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jeudi, 15 octobre 2015

Les chaises vides

 

 

 

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À la fontaine Médicis (XVIIe s.), dans le jardin du Luxembourg, à Paris,
photographie : mai 2015.

 

 

 

 

Debussy chez Louÿs

 

 

 

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Pierre Louÿs (1870-1925), Portrait de Claude Debussy debout (mai 1894,
chez Pierre Louÿs, 1, rue Grétry, à Paris),
lors de l'exposition « De Carmen à Mélisande, drames à l'Opéra-Comique »,
au Petit Palais, à Paris,
photographie : juin 2015.

 

 

 

mercredi, 14 octobre 2015

D'après Maeterlinck

 

 

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Maurice Denis (1870-1943), Mélisande (1892),
lithographie avec rehauts de gouache,
lors de l'exposition « De Carmen à Mélisande, drames à l'Opéra-Comique »,
au Petit Palais, à Paris,
photographie : juin 2015.

 

 

 

mardi, 13 octobre 2015

Sans date, évidemment

 

 

 

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Paul Robert (1856-1925), Portrait de Claude Debussy (sans date), détail,
lors de l'exposition « De Carmen à Mélisande, drames à l'Opéra-Comique »,
au Petit Palais, à Paris,
photographie : juin 2015.

 

 

 

1902, année inaugurale

 

 

 

Point de hasard : c'est lorsque le monde a commencé même si timidement, alors d'être rapide et d'être pressé, et de suivre frénétiquement quelque « actualité », que fut créé l'opéra Pelléas et Mélisande, dont la musique est suprêmement lente, lointaine et attentive.

 

 

 

 

Le premier Pelléas

 

 

 

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Paul Nadar (1856-1939), Jean Périer dans le rôle de Pelléas (1902),
[Jean Périer (1859-1964), créateur du rôle],
photographie, tirage sur papier albuminé,
lors de l'exposition « De Carmen à Mélisande, drames à l'Opéra-Comique »,
au Petit Palais, à Paris,
photographie : juin 2015.

 

 

 

Les fantômes

 

 

 

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D'après Charles Bianchini (1859-1905), Costume de Mélisande (pour Irène Joachim),
et Costume de Pelléas (pour Jacques Jansen) (1952),
lors de l'exposition « De Carmen à Mélisande, drames à l'Opéra-Comique »,
au Petit Palais, à Paris,
photographie : juin 2015.

 

 

 

lundi, 12 octobre 2015

Relativité de la relativité

 

 

 

Je ne sais qui, un jour, affirma qu'il existait parmi les hommes, depuis la création de Pelléas et Mélisande, de Claude Debussy, des « pelléastres » inconditionnels, ou bien des contempteurs de l’œuvre, c'est-à-dire des ironiques, ou des indifférents, comme d'ordinaire.

 

Les seconds souscriraient volontiers aux propos de ceux qui, lors de la première de l'opéra, renommèrent celui-ci Pédéraste et Médisante, avec la méchanceté des cuistres ou des blasés, ou bien de ceux qui ne trouvent guère que fadeur, mièvrerie, ennui dans les lignes et les images d'une musique extrême, lointaine et pure.

 

Les premiers demeurent des fous, c'est entendu : ils possèdent plus d'une dizaine d'enregistrements de l'opéra sublime ; ils se rendent à chaque représentation nouvelle ; dans les loges, ils prennent les meilleurs places ; adorateurs conscients, ils ne peuvent même pas entendre que l'on puisse émettre un soupçon de réserve à l'encontre de cette musique sublime, unique, fière et souveraine. Un cheveu de Mélisande leur serait la suprême relique, et la tour où elle se pencha, un pèlerinage. Et toute l'ironie, ou presque, serait pour le jeune Yniold...

 

Aimez-vous Pelléas et Mélisande ? « Car là où est votre trésor, là aussi sera votre cœur » (Évangile selon Luc, 12, 34).

 

 

 
 

 

20:28 Écrit par Frédéric Tison dans Autour de la musique, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

L'élégance 1905

 

 

 

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Raoul Forcade (18??-19??), Portrait de Claude Debussy debout (vers 1905),
lors de l'exposition « De Carmen à Mélisande, drames à l'Opéra-Comique »,
au Petit Palais, à Paris,
photographie (très difficile à prendre, le tableau se trouvant placé
sur un lutrin vitré, si bien que ce cliché fait mieux voir la toile
que le présentoir de l'exposition) : juin 2015.

 

 

 

Devant une grotte

 

 

 

 

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Valentine Hugo (1887-1968), maquette de décor pour Pelléas et Mélisande,
Devant une grotte (Acte II, scène 3), pastel (1946),
lors de l'exposition « De Carmen à Mélisande, drames à l'Opéra-Comique »,
au Petit Palais, à Paris,
photographie : juin 2015.

 

 

 

 

dimanche, 11 octobre 2015

Un appartement dans le château

 

 

 

 

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Valentine Hugo (1887-1968), maquette de décor pour Pelléas et Mélisande,
Un appartement dans le château (Acte I, scène 2 & Acte IV, scènes 1 et 2), pastel (1947),
lors de l'exposition « De Carmen à Mélisande, drames à l'Opéra-Comique »,
au Petit Palais, à Paris,
photographie : juin 2015.

 

 

 

 

Douze poèmes en prose

 

 

 

Je signale à mes très aimables Lecteurs qu'une suite de douze poèmes en prose de votre serviteur a paru dans le numéro 40 de la revue Les Hommes sans Épaules.

(Ces textes sont issus d'un livre de poèmes en prose, encore inédit, qui a pour titre Le dieu des portes.)

 

 

Pour commander le numéro.

 

 

frédéric tison,les hommes sans épaules,n°40

 

(cliquer pour agrandir.)

 

 CAELO MVSA BEAT.

 

 

« Ne me touchez pas, ne me touchez pas ! »

 

 

 

 

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Claude Debussy, manuscrit autographe de la partition d'orchestre
de Pelléas et Mélisande (Acte I, scène 1)
(
mise au net pour la gravure, 1902-1904),
lors de l'exposition « De Carmen à Mélisande, drames à l'Opéra-Comique »,
au Petit Palais, à Paris,
photographie : juin 2015.

 

 

 

samedi, 10 octobre 2015

Mademoiselle Garden

 

 

 

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Mademoiselle Garden dans le rôle de Mélisande,
[Mary Garden (1874-1967), créatrice du rôle],
impression photomécanique (
vers 1904), par le Studio Reutlinger,
lors de l'exposition « De Carmen à Mélisande, drames à l'Opéra-Comique »,
au Petit Palais, à Paris,
photographie : juin 2015.

 

 

 

« C'est la couronne qu'il m'a donnée... »

 

 

 

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Marianne Stokes (1855-1927), Mélisande (vers 1895),
lors de l'exposition « De Carmen à Mélisande, drames à l'Opéra-Comique »,
au Petit Palais, à Paris,
photographie : juin 2015.