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vendredi, 08 juillet 2016

Dans le salon chinois

 

 

 

 

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Deux détails du salon chinois de Juliette Drouet à Guernesey,
 reconstitué dans la maison de Victor Hugo,
au 6, place des Vosges, à Paris IV,
photographies : janvier 2016.

 

 

 

 

jeudi, 07 juillet 2016

La vie dans les miroirs

 

 

 

 

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Dans la maison de Victor Hugo, dans le salon,
au 6, place des Vosges, à Paris IV,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

 

mercredi, 06 juillet 2016

Le lieu de la voix

 à Thomas Ferrand, avec l'amitié.

 

 

 

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Victor Hugo, Dolmen où m'a parlé la Bouche d'ombre (vers 1852-1855),
encre sur papier, fac-similé,
dans la maison de Victor Hugo,
au 6, place des Vosges, à Paris IV,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

 

L'enfilade

 

 

 

 

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Dans la maison de Victor Hugo,
au 6, place des Vosges, à Paris IV,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

 

mardi, 05 juillet 2016

Lire Georges Minois

 

 

 

Il est deux types d'hommes artistes, et artistes méconnus, pour lesquels j'ai une admiration inconditionnelle, ou presque : les médecins et les historiens, d'abord reconnus pour leur compétence scientifique. Avec Paul Veyne et Michel Pastoureau, un de nos meilleurs historiens contemporains continue aujourd'hui de publier des sortes de chefs-d’œuvre d'intelligence et de culture : je parle de Georges Minois, dont je lis en ce moment l'Histoire du Moyen Âge, parue il y a quelques semaines, en avril 2016, aux éditions Perrin. D'un tout autre auteur, je n'aurais sans doute pas fait attention à la publication d'un livre sur ce sujet mille fois traité ; n'ai-je pas déjà lu les ouvrages de Jacques Le Goff, de Georges Duby, de Jacques Heers ? Mais non : c'est le nouveau livre de Georges Minois ! Comment ignorer le nouvel ouvrage de l'auteur magnifique de l'Histoire du rire et de la dérision, celui de l'Histoire de la solitude et des solitaires (parmi vingt ou trente livres d'histoire "sociale"), celui de la Guerre de Cent Ans, comment négliger le biographe passionnant, entre autres, de Du Guesclin, de Charles VII et de Bossuet ?

 

Et cette Histoire du Moyen Âge est admirable ; cela m'enchante mais ne me surprend pas : Georges Minois écrirait un livre sur l'histoire de la tondeuse à gazon que je me précipiterais dans une librairie pour l'acquérir.

 

(L'historien déplore bien souvent l'effondrement du sentiment historique, à travers l'idéologie qui s'observe dans les ruines pédagogiques de l'école républicaine contemporaine : que ne consulte-t-on Georges Minois pour l'élaboration des programmes à destination de nos jeunes têtes ?)

 

 

 

18:11 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

La vue

 

 

 

 

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Vue sur la place des Vosges, par l'une des fenêtres des appartements de Victor Hugo,
au 6, place des Vosges, à Paris IV,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

 

Chez Victor Hugo

 

 

 

 

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Escalier dans la maison de Victor Hugo,
au 6, place des Vosges, à Paris IV,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

lundi, 04 juillet 2016

Sans voyageur

 

 

 

 

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Devant le musée d'Orsay, ancienne Gare d'Orsay (1898-1900),
à Paris VII, photographie : janvier 2016.

 

 

 

 

dimanche, 03 juillet 2016

Le verger qui rêve

 

 

 

 

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Pierre Auguste Renoir (1841-1919), Le Poirier d'Angleterre,
ou Le Verger à Louveciennes
(vers 1871-1872), détail,
au musée d'Orsay, photographie : janvier 2016.

 

 

 

 

samedi, 02 juillet 2016

De Yves Bonnefoy (24 juin 1923-1er juillet 2016)

 

 

Une voix


J'ai porté ma parole en vous comme une flamme,

Ténèbres plus ardues qu'aux flammes sont les vents.
Et rien ne m'a soumise en si profonde lutte,
Nulle étoile mauvaise et nul égarement.
Ainsi ai-je vécu, mais forte d'une flamme,
Qu'ai-je d'autre connu que son recourbement
Et la nuit que je sais qui viendra quand retombent
Les vitres sans destin de son élancement ?
Je ne suis que parole intentée à l'absence,

L'absence détruira tout mon ressassement.
Oui, c'est bientôt périr de n'être que parole,
Et c'est tâche fatale et vain couronnement.

 

Yves Bonnefoy, « Douve parle »,
Du mouvement et de l'immobilité de Douve (1953).

 

 

 

08:44 Écrit par Frédéric Tison dans Album des phrases | Lien permanent | Commentaires (3) |  Facebook |

Regard du poète

 

 

 

 

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Henri Fantin-Latour (1836-1904), Hommage à Delacroix (1864),
détail : Charles Baudelaire,
au musée d'Orsay,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

 

vendredi, 01 juillet 2016

À l'oreille de Terme

 

 

 

 

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 Hippolyte Moulin (1832-1883), Un Secret d'en haut (Salon de 1875), marbre, détails,
au musée d'Orsay,
photographies : janvier 2016.

 

 

(Que révèle Mercure à ce Terme (Terminus), le dieu gardien des Bornes, dans ce groupe de marbre au titre si beau ? Le détail des amours et des intrigues de l'Olympe, ou bien quelque objet d'hilarité plus grand, ou encore quelque secret doré ?)