Les partitions d'Erlebach

 

 

 

La malheureuse histoire de l’œuvre de Philipp Heinrich Erlebach m'avait touché lorsque je découvris, en 2012 je crois, quelques airs de ce compositeur : j'apprenais, dans le livret accompagnant le disque que j'écoutais, que le comte Albert Anton von Schwarzburg-Rudolstadt, le protecteur du compositeur, avait acquis auprès de sa veuve la plupart des manuscrits originaux de ses partitions, lesquels disparurent, alors que très peu avaient fait l'objet de copies, dans l'incendie de 1735 de la propriété de la famille du comte, le château de Heidecksburg, en Thuringe.

Les merveilleux aperçus qu'il nous reste de cette musique nous laissent rêver à ce que nous avons irrémédiablement perdu, opéras, sérénades, messes, cantates. Je pense à la perte.

 

 

 

 

Philipp Heinrich Erlebach (1657-1714), extraits de Airs et cantates (Meine Seufzer, In meiner Liebespein),
par le Stylus Phantasticus Ensemble (Victor Torres, chant), 2007.

 

 

 

 

 

Vue des terrasses

 

 

 

 

 

 

 

 

L'abbaye Sainte-Marie de Fontfroide, dans l'Aude,
vue des jardins en terrasses,
photographies : août 2016.

 

 

 

 

 

Dans les jardins en terrasses

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans les jardins en terrasses de l'abbaye Sainte-Marie de Fontfroide, dans l'Aude,
photographies : août 2016.

 

 

 

 

 

 

Côté jardin

 

 

 

 

 

L'église abbatiale (XIIe-XVe s.)
de l'abbaye Sainte-Marie de Fontfroide, dans l'Aude ;
photographie : août 2016.

 

 

 

 

 

Du possible

 à L. L.

 

 

Le poème et le regard peuvent être des synonymes.

 

 

 

 

 

Symboles

 

 

 

 

 

En l'abbaye Sainte-Marie de Fontfroide, dans l'Aude,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

 

Peintre de la lumière

 

 

 

 

 

Kim En Joong (né en 1940), détail d'un vitrail (2012) de la chapelle des Morts
 de l'église abbatiale (XIIe-XVe s.)
de l'abbaye Sainte-Marie de Fontfroide, dans l'Aude ;
photographie : août 2016.

 

 

 

 

Deux phrases

 

 

 

« La discussion politique publique n'est intellectuellement adulte dans aucun pays. »

 

*

 

« L'interlocuteur du solitaire est le passé tout entier. »

 

 

Nicolás Gómez Dávila (1913-1994). 

 

 

 

 

Après quelques vagabondages (Interlude)

 

 

 

 

 

Au centre, le linguiste Claude Hagège (né en 1936), lors de son allocution « Vagabondages poétiques »
à la séance mensuelle du Cercle Aliénor, à la brasserie Lipp, à Paris VI,
 photographie (prise avec mon téléphone portable) du samedi 8 avril 2017.

 

 

 

 

 

Lumières

 

 

 

 

 

Dans l'église abbatiale (XIIe-XVe s.)
de l'abbaye Sainte-Marie de Fontfroide, dans l'Aude ;
photographies : août 2016.

 

 

 

 

 

 

 

La porte et la lumière

 

 

 

 

 

Porte du réfectoire des convers de l'abbaye Sainte-Marie de Fontfroide, dans l'Aude,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

Trois feuilles

 

 

 

 

 

Base d'une colonne du cloître (XIIe-XIIIe s.) de l'abbaye Sainte-Marie de Fontfroide, dans l'Aude,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

 

Luxuriance

 

 

 

 

 

Chapiteaux, dans le cloître (XIIe-XIIIe s.)
de l'abbaye Sainte-Marie de Fontfroide, dans l'Aude ;
photographies : août 2016.

 

 

 

 

 

 

Dans le cloître (3)

 

 

 

 

 

Le cloître (XIIe-XIIIe s.) de l'abbaye Sainte-Marie de Fontfroide, dans l'Aude,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

 

Autour de 'Rues gris sable'

 

 

 

Jusqu'au 19 avril 2017, des images peintes
(acrylique sur photographies, multiples non identiques) de Sylvie Ledouxe
(dont certaines sont reproduites dans le livre d'artiste Rues gris sable)
sont en vente chez Patrice Pérasie, encadreur, au 41, rue Faidherbe à Paris XI
(Tél. : [phone]).
Ouverture du mardi au samedi, de 10h à 13h et de 14h à 19h.

 

 

 

 

Photographies du mardi 4 avril 2017.

 

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Se procurer Rues gris sable.