La bibliothèque du père

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bibliothèque, dans la Goethe-Haus (XVIIIe s.), maison du conseiller impérial Johann Caspar Goethe (1710-1782),
où naquit Johann Wolfgang Goethe, le 28 août 1749,
et où il écrivit Les Souffrances du jeune Werther (1774),
détruite en 1944 et reconstruite à l'identique en 1947-1951,
Großer Hirschgraben 23, à Francfort-sur-le-Main, dans la Hesse, photographies : août 2015.

 

 

 

 

Degrés

 

 

 

 

 

Escalier central, dans la Goethe-Haus (XVIIIe s.), maison du conseiller impérial Johann Caspar Goethe (1710-1782),
où naquit Johann Wolfgang Goethe, le 28 août 1749,
et où il écrivit Les Souffrances du jeune Werther (1774),
détruite en 1944 et reconstruite à l'identique en 1947-1951,
Großer Hirschgraben 23, à Francfort-sur-le-Main, dans la Hesse, photographie : août 2015.

 

 

 

Dans un paysage

 

 

 

 

 

Johann Conrad Seekatz (1719-1768), La famille Goethe dans un paysage, détail,
Johann Caspar, Catharina Elizabeth et leurs enfants Johann Wolfgang et Cornelia,
dans la Goethe-Haus (XVIIIe s.), maison du conseiller impérial Johann Caspar Goethe (1710-1782),
où naquit Johann Wolfgang Goethe, le 28 août 1749,
et où il écrivit Les Souffrances du jeune Werther (1774),
détruite en 1944 et reconstruite à l'identique en 1947-1951,
Großer Hirschgraben 23, à Francfort-sur-le-Main, dans la Hesse, photographie : août 2015.

 

 

 

Dans le salon bleu mourant

 

 

 

 

 

Salon bleu (d'un bleu dit « mourant »), au rez-de-chaussée de la Goethe-Haus (XVIIIe s.),
maison du conseiller impérial Johann Caspar Goethe (1710-1782),
où naquit Johann Wolfgang Goethe, le 28 août 1749,
et où il écrivit Les Souffrances du jeune Werther (1774),
détruite en 1944 et reconstruite à l'identique en 1947-1951,
Großer Hirschgraben 23, à Francfort-sur-le-Main, dans la Hesse, photographie : août 2015.

 

 

 

 

Au rez-de-chaussée

 

 

 

 

 

Cuisine, dans la Goethe-Haus (XVIIIe s.), maison du conseiller impérial Johann Caspar Goethe (1710-1782),
où naquit Johann Wolfgang Goethe, le 28 août 1749,
et où il écrivit Les Souffrances du jeune Werther (1774),
détruite en 1944 et reconstruite à l'identique en 1947-1951,
Großer Hirschgraben 23, à Francfort-sur-le-Main, dans la Hesse, photographie : août 2015.

 

 

 

 

Dans la cour

 

 

 

 

 

Dans la cour intérieure de la Goethe-Haus (XVIIIe s.),
Großer Hirschgraben 23, à Francfort-sur-le-Main, dans la Hesse, photographie : août 2015.

 

 

 

 

 

Goethe-Haus

 

 

 

 

La Goethe-Haus (XVIIIe s.), maison du conseiller impérial Johann Caspar Goethe (1710-1782),
où naquit Johann Wolfgang Goethe, le 28 août 1749,
et où il écrivit Les Souffrances du jeune Werther (1774),
détruite en 1944 et reconstruite à l'identique en 1947-1951,
Großer Hirschgraben 23, à Francfort-sur-le-Main, dans la Hesse, photographie : août 2015.

 

 

 

 

Jeunesse 1720

 

 

 

 

 

Alexis Grimou (1678-1733), Portrait d'un jeune homme (vers 1720-1730), détail,
au musée des beaux-arts de Francfort-sur-le-Main (Städel Museum), dans la Hesse,
photographie : août 2015.

 

 

 

 

La beauté de Marie

 

 

 

 

 

Carlo Crivelli (1430/35-1494/95), La Vierge de l'Annonciation (1482), détail,
au musée des beaux-arts de Francfort-sur-le-Main (Städel Museum), dans la Hesse,
photographie : août 2015.

 

 

 

 

Les ailes

 

 

 

 

 

Carlo Crivelli (1430/35-1494/95), L'Ange de l'Annonciation (1482), détail,
au musée des beaux-arts de Francfort-sur-le-Main (Städel Museum), dans la Hesse,
photographie : août 2015.

 

 

 

 

Au profil d'une Dame

 

 

 

 

 

Sandro Botticelli (vers 1445-1510), Portrait idéalisé d'une Dame
(Simonetta Vespucci en nymphe) (vers 1480), détail,
au musée des beaux-arts de Francfort-sur-le-Main (Städel Museum), dans la Hesse,
photographie : août 2015.

 

 

 

La vue myope

 

 

 

 

Une amie chère, tandis que nous visitions, il y a maintenant longtemps, une exposition de peinture, me suggéra d'ôter mes lunettes (mes yeux sont myopes depuis l'enfance) et d'apprécier ainsi, pour un moment, les tableaux. Je n'y avais jamais pensé ! Le "grain" et la "pâte" évanouis, le flou animait les lignes et les masses de couleurs à sa façon particulière. Le tableau contemplé se dotait d'une profondeur nouvelle, et vibrait autrement par endroits. Je voyais se détacher des silhouettes étranges ; des pans de la composition s'écroulaient, d'autres dansaient ; un équilibre différent se manifestait. Lorsque je remis mes bésicles, j'avais le souvenir d'un autre tableau. Mon amie m'avait convaincu de la qualité d'une telle expérience, et du privilège propre aux personnes myopes de pouvoir ainsi choisir leur regard. Depuis ce jour je ne manque pas, devant certains tableaux (je parle des tableaux qui nous appellent davantage que d'autres, dans les salles d'exposition), de refaire le même geste, quitte à me cogner bientôt dans l'embrasure d'une porte.

 

 

 

 

Margelle

 

 

 

 

 

Altobello Melone (1490-avant 1543), Narcisse à la fontaine (vers 1510-1511),
au musée des beaux-arts de Francfort-sur-le-Main (Städel Museum), dans la Hesse,
photographie : août 2015.

 

 

 

 

L'échelle dans le songe

 

 

 

 

 

Adam Elsheimer (1578-1610), Le Rêve de Jacob (vers 1597-98),
au musée des beaux-arts de Francfort-sur-le-Main (Städel Museum), dans la Hesse,
photographie : août 2015.

 

 

 

 

Noble fleur

 

 

 

 

 

Hans Holbein Le Jeune (1497-1543), Portrait de Simon George de Cornwall (vers 1530-1540),
au musée des beaux-arts de Francfort-sur-le-Main (Städel Museum), dans la Hesse,
photographie : août 2015.