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vendredi, 08 juin 2018

Meillant

 

 

 

 

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Le château de Meillant (XIIIe-XVIe s.), dans le Cher,
photographies (si je n'ai pas su choisir) : août 2017.

 

 

frédéric tison,photographie, château de meillant

 

 

 

 

jeudi, 07 juin 2018

La portée

 

 

 

 

 

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Sur la route, un arc-en-ciel, en quittant la Suisse,
photographie : août 2017.

 

 

 

 

 

mercredi, 06 juin 2018

Trois poèmes et une note

 

 

Je signale la parution de trois poèmes extraits d'Aphélie, suivi de Noctifer (2018), et d'une note de lecture, par Monique W. Labidoire, sur Le Dieu des portes (2016), dans Concerto pour marées et silence, revue, n° 11, juin 2018, revue dirigée par Colette Klein.

 

Veuillez trouver le bon de commande à cette adresse.

 

Page d'accueil du site de Concerto pour marées et silence, revue.

 

 

 

 

10:40 Écrit par Frédéric Tison dans Revues, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

Le baroque tardif

 

 

 

 

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L'église catholique Saint-Jacques (vers 1790), à Cham,
dans le canton de Zoug, en Suisse,
photographies : août 2017.

 

 

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mardi, 05 juin 2018

Pfarrei St. Jakob, Cham

 

 

 

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L'église catholique Saint-Jacques (vers 1790), à Cham,
dans le canton de Zoug, en Suisse,
photographie : août 2017.

 

 

 

 

Une parution : Selon Silène

 

 

 

 

Selon Silène - 2e impression - Frédéric Tison - L'Harmattan.JPG

 

 Frédéric Tison, Selon Silène, Paris : L'Harmattan, 2018.

 

Un entretien à propos de l'ouvrage.

 

 

 

 

lundi, 04 juin 2018

Une recension (en kiosque)

 

 

 

Je signale une recension, par Isabelle Lévesque, de Aphélie, suivi de Noctifer, dans La Nouvelle Quinzaine littéraire, n° 1195, 1er juin 2018, p. 5 (dans le dossier : "Que lire cet été ? / Parutions récentes, la sélection de La Quinzaine").

 

Site de La Nouvelle Quinzaine littéraire.

 

 

 

09:41 Écrit par Frédéric Tison dans Revues, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

Hohle Gasse

 

 

 

 

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Le Chemin creux (Hohle Gasse) menant à la chapelle de Tell (1638),
entre Küssnacht et Immensee, 
dans le canton de Schwyz, en Suisse,
photographies : août 2017.

 

(Le Livre blanc de Sarnen (1470) raconte que Hermann Gessler, bailli impérial de Schwyz et d'Uri, fit ériger un mât ; sur ce mât était fiché un chapeau symbolisant le bailli, que les habitants du pays devaient saluer lorsqu'ils passaient devant lui. Guillaume Tell vint à passer, ignorant le chapeau. Gessler le condamna à tirer un trait d'arbalète dans une pomme posée sur la tête de son fils. Plus tard, Gessler sera tué par Guillaume Tell dans le Chemin creux ; la chapelle de Tell est dédiée à ce souvenir.)

 

 

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dimanche, 03 juin 2018

La note devenue livre

 

 

 

Selon Silène : une très longue note de bas de page pour nombre de mes autres livres.

 

 

 

 

11:36 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

vendredi, 01 juin 2018

Entretien avec Jean de Rancé — Sur 'Selon Silène'

 

 

 

Jean de Rancé.-.  Cher Frédéric Tison, après Aphélie, suivi de Noctifer, qui parut en février dernier aux éditions Librairie-Galerie Racine, vous publiez votre sixième livre, Selon Silène, paru en mai 2018 aux éditions L’Harmattan, qui n’est pour une fois pas un livre de poésie.

 

Frédéric Tison.-. Cher Jean de Rancé, c’est exact, même si j’ai écrit des livres de contes, jadis — mais ces derniers, je les ai auto-édités seulement.

 

J. de R.-. Comment l’idée de consacrer un livre à un tel personnage vous est-elle venue ?

 

F. T.-. Je m’en souviens, c’était en 2009, je lisais l’excellent livre de Georges Minois, Histoire du rire et de la dérision. Je retrouve devant vous ce passage qui me toucha vivement : « Dans un mythe raconté par Théopompe de Chios, Silène parle d’un pays extraordinaire où les hommes sont deux fois plus grands et vivent deux fois plus longtemps que chez nous ; ils n’ont pas à travailler et meurent dans un grand rire » (éditions Fayard, 2000, p. 20). Pour moi, Silène n’était alors qu’un simple satyre, figurant parmi bacchants et bacchantes dans le thiase, ce cortège bruyant du dieu du vin Dionysos : qui était donc ce personnage qui racontait de telles histoires ? Je cochai la page et me promis d’approfondir la question. Peu de temps après, je regardai mieux, au Louvre, une fort belle statue de marbre datée de l’époque romaine impériale, représentant Silène et intitulée Silène ivre : cette œuvre se souleva en quelque sorte devant moi, je me rappelai les propos du satyre rapportés par Georges Minois, et je me mis à faire des recherches ; je m’aperçus que le personnage était bien plus riche que l’on croit, que sa figure était bien plus complexe ; je lus, pris quelques notes, j’envisageai une sorte d’article ; mes notes de lecture enflèrent considérablement, et cela devint un petit livre, que j’élaborai entre 2009 et 2017, par fragments, lentement.

 

 

 

Silène ivre - IIe s ap. J.-C. - marbre de Paros - Louvre - 1.jpg

Silène ivre (IIe s. ap. J.-C.),
copie d'époque romaine impériale, marbre de Paros,

au musée du Louvre, photographie : février 2009.

 

 

J. de R.-. Votre livre, je dois le dire, est assez déroutant : il oscille sans cesse entre le traité mythologique et la réflexion originale, voire le poème en prose. Ainsi certaines parties du livre sont-elles très personnelles, quand d’autres le sont moins.

 

F. T.-. Oui, c’est un livre hybride, vous l’avez noté : hybride… comme le satyre ! Je n’ai pas la prétention d’avoir toujours été original, notamment dans les passages du livre où j’évoque la geste de Dionysos, l’origine des satyres-silènes, ou encore la préfiguration possible de Silène observable dans la figure du dieu égyptien Bès. C’est qu’il est difficile, voire impossible d’être original en la matière : déjà Ovide, au Ier siècle après Jésus-Christ, s’inspirait de sources mythologiques parfois perdues pour nous, déjà Diodore de Sicile, dans sa Bibliothèque historique composée au Ier siècle, et Pausanias, dans sa Description de la Grèce écrite au IIe siècle, puisaient dans les livres de plus anciens mythographes. Plus tard, le Dictionnaire de la Fable (1801) de François Noël, le Dictionnaire mythologique universel ou Biographie mythique (1854) de Adolf Edward Jacobi, sans oublier le magistral Dictionnaire des Antiquités grecques et romaines (1877-1919) de Charles Daremberg et Edmond Saglio, qui sondent les profondeurs de la littérature et de l’art antiques, ces dictionnaires inspireront les récits des traités mythologiques de Pierre Commelin, Jean Richepin ou Mario Meunier qui, dans leurs pages, en reprendront nombre d’éléments, de même que Pierre Grimal, dans son Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine (1951). J’ai fait de même, en rassemblant et synthétisant des éléments épars glanés dans les bibliothèques ; je dois dire que je fréquente depuis l’adolescence les ouvrages des mythographes, et je relis souvent Les Métamorphoses d’Ovide, au point que je me suis en quelque sorte approprié ces œuvres, et que j’en suis tellement nourri que j’ai pu parfois rédiger de mémoire, pour ce livre, tel épisode ou telle interprétation, en veillant toutefois à formuler de façon personnelle ce qui était narré (même si dans ce domaine la paraphrase est inévitable) : mais comment inventer, quand il s’agit de mythologie et d’anciennes traditions ? Et c'est, toujours, le phénomène séculier de la cryptomnèse. Aussi bien, ce n’est pas dans ces passages du livre que j’ai fait œuvre d’imagination : il ne s’agissait pas ici de récrire quelque mythe, mais de présenter ce que dictionnaires et traités avaient depuis longtemps mis au jour, afin d’avancer.

 

J. de R.-. Vous avez parlé de vos notes de lecture : comment avez-vous procédé ?

 

F. T.-. Je me suis retrouvé devant une masse considérable de documents, aux informations parfois contradictoires, si bien qu’il m’a fallu opérer un tri, choisir une version, en signaler quelques variantes. Mais l’exhaustivité fut impossible, de même que fut irréalisable la mention systématique, dans le corps de mon texte, de toutes les sources que j’ai consultées, et dont je me souvenais. C’est que j’ai pris de façon erratique, depuis 2009, beaucoup de notes glanées ça et là, sans esprit « scientifique » ; sans parler des réminiscences de mes années à l’Université… D’autre part, j’ai tenu à ce que les notes apparaissent en bas des pages et non à la fin (j’ai toujours trouvé assommant le fait de se reporter à la fin d’un volume pour consulter des notes qui souvent ne sont que de caractère bibliographique) ; si j’avais voulu tout référencer, à chaque occurrence, les notes auraient mangé presque la moitié de chaque page !

C’est d’ailleurs ainsi que j’ai pu mesurer combien les auteurs de l’Antiquité, pour rédiger leurs traités, devaient nécessairement avoir l’assistance de secrétaires. Virgile, ou Origène, par exemple, étaient secondés, dans l’écriture de leurs ouvrages, par de petites mains érudites anonymes — ces auteurs l’évoquent eux-mêmes au détour des pages de leurs écrits. Selon Silène fut rédigé par moi seul, d’où sans doute quelques approximations et peut-être, qui sait ? mais c’est inévitable, quelques erreurs, sans parler des oublis !

Le sujet est inépuisable, et les sources, bien cachées. On peut passer à côté d’elles bien souvent. Tenez, à titre d’exemple : je faisais récemment, sur un tout autre sujet, quelques recherches dans la Description de la Grèce de Pausanias : et voici qu’au Chapitre XXIV du Livre VI,  je tombai sur un passage qui évoque Silène, passage qui m’avait échappé :

« On voit aussi dans cet endroit [Élis, une ancienne cité grecque de la région de l’Élide] un temple de Silène ; c'est à ce dieu seul qu'il est érigé, et non à lui et à Bacchus (Dionysos) à la fois. L'Ivresse lui présente du vin dans une coupe. Les Silènes sont une race mortelle, comme on peut le conjecturer par leurs tombeaux. On voit un tombeau de Silène dans le pays des Hébreux, et un autre dans les environs de Pergame. » (Traduction de M. Clavier, Paris : A. Bobée, 1821.)

Or, ce sont précisément ces remarques que l’érudit Samuel Bochart et le mythographe Pierre Commelin, auteurs que je nomme dans le Chapitre VIII de mon livre, avaient notées à propos des tombeaux de silènes respectivement chez les Hébreux et à Pergame, sans mentionner leur source !

La difficulté fut grande de construire un texte cohérent, s’articulant en chapitres. Cela reste pour moi une belle et enrichissante expérience d’écriture.

 

 

Rubens - Silène ivre - 1617-18 - Alte Pinacotheke - Munich.jpg

Pierre Paul Rubens (1577-1640), Silène ivre (1617/18),
à l'Alte Pinakotheke de Munich, photographie : juillet 2011.

 

 

J. de R.-. Revenons à Silène : en quoi le personnage vous a-t-il semblé si intéressant ?

 

F. T.-. Je me suis aperçu que Silène n’est nullement réductible à l’image du vieux satyre hilare et aviné que les peintres et les sculpteurs nous montrent le plus souvent. À y regarder de plus près, Silène, et les satyres dans leur ensemble, précédent Dionysos, lequel les enrôle dans sa suite. Il ne faut pas oublier que, s’il représente une force vitale, violente, « primitive », Dionysos (tel qu'il apparaît dans l'entourage de Silène) est un dieu tardif : c’est lorsqu’il invente le vin qu’il entraîne à sa suite le cortège que nous connaissons, composé notamment de bacchants, de bacchantes, de bassarides (ces conductrices de tigres et porteuses de tambours) et de satyres.

C’est ainsi qu’il faut, à mon sens, distinguer deux ivresses : celle du vin, qui suppose une civilisation (le vin se fabrique, il n’est pas « naturel »), une ivresse incarnée par Dionysos (même s’il n’incarne pas que cela, bien sûr), et celle de la vie elle-même, que représentent les satyres, lesquels sont à l’origine des sortes de génies des sources, des arbres, des vents. On peut détacher Silène, peu à peu, à travers les textes des Anciens, du dieu du vin : s’il n’est qu’un pleutre chez les auteurs tragiques, d’autres auteurs en esquissent une image correspondant davantage à ce qu’il fut avant de rencontrer Dionysos ; d’ailleurs, il deviendra le précepteur du dieu, lui enseignant la science cachée des choses.

 

J. de R.-. Avant de représenter un être sous l’influence du vin, Silène incarne donc, si je vous comprends bien, l’ivresse de la vie elle-même ?

 

F. T.-. Selon nos sources, il est les deux, alternativement, ou successivement, il est à la fois un autre Dionysos et une autre forme d’ivresse, il est insaisissable. C’est une figure qui puise dans « l’archétypal », dans les émotions les plus primitives qui sont enfouies en nous. Il a beaucoup à nous apprendre, et mon livre n’est qu’une interprétation très personnelle de sa figure. Mais vous me permettrez de ne pas dévoiler le cœur du livre ni déflorer quelques histoires ; je laisserai le lecteur découvrir par lui-même.

 

 

Silène - décor d'ustensile - Deuxième moitié du VIe siècle avant J.-C. - Atelier de Grande Grèce –Bronze - H. 8,20 cm - Louvre 3.jpg

Atelier de Grande Grèce, Silène, décor d'ustensile
(deuxième moitié du VIe siècle av. J.-C.), 
bronze (hauteur 8,20 cm),
au musée du Louvre, photographie : août 2011.

 

 

J. de R.-. N’avez-vous pas craint de vous éloigner des exégèses traditionnelles, plus « autorisées »?

 

F. T.-. Il n’y a rien à craindre. Silène, comme tous les dieux ou les visages mythologiques, parle de nous autres hommes. « Je suis homme, et rien de ce qui est humain ne m'est étranger », disait Chrémès dans l’Heautontimoroumenos de Térence. Cependant, nous ne pourrons jamais vraiment tout comprendre de la pensée des Grecs, c’est un monde trop éloigné de nous, même s’il nous donne l’illusion d’une plus grande proximité que ceux de l’Afrique ou de l’Asie. Nous en héritons, certes, nous en sommes tissés, comme du monde de Jérusalem, mais nous ne pouvons qu’en avoir une image partielle, partiale, voilée, lointaine. Paul Veyne a fait remarquer, si je résume, que la question de savoir si les Grecs croyaient ou non en leurs mythes ne se posait pas en ces termes, qui sont les nôtres, selon notre conception moderne, d’ailleurs assez floue elle-même, de la croyance : les Grecs savaient que les dieux existaient, c’est à peu près tout ce qu’on peut en dire, ils le savaient comme nous savons que nous sommes dans la Voie lactée, aujourd’hui. Cela dit, nous avons certainement perdu le sentiment, partagé chez les Anciens, que le sacré est agissant, que le dieu, les dieux, sont avant tout des forces, des énergies, avant d’être des idées soumises à la spéculation.

 

 

 

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Antoine Coypel (1661-1722), Silène barbouillé de mûres par la nymphe Églé
[accompagnée des deux pastoureaux Chromis et Mnasyle (*)] (vers 1700),
au musée des beaux-arts de Reims, photographie : avril 2009.
(*) Voir la VIe églogue des
Bucoliques de Virgile.

 

 

J. de R. -. Quel rapport entretient Selon Silène avec vos autres ouvrages ?

 

F. T. -. Silène apparaît de façon furtive dans nombre de mes livres, notamment dans Les Ailes basses et Le Dieu des portes. On peut très bien considérer Selon Silène comme une longue, très longue note de bas de page pour mes autres livres.

 

J. de R.-. Vous intervenez vous-même en tant que narrateur dans ce livre, vous mettant en scène en train de dialoguer, dans de courtes scènes, avec Silène lui-même.

 

F. T.-. Ah, ne confondez pas auteur et narrateur !

 

J. de. R.-. Non pas…

 

F. T.-. Mais vous avez raison, bien sûr : je n’ai pas eu la prétention de concurrencer un Jean-Pierre Vernant ou un Pierre Grimal, par exemple ; mon livre n’est pas « scientifique » ; je n’ai pas les compétences d’un philologue ni celles d’un universitaire mythographe. J’invite seulement mon lecteur à découvrir un regard. C’est pour cela que j’ai introduit un narrateur conversant avec Silène à certains moments du livre. Mon livre est, comme je l’ai mentionné sur la quatrième de couverture, « une promenade livresque, esthétique et philosophique » (modestement philosophique, naturellement). Se promener, n’est-ce pas une part essentielle de nos vies ? Et toute promenade n’est-elle pas l’itinéraire particulier d’un regard ?

 

(Propos recueillis le mardi 29 mai 2018.) 

 

 

Jan Roos détail 1 1591-1638, La Vendange de Silène, Palazzo Bianco, Gênes.jpg

  Jan Roos (1591-1638), La Vendange de Silène, détail, 
au Palazzo Bianco, à Gênes. Photographie : juillet 2013.

 

 

Pour voir sur ce blogue d'autres photographies miennes ayant pour motif Silène, aller ici, , puis encore ici, , et encore ici.

 

 Notice : Selon Silène, Paris : L'Harmattan, 2018.

 

 

 

  

 

Sur la route

 

 

 

 

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Belle maison, du côté du hameau d'Immensee,
dans le canton de Schwyz, en Suisse,
photographie : août 2017.

 

 

 

 

 

05:19 Écrit par Frédéric Tison dans Voyage en Suisse | Tags : frédéric tison, photographie, maison suisse | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |