Note en marge

 

 

 

Mon livre récent a été honoré d'un certain nombre de critiques. Cependant, je sais que l'une d'entre elles ne sera recueillie dans aucune revue ; elle émane d'un élève de l'une des classes lyonnaises chargées de remettre le Prix Roger-Kowalski des Lycéens 2016, pour lequel mon ouvrage était sélectionné. Cet élève, H., écrivait :

 

« Je vous conseille : Le Dieu des portes de Frédéric Tison
Si vous aimez la ville, la liberté et la fraternité.
Je vous conseille de le découvrir un après-midi d'été pour voir les oiseaux voler, en pleine ville, à la terrasse d'un café avec une boisson fraîche.
Pour moi ce recueil est joyeux, sincère et heureux. »

 

Est-ce nécessaire de préciser que je fus là très touché ? Et que j'attends le prochain été pour me remémorer ces mots si touchants, et lever mon verre de boisson fraîche, sur une terrasse, en l'honneur de ce jeune lecteur et de tous les oiseaux ?

 

 

 

 

 

Vers le cloître

 

 

 

 

 

À l'abbaye Sainte-Marie de Fontfroide, dans l'Aude,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

Le portail

 

 

 

 

 

Dans le réfectoire des convers de l'abbaye Sainte-Marie de Fontfroide, dans l'Aude,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

 

En arrivant dans l'abbaye

 

 

 

 

 

L'abbaye Sainte-Marie de Fontfroide (XIe-XVIIIe s.), dans l'Aude ;
dans le jardin, groupe sculpté (XIXe s.) du Char d'Apollon, par les frères Gossin,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

Le rideau rouge

 

 

 

 

Dans le village de Saint-Hilaire, dans l'Aude,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

Admirons le plafond

 

 

 

 

 

Plafond du logis abbatial (XVe s.), dans l'abbaye de Saint-Hilaire,
dans l'Aude,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

D'une lenteur

 

 

 

C'est dans les temps où le langage est malmené, où il semble détraqué, où les mots sont utilisés à tort et à travers, et vainement, et souvent pour ne rien dire ni voir ni aimer, c'est dans ces temps qu'il convient de parler rarement, écrire beaucoup dans le silence et la solitude, raturer, déchirer presque autant, et publier peu, dans des livres, des pages et des cahiers discrets, secrets, que pourtant chacun peut ouvrir s'il le désire : la lenteur sauve et rehausse tous les mots.

 

 

 

 

Saint-Hilaire

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'abbaye de Saint-Hilaire (VIIIe-XIIe-XIVe s.), dans l'Aude,
photographies : août 2016.

 

 

 

 

 

Vestiges

 

 

 

 

 

Ruines du château de Coustaussa (XIIe-XIIIe s.), dans l'Aude,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

 

L'escalier dans la bibliothèque

 

 

 

 

 

Une pièce, au rez-de-chaussée, dans la tour Magdala (1902-1906),
bibliothèque conçue par l'abbé Bérenger Saunière (1852-1917),
à Rennes-le-Château, dans l'Aude,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

La tour-bibliothèque

 

 

 

 

 

La tour Magdala (1902-1906), abritant la bibliothèque
conçue par l'abbé Bérenger Saunière (1852-1917),
à Rennes-le-Château, dans l'Aude,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

Villa Béthanie

 

 

 

 

 

Villa Béthanie, ou Bethania (1901-1902), près de l'église Sainte-Marie-Madeleine,
 à Rennes-le-Château, dans l'Aude,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

Sainte-Marie-Madeleine

 

 

 

 

 

L'église Sainte-Marie-Madeleine (XIe-XIXe s.), à Rennes-le-Château, dans l'Aude,
et ci-dessous, l'Asmodée, démon écrasé par le bénitier (reconstitution de la statue vandalisée, 2015)
photographies : août 2016.

 

 

 

 

 

Fragment d'un château

 

 

 

 

 

Le château (XIIIe s.), à Rennes-le-Château, dans l'Aude,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

La propriété heureuse

 

 

 

 

 

Le château de Serres, maison forte (XIIe-XVIIe s.), demeure privée,
dans le pays cathare,
photographie : juillet 2016.