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jeudi, 30 novembre 2017

Ciel d'orage

 

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843), Orage sur la vallée de la Seine (Collection privée),
à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime », 
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

 

 

mercredi, 29 novembre 2017

Une image pour une séance

 

 

 

 

 

Arts & Jalons3.PNG

 

 

Colette Klein, Jean-Louis Bernard et Frédéric Tison,
lors de la séance du samedi 25 novembre 2017
organisée par Arts et Jalons à Saint-Mandé
(photographie issue d'une vidéo prise lors de cette séance).

Que mes amis et les lecteurs de ce blogue qui figurèrent parmi le public nombreux
et cordial de cet après-midi soient ici chaleureusement remerciés !

 

CAELO MVSA BEAT.

 

 

 

 

Vibrations de l'orage

 

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843), L'Orage (1828) (Musée d'art de Toulon),
à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime »,
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

L'inquiétude sourd de cette toile. Non loin des arbres déchirés, la jeune femme et son enfant, suivis par un petit chien, semblent se hâter de rentrer avant que le ciel éclate. Que font ces trois personnages sous l'arbre, à droite ? On dirait qu'ils ne s'aperçoivent pas encore que  l'orage est imminent, ni que la lumière est infiniment fragile, et tremblante.

 

 

 

mardi, 28 novembre 2017

Le ciel encore

 

 

... Où le ciel devient extrême, et où Georges Michel livre son regard ; voici :

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843), La Plaine Saint-Denis (vers 1810-1820)
(Musée d'art et d'histoire de Saint-Denis),

à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime »,
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

 

 

lundi, 27 novembre 2017

Le chemin clair

 

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843), Moulin à Montmartre (Musée Carnavalet, à Paris),
à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime »,
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

 

dimanche, 26 novembre 2017

« G. Michel 1827 »

 

 

 

Georges Michel signait très rarement ses toiles. Aussi la signature en bas à droite de La Sablonnière nous est-elle une précieuse trace, et une précieuse indication : en 1827, le peintre s'est affranchi de ses maîtres hollandais. Et pourtant, le magnifique ciel de La Sablonnière est moins audacieux que ceux qui sont représentés dans d'autres tableaux et qui datent peut-être de la même période. Est-ce à dire que le peintre alterna, toute sa vie, entre des hommages aux Anciens et des toiles libres et totalement personnelles ?

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843), signature et mention de date sur
La Sablonnière (1827) (Collection privée),
à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime »,
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

 

 

Le ciel rêveur

 

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843), La Sablonnière (1827) (Collection privée),
à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime »,
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

 

vendredi, 24 novembre 2017

Une règle pour la vie

 

 

 

Se souvenir de l'inconstance absolue.

 

 

 

 

 

 

 

18:59 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Ciel gris blanc

 

 

 

Je me souviens de la première fois que je découvris un tableau de Georges Michel : c'était en 2009, au Louvre. La toile, si je ne me trompe pas, était une récente acquisition du musée, et elle était exposée dans une salle consacrée, de façon provisoire (et dans les années qui suivirent, elle disparut des salles du musée, si bien que je la revis seulement en octobre 2017, à l'occasion de l'exposition au monastère royal de Brou). Je me rappelle mon immédiat amour, devant un ciel tourmenté, devant une toile aux couleurs d'une palette certes restreinte mais toute en nuances dans les blancs, les gris, les ocres. Je contemplais alors la Vue de la Seine avec une diligence, où ruissellent la terre et le ciel.

Si la facture du paysage reste assez classique, le ciel violemment brossé annonce toute une peinture à venir, et non seulement l'École de Barbizon ou les Impressionnistes. Georges Michel a peint là un ciel inoubliable.

 

 

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 Georges Michel (1763-1843), Vue de la Seine avec une diligence (Musée du Louvre),
à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime », 
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

 

 

Pour un samedi 25

 

 

 

 

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Une rencontre à Saint-Mandé.
Capture d'écran (Source).

 

 

 

 

jeudi, 23 novembre 2017

Premiers ciels

(Où je bouscule un peu la chronologie de ce blogue, avant de revenir au mois d'avril 2017 ; je briserai encore, de loin en loin, cette chronologie.)

 

 

 

Les ciels de Georges Michel sont encore quelque peu timides, dans ses premiers tableaux, lesquels, lorsqu'ils n'en sont pas des copies, sont de beaux hommages à Ruysdael, Cuyp ou Hobbema ; ses ciels ne se distinguent guère de ceux de leurs toiles. Admirons des ciels certes intenses et riches, mais toujours sereins, les nuages teintés de roses ou lourds de pluie demeurant les lents vaisseaux calmes d'un ciel que Dieu a créé. Des maîtres hollandais du paysage, Georges Michel est encore ici l'admirateur éperdu, avant d'en devenir le continuateur talentueux et bientôt le génial recréateur.

 

 

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Georges Michel (1763-1843) & Jacques Swebach-Desfontaines (1769-1823),
La Carriole dans le chemin avec deux cavaliers (Collection privée),
à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime »,
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843) d'après Jacob van Ruysdael (1628/29-1682),
Les Blanchisseuses de Haarlem (Musée de l'Oise à Beauvais),
à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime »,
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

Georges Michel sur ce blogue.

 

 

 

 

mercredi, 22 novembre 2017

Triomphe (2)

 

 

 

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 Aimé-Jules Dalou (1838-1902), Le Triomphe de Silène (1898),
au Jardin du Luxembourg, à Paris, photographie : avril 2017.

 

 

 

 

 

Triomphe

 

 

 

 

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 Aimé-Jules Dalou (1838-1902), Le Triomphe de Silène (1898), détail,
au Jardin du Luxembourg, à Paris, photographie : avril 2017.

 

 

 

 

 

mardi, 21 novembre 2017

L'invention du poème

 

 

 

« Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la », écrivait saint Augustin dans De la Doctrine chrétienne. Remplaçons le mot prière par celui de poème (mais tout poème n’est-il pas à sa façon une prière ?), et nous percevrons à mon sens l’origine du désir qui préside à la création d’un poème : ce dernier, qui maintenant se déploie sur la page, est celui que nous n’avions pas encore lu, que nous souhaitions voir arriver au jour, par notre voix particulière.

 

 

 

05:54 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Sur le poème | Lien permanent | Commentaires (1) |  Facebook |

lundi, 20 novembre 2017

Monument à Charles Baudelaire

 

 

 

 

frédéric tison,photographie,Pierre-Félix Fix-Masseau,monument à charles Baudelaire

 

Pierre-Félix Fix-Masseau (1869-1937), Monument à Charles Baudelaire (1936),
au Jardin du Luxembourg, à Paris, photographie : avril 2017.