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vendredi, 09 octobre 2015

Les angelots pensifs

 

 

 

 

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Au château de Versailles,
photographie : mai 2015.

 

 

 

jeudi, 08 octobre 2015

L'échange du ciel et de la pièce d'eau

 

 

 

 

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Le bassin de Bacchus (1672), par les frères Marsy, au château de Versailles,
photographie : mai 2015.

 

 

 

 

mercredi, 07 octobre 2015

Les ailes

 

 

 

 

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Au château de Versailles,
photographie : mai 2015.
(Au premier plan, détail de l'
Amour porté par un sphinx (1667-1668),
par Nicolas Duval, Jacques Houzeau et Louis Lerambert,
d'après un modèle de Jacques Sarazin (1592-1660).)

 

 

 

 

L'évidence

 

à François.

 

 

 

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Au château de Versailles,
photographie : mai 2015.
(Au premier plan,
Amour porté par un sphinx (1667-1668),
par Nicolas Duval, Jacques Houzeau et Louis Lerambert,
d'après un modèle de Jacques Sarazin (1592-1660),
groupe qui est reproduit au château de Champs, devant la façade donnant sur les jardins.)

 

 

Depuis que les hommes ne construisent plus de châteaux (excepté, pour l'essentiel, les copies, ça et là, du Petit Trianon), tous les châteaux matériels sont devenus nos châteaux intérieurs.

 

 

 

 

L'obélisque d'eau — ou Les décors sont de Mansart

 

 

 

 

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Le bosquet de l'Obélisque (1704), par Jules Hardoin-Mansart, au château de Versailles,
photographie : mai 2015.

 

 

 

mardi, 06 octobre 2015

La menace des nuages

 

 

 

 

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Au château de Versailles,
photographie : mai 2015.

 

 

 

lundi, 05 octobre 2015

Eaux

 

 

 

 

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Le bassin de Saturne (vers 1674), par François Girardon, au château de Versailles,
photographie : mai 2015.

 

 

 

dimanche, 04 octobre 2015

Fragment d'un char solaire

 

 

 

 

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Le bassin d'Apollon (1668-1670), par Jean-Baptiste Tuby, au château de Versailles,
photographie : mai 2015.

 

 

 

 

vendredi, 02 octobre 2015

Après l'écoute d'un opéra

 

 

 

Le monde bruit du murmure des princes spoliés.

 

 

 

 

 

18:28 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

La main du poète

 

 

 

 

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La main d'Arion (1686-1695, copie de 2013),
par Jean Raon (1630-1707), dans les jardins du château de Versailles,
photographie : mai 2015.

 

 

 

L'Arion de marbre

 

 

 

 

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Jean Raon (1630-1707), Arion (1686-1695, copie de 2013),
dans les jardins du château de Versailles,

photographie : mai 2015.

 

 

 

 

À propos d'une titanide

 

 

 

 

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Le bassin de Latone (1670), par les frères Marsy, au château de Versailles,
photographie : mai 2015.

 

 

 

jeudi, 01 octobre 2015

Vents

 

 

 

« Quand les anges sont appelés vents, c’est pour faire connaître leur extrême agilité et la rapidité de leur action, qui s’exerce, pour ainsi dire, instantanément sur toutes choses, et le mouvement par lequel ils s’abaissent et s’élèvent sans peine pour entraîner leurs subordonnés vers une plus sublime hauteur, et pour se communiquer à eux avec une providentielle bonté. On pourrait dire aussi que ce nom de vent, d’air ébranlé, désigne une certaine ressemblance des anges avec Dieu : car, ainsi que nous l’avons longuement établi dans la théologie symbolique, en interprétant les sens mystérieux des quatre éléments, l’air est un symbole bien expressif des opérations divines, parce qu’il sollicite en quelque sorte et vivifie la nature, parce qu’il va et vient d’une course rapide et indomptable et parce que nous ignorons les mystérieuses profondeurs dans lesquelles il prend et perd son mouvement, selon cette parole : Vous ne savez ni d’où il vient ni où il va. »

 

Pseudo-Denys l'Aréopagite, Le Livre de la Hiérarchie céleste, chapitre 15, VI. (Traduction de l’abbé Darboy, 1845)

 

 

22:52 Écrit par Frédéric Tison dans Album des phrases | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

La phrase de la princesse

 

 

 
 
« De tous temps, en tous lieux, les poètes sont ceux qui ont quelque chose à dire à quelqu'un qui n'est pas là. »
 
 
Princesse Bibesco, Le Confesseur et les poètes. Paris : Grasset / Les Cahiers rouges, 1970, p. 12.
 
 
 
 
 
 

22:50 Écrit par Frédéric Tison dans Album des phrases | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Celui-là

 

 

 

Cet oiseau-là est le plus vil, dit-on, le plus simple, le plus triste de la ville — mais lui aussi possède l’aile et plane au-dessus des toits de tôle ou d’ardoise grise. C’est seulement lorsqu’il s’y pose qu’il est tout terne, et dérisoire. Ensuite, après que la pluie est tombée, il s’approche des gouttières pour y picorer des diamants, dans les miroirs.

 

 

 

 

22:49 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |