.