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mercredi, 11 septembre 2013

Jean et les Nombres

  

 

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Palma le Jeune (Jacopo di Antonio Negretti, dit Palma il Giovane, 1548-1628),

La Femme adultère. Palazzo Rosso, Gênes, Italie, photographie : juillet 2013.

 

 

Les exégètes s'interrogent toujours sur les mystérieuses paroles que Jésus trace sur le sol lors de l'épisode de la femme adultère (Jean, 8, 1-11), invoquant un passage du Deutéronome (10, 4) qui l'aurait inspiré.

Cependant, pourquoi les rédacteurs de l'Évangile de Jean n'auraient-ils pas songé, ou songé également, aux versets des Nombres (5, 11-31) où nous est narré le rôle de "l'eau de jalousie" ? J'ouvre le livre et je lis que, pour confondre une femme soupçonnée d'adultère, le prêtre devait, selon les prescriptions de Yahvé, préparer une mixture que la femme devait avaler : il s'agissait d'eau sainte, que le prêtre mélangeait à de la poussière ramassée sur le sol du Temple ; à cette "eau amère" était ensuite ajoutée l'encre d'une formule de malédiction écrite sur un livre que l'on mouillait. La femme qui n'était en rien incommodée par l'amertume du breuvage était innocente ; celle dont, nous dit-on, le ventre enflait et la cuisse se desséchait était coupable. Peut-être Jésus songea-t-il à cette poussière de l'eau de jalousie, peut-être ne voulut-il écrire aucune malédiction dans un livre, préférant écrire de frêles paroles éphémères sur le sol, pour dire à la femme, à haute voix, qu'elle pouvait aller ?

 

 

mardi, 10 septembre 2013

Céleste

 

  

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Le Guerchin (Giovan Francesco Barbieri, 1591-1666), Le Père Éternel avec un petit ange, détail (vers 1620).

Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

lundi, 09 septembre 2013

Archange

 

 

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Ludovic Carrache (Ludovico Carrachi, 1555-1619), Annonciation, détail (1603-1604).

Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

dimanche, 08 septembre 2013

Des ailes dans le labyrinthe d'un Palais rouge

 

  

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Andrea Sacchi (1599-1661), Dédale et Icare (vers 1645), détail.

Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

Le Palais rouge vu du jardin du Palais blanc

 

  

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Le jardin du Palazzo Bianco, et la façade du Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

samedi, 07 septembre 2013

Dans le Palais rouge

 

  

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Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

vendredi, 06 septembre 2013

D'après Ovide

  

 

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 Domenico Piola (1627-1703) & Stefano Camogli (vers 1610-1690), Le Char du Soleil avec les Saisons, (vers 1645-1650), détail.

Palazzo Rosso, Gênes, photographie : juillet 2013.

 

 

jeudi, 05 septembre 2013

Au haut du Palais rouge, presque toute la ville, et le port, le ciel et les toits et la mer

 

  

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Du Belvédère du Palazzo Rosso, Gênes, Italie, photographie : juillet 2013.

 

 

19:19 Écrit par Frédéric Tison dans Gênes, Voyage en Italie | Tags : frédéric tison, photographie, ville, gênes | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Balcon sur les toits

 

  

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Salita di Santa Caterina, à Gênes, Italie, photographie : juillet 2013.

 

 

08:07 Écrit par Frédéric Tison dans Gênes, Voyage en Italie | Tags : frédéric tison, photographie, gênes, italie | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

mercredi, 04 septembre 2013

Du regard photographique

 

 

Comment photographier une ville, une ville comme toutes les villes du monde, c’est-à-dire pleine de fils électriques, de panneaux didactiques, d’affiches, de barrières en fer blanc, de devantures criardes, de voitures garées devant les églises et les palais, une ville vivante donc, que parcourent habituellement des habitants mal vêtus, puisque presque tout le monde est aujourd’hui mal vêtu, je veux dire inharmonieusement vêtu, mal vêtu pour être, pour aller, pour se détacher sur des façades, des jardins et des avenues  ? Faut-il isoler un bel angle de vue, faut-il noircir un détail, faut-il même gommer, truquer, mentir ? Ou bien faut-il montrer de la ville sa puissante laideur, son opulent débraillement, faut-il par l’image évoquer son bruit ? Et nous faudra-t-il parfois écrire nos mots sur nos photographies, nous appropriant alors leurs images, faisant du regard notre Regard, et mêler nos photographies écrites à l’immense fatras d’images photographiées et filmées qui se superpose aujourd’hui au monde ? Peut-être faut-il faire tout cela, alternativement, selon.

 

 

15:37 Écrit par Frédéric Tison dans Sur la photographie | Tags : frédéric tison, photographie, ville, regard | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Le port (5)

 

  

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 Le Port de Gênes, Italie, photographie : juillet 2013.

 

 

mardi, 03 septembre 2013

Le cartouche

 

  

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Domenico Piola (1627-1703), cartouche et détail de L'Athénée des Beaux-Arts.

 Palazzo Bianco, Gênes, Italie, photographie : juillet 2013.

 

 

lundi, 02 septembre 2013

Trois feuilles et un petit fruit

  

 

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Joos Van Cleve (vers 1485-1540/1541), Vierge à l'Enfant (vers 1518-1522), détail.

 Palazzo Bianco, Gênes, Italie, photographie : juillet 2013.

 

 

dimanche, 01 septembre 2013

Le port (4)

   

 

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Le Port de Gênes, Italie, photographie : juillet 2013.


 

Dans le Palais blanc

 

  

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Luca Cambiaso (1527-1585), Autoportrait de l'artiste en train de peindre le portrait de son père Giovanni (vers 1570), détail.

 Palazzo Bianco, Gênes, Italie, photographie : juillet 2013.