Le poète aux yeux bleus

 

 

 

 

Jacques-Émile Blanche (1861-1942), René Crevel (1900-1935), détail,
musée Carnavalet, Paris, photographie : octobre 2014.

 

 

 

L'enfant du Temple

 

 

 

 

 

Joseph-Marie Vien (1762-1848), Louis XVII (1785-1795), détail,
[portrait probablement peint au Temple, sur l'ordre de la Convention],
musée Carnavalet, Paris, photographie : octobre 2014.

 

 

 

La vie dans les miroirs

 

 

 

 

Au musée Carnavalet, à Paris,
photographie : octobre 2014.

 

 

 

Peinture du photographe

 

 

 

 

Louis Daguerre (1797-1851), Paris vu du haut de la butte Montmartre (vers 1830), détail,
musée Carnavalet, Paris, photographie : octobre 2014.

 

 

 

 

Les nuages et la balustrade

 

 

 

 

Au musée Carnavalet, à Paris,
photographie : octobre 2014.

 

 

 

Crépuscule

 

 

 

 

Paul Huet (1803-1869), Une mare, près de la Glacière, et le Val-de-Grâce, au crépuscule, détail,
musée Carnavalet, Paris, photographie : octobre 2014.

 

 

 

 

Le banc

 

 

 

 

Cour intérieure de l'hôtel Carnavalet (musée Carnavalet), à Paris,
photographie : octobre 2014.

 

 

 

Interlude avec une effigie

 

 

 

 

 

Buste de l'Hiver, dans le Salon de Madame, dans le parc,
au château de Champs, à Champs-sur-Marne,
photographie : janvier 2015.

 

 

La pierre meurt aussi, elle se décompose et s'efface avec une lenteur plus éparse que celle qui affecte nos corps, mais elle passe aussi. Contemplant, il y a peu, cet Hiver, dont je voulus faire l'image de la couverture de mes Effigies, j'observai, avec effroi, et tant de tristesse, les moisissures et les mousses sur le grain de la pierre. La sculpture est dans le parc depuis plus d'un siècle, et je l'ai vue se dégrader en quelques années. Que faire ? La desceller, l'emporter avec moi, la conserver dans mon salon ? Cependant, et sans compter que je serais bien incapable d'un tel vol, comment chez moi la protégerais-je vraiment ? Ce n'est pas, certes, la solution. Ah ! Pourquoi n'ai-je pas été inscrit sur le testament des Cahen d'Anvers, les anciens propriétaires du domaine ? Entre autres choses, j'aurais fait resplendir la statue ! Comme ils ont eu tort, comme ils furent naïfs, nos anciens riches, nos anciens puissants, de n'avoir pas pressenti que parmi eux se dresseraient bientôt, indifférents, les ennemis de la beauté, au nom de l'argent, du profit, de l'utilité seuls ! Sans doute pensaient-ils que leurs parcs rêvés étaient éternels et renouvelés à la fois. Pour nous, nous avançons désormais parmi la beauté du monde comme dans un rêve effondré dont la négligence des hommes a brisé l'inachèvement.

 

 

 

Le retour à Paris

 

 

 

 

Sous le pont Notre-Dame,
photographie : septembre 2014.

 

 

 

Saint-Georges de Boscherville

 

 

 

 

L'église abbatiale de l'abbaye Saint-Georges de Boscherville (XIIe-XIIIe s.),
à Saint-Martin-de-Boscherville, en Seine-Maritime,
photographie : septembre 2014.

 

 

 

Sur la route

 

 

 

 

En voiture, le long de la Seine, en Haute-Normandie,
photographie : septembre 2014.

 

 

 

Souvenir de la mer

 

 

 

 

Au Havre,
photographie : septembre 2014.

 

 

 

Franchir, peut-être, la Seine

 

 

 

 

Le bac du Mesnil-sous-Jumièges, en Haute-Normandie,
photographie : septembre 2014.

 

 

 

Passant devant l'abbaye

 

 

 

 

Abbaye de Jumièges, église abbatiale Notre-Dame, le soir, après la fermeture des lieux,
photographie : septembre 2014.

 

 

 

Où mourut la Dame de Beauté

 

 

 

 

 

 

Manoir de la Vigne, dit manoir d'Agnès Sorel (XIVe siècle), au lieu-dit Le Halage,
au Mesnil-sous-Jumièges, en Haute-Normandie,
où mourut Agnès Sorel, le 9 février 1450,
photographies : septembre 2014.