L'ange

 

 

 

 

 

Détail de la cuve au centre du Salon des Philosophes,
dans le parc du château de Champs (1699-1707),
à Champs-sur-Marne,
photographie : février 2016.

 

 

 

 

D'un jardin

 

 

 

Il arrive bien souvent qu'un poème soit un regard retrouvé.

 

 

 

 

D'un ailleurs

 

 

 

L'un présente son programme politique mensonger, l'autre en démissionnant prétend rompre avec quelque programme vain et en inaugurer un nouveau, un autre encore commente ces ineptes événements : mais qu'avons-nous affaire avec ces gens dont toute la parole et toute l'existence sont une insulte à la beauté, à la présence de l'être au monde, à notre jour, à notre nuit ?

 

 

 

Perspective

 

 

 

 

 

Le bassin de Scylla, dans le parc du château de Champs (1699-1707),
à Champs-sur-Marne,
photographie : février 2016.

 

 

 

L'Yver encore

 

 

 

 

 

Au château de Champs, à Champs-sur-Marne,
photographie : février 2016.

 

 

 

L'impression

 

 

 

 

 

Au château de Champs (1699-1707), à Champs-sur-Marne,
photographie : février 2016.

 

 

 

Le bassin solitaire

 

 

 

 

 

Le bassin du Petit Cheval, dans le parc du château de Champs (1699-1707),
à Champs-sur-Marne,
photographie : février 2016.

 

 

 

 

Ô saisons, Ô châteaux !

 

 

 

 

 

Le château de Champs (1699-1707), à Champs-sur-Marne,
photographie : février 2016.

 

 

 

 

Les ailes

 

 à Cécile A. Holdban.

 

 

 

Ange volant (Lorraine, seconde moitié du XVIe s.), pierre,
provenant de la collégiale Saint-Maxe de Bar-le-Duc (Meuse),
au musée du Louvre, photographie : février 2016.

 

 

 

 

Le temps et le saccage

 

 

 

 

 

Barthélémy Prieur (1536-1611) ou Guillaume Dupré (vers 1576-1640), Génie funéraire, détail,
provenant du monument funéraire de Dominique de Vic (1551-1610),
au musée du Louvre, photographie : février 2016.

 

 

 

 

Deux détails pour une effigie

 

 

 

 

 

 

 

François Anguier (vers 1604-1669), Effigie funéraire de Henri Chabot, duc de Rohan (1656), détails,
au musée du Louvre, photographies : février 2016.

 

 

 

 

Les herbes fanées

 

 

 

Il me semble, ôtant de nombreux livres de ma bibliothèque afin de m'en débarrasser, que je déconstruis pierre après pierre des pans de mur de la maison déjà fragile où je vis, et que je rends celle-ci plus vulnérable encore à l'hostilité du monde. Et dans mes rayonnages encombrés je crée des trouées qui m'apparaissent autant d'années qui ont passé. Ces livres que, pour certains d'entre eux, je m'étonne d'avoir aimés, et que, je le sais, je ne relirai plus, ces livres me sont d'anciens regards ; je ne les regarde plus qu'avec amusement, ou nostalgie.

 

Le jargon des bibliothécaires qualifie de "désherbage" l'acte d'éliminer quelque surplus de livres : ce sont bien là des herbes, non point toutes mauvaises, que j'arrache à ma demeure, pour un autre jardin — un jardin plus mûr ?

 

 

 

À toutes les Gloires de la France

 

 

 

 

 

Détail du portail de la cour de Marbre du château de Versailles,
photographie : février 2016.

 

 

 

Le souverain de l'au-delà et des millions d'années

 

 

 

 

 

Statue d'Osiris, détail,
(Égypte, période saïte, XXVIe dynastie, 664-525 av. J.-C.), grauwacke (roche sédimentaire),
exposition "Osiris - Mystères engloutis d'Égypte",
à l'Institut du Monde arabe, Paris V,
photographie : février 2016.

 

 

 

 

Le dieu-fleuve

 

 

 

 

 

Buste d'un dieu (détail), probablement le dieu du Nil,
(Égypte, période romaine, IIe s. ap. J.-C.), grauwacke (roche sédimentaire),
exposition "Osiris - Mystères engloutis d'Égypte",
à l'Institut du Monde arabe, Paris V,
photographie : février 2016.