Interlude — Dans un jardin, ou La Vasque

 

 

 

 

 

Vasque, dans le jardin des Tuileries, à Paris,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

Silène porté

 

 

 

 

Vase Borghèse, cratère à décor dionysiaque (vers 40-30 av. J.-C.),
détail : Silène porté par un satyre,
au musée du Louvre, photographie : janvier 2016.

 

 

 

Le visage

 

 

 

 

Parmigianino (1503-1540), Autoportrait (vers 1522-1524), sanguine,
exposition "Parmigianino (1503-1540) - Dessins du Louvre",
au musée du Louvre, photographie : janvier 2016.

 

 

 

Le vieil homme et le livre

 

 

 

 

Parmigianino (1503-1540), Vieil homme barbu consultant un in-folio,
plume et encre brune, lavis brun,
exposition "Parmigianino (1503-1540) - Dessins du Louvre",
au musée du Louvre, photographie : janvier 2016.

 

 

 

 

Marsyas tirant la flûte de l'eau

 

 

 

 

Parmigianino (1503-1540), Marsyas tirant la flûte de l'eau,
plume et encre brune, lavis brun, rehauts blancs au pinceau,
exposition "Parmigianino (1503-1540) - Dessins du Louvre",
au musée du Louvre, photographie : janvier 2016.

 

 

 

Écorce

 

 

 

 

Écorce, encre & aquarelle, 10 x 8 cm, 2013.

 

 

 

 

Une somme de lenteur

 

 

 

C'est peut-être la lenteur qu'aime notre regard devant un tableau contemplé et aimé, davantage que le temps suspendu qu'il suppose parfois, davantage que le passé qu'il représente dans l'éternel instant du dessin et de la couleur. De même qu'il est une peinture silencieuse, celle, notamment, des natures mortes, il est une peinture lente, qui ne saurait être indolente ni paresseuse : sa lenteur est celle des immenses allées, des lointaines perspectives de Le Nôtre, et des hauts arbres qui les bordent.

 

 

 

Un visage

 

 

 

 

 

 

 

Andrea della Robbia (1435-1525), détail (un des apôtres) de L'Ascension du Christ (vers 1490),
partie centrale d'un retable après restauration et remontage,
provenant de l'église Sant'Agostino à Città di Castello (Ombrie),
terre cuite émaillée, musée du Louvre, photographie : janvier 2016.

 

 

 

 

 

Le Dieu des portes

 

 

 

 

Il y a quatre mois paraissait mon dernier ouvrage, Le Dieu des portes, aux éditions Librairie-Galerie Racine.

 

Il est toujours disponible sur le site de l'éditeur

ou directement auprès de la maison d'édition, sur simple lettre accompagnée d'un chèque de 16 euros, et adressée à la Librairie-Galerie Racine, 23, rue Racine, 75006 Paris.

 

 

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Un entretien, à l'occasion de la sortie de ce livre.

Une revue de presse.

 

 

 

L'encre et la plume

 

 

 

 

 

Encrier de Victor Hugo, dans sa maison,
au 6, place des Vosges, à Paris IV,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

Le buste du Maître

 

 

 

 

 

Auguste Rodin (1840-1917), Victor Hugo (1899-1900, bronze fondu en 1908),
dans la maison de Victor Hugo,
au 6, place des Vosges, à Paris IV,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

La vie dans les miroirs

 

 

 

 

 

Dans la maison de Victor Hugo,
au 6, place des Vosges, à Paris IV,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

Copeaux

 

 

 

 

Victor Hugo, brouillon pour Les Travailleurs de la mer (1864),
dans la maison de Victor Hugo,
au 6, place des Vosges, à Paris IV,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

Parenthèse

 

 

 

Il m'a souvent semblé que, dans la musique moderne la plus haute (je parle de Claude Debussy, de Maurice Ravel, de Richard Strauss, de Jean Sibelius notamment), fut introduite, parmi les thèmes et les motifs, la figure de la parenthèse, que la ligne mélodique emprunta à l'écrit.

 

 

 

Une lecture

 

 

Je signale une note de lecture par Lucien Wasselin,
 peu enthousiaste si je ne m'abuse, sur Le Dieu des portes.

 

C'est ici.