Nous ne verrons jamais les jardins de Versailles, le 31 août 1674

 

 

 

 

 

Jean Lepautre (1618-1682), Illuminations autour du Grand Canal de Versailles, eau-forte,
[à l'occasion de la fête du 31 août 1674],
dans Les Divertissements de Versailles (1676), par André Félibien,
exposition "Images du Grand Siècle : l'estampe française au temps de Louis XIV",
à la Bibliothèque nationale de France, à Paris XIII,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

Les plumes ont des oreilles, des bouches et des yeux

 

 

 

 

 

Nicolas de Poilly (1627-1696), détail du Portrait de Louis XIV (vers 1660-1670), burin,
exposition "Images du Grand Siècle : l'estampe française au temps de Louis XIV",
à la Bibliothèque nationale de France, à Paris XIII,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

 

En majesté

 

 

 

 

Nicolas de Poilly (1627-1696), Portrait de Louis XIV (vers 1660-1670), burin,
exposition "Images du Grand Siècle : l'estampe française au temps de Louis XIV",
à la Bibliothèque nationale de France, à Paris XIII,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

 

Vive le Roy !

 

 

 

 

 

Anonyme (Pierre Landry ?) et Pierre Lepautre (vers 1652-1716), Vive le Roy,
détail d'un almanach pour l'année 1674, eau-forte et burin (1673),
exposition "Images du Grand Siècle : l'estampe française au temps de Louis XIV",
à la Bibliothèque nationale de France, à Paris XIII,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

 

Pot aux roses

 

 

 

Il me semble souvent que, lorsqu'on écrit d'une photographie qu'elle est une photo, c'est comme si l'on disait d'un poème qu'il est un po.

 

(Il faut déplorer les abréviations inutiles, laides et paresseuses.)

 

 

 

Dans le bois

 

 

 

 

 

Au bois de Tigoulet, près d'Arpheuilles-Saint-Priest, dans le Bourbonnais,
photographie : décembre 2015.

 

 

 

 

 

La porte close

 

 

 

 

À Colombier, dans l'Allier,
photographie : décembre 2015.

 

 

 

 

Le miroir des branches

 

 

 

 

 

Fontaine de saint Patrocle (Xe s.),
à Colombier, dans l'Allier,
photographie : décembre 2015.

 

 

 

 

La fontaine qui guérit

 

 

 

 

 

Fontaine de saint Patrocle (Xe s.), vasques de granit (et Croix de granit (1752)),
à Colombier, dans l'Allier,
photographie : décembre 2015.

 

 

 

 

L'éclaircie

 

 

 

 

 

Étang de la Ganne,
photographie : Noël 2015.

 

 

 

 

Le ciel et la mer

 

 

 

 

 

Eugène Boudin (1824-1898), Coup de vent à Frascati, Le Havre (1896),
au Petit Palais, musée de la Ville de Paris,
photographie : décembre 2015.

 

 

 

La perte du ciel

 

 

 

L'homme des villes, en oubliant la Voie lactée qui ne peut plus s'observer, la nuit, à cause des lumières et des fumées, néglige bientôt le ciel gris ou bleu du jour ; je vois de moins en moins de gens contemplant les hauteurs ; chacun n'y jette plus guère qu'un rapide coup d’œil, et encore s'agit-il bien souvent de préoccupations météorologiques. L'homme moderne n'est-il pas celui qui, peu à peu, perd le ciel ?

 

(On n'use plus du mot supernel, que les dictionnaires qualifient, significativement, de désuet et de rare.)

 

 

 

 

Le poète et l'oiseau noir

 

 

 

 

Paul Gauguin (1848-1903), Portrait de Stéphane Mallarmé (1891), eau-forte,
Double exposition "Fantastique !", Première partie : "L'estampe visionnaire, de Goya à Redon",
au Petit Palais,
photographie : décembre 2015.

 

 

 

 

Biondetta

à Norbert.

 

 

 

Édouard de Beaumont (1821-1888), Le Diable amoureux (1845),
affiche de librairie pour le roman homonyme (1772) de Jacques Cazotte,
Double exposition "Fantastique !", Première partie : "L'estampe visionnaire, de Goya à Redon",
au Petit Palais,
photographie : décembre 2015.

 

 

 

La course à l'abîme

 

 

 

 

 

Eugène Delacroix (1798-1863), Faust et Méphistophélès galopant dans la nuit du sabbat (1827),
lithographie, planche de Faust, tragédie de M. de Goethe, premier état avant la lettre, avec des remarques,
Double exposition "Fantastique !", Première partie : "L'estampe visionnaire, de Goya à Redon",
au Petit Palais,
photographie : décembre 2015.