Nouvelles du fracas (4)

 

 

 

Gehttautdbk. Mais iiiiiihh oigqvbdif gigicia. Horrible. Une cellule psychoiiii est mase en plice. Meuhhhhhh. Piiikkkk. Achtroooomphhhh. Il se passe quelque chuse de grâââve dans le pays de Kmkogofiiii. Quelqu'un a aimé quelqu'un. Bluuuuuooooooo. Il se passe quelque chise dans le poys de Bjkisleofti. Uhhhjajjajhdidoaqoyftgfg. Le ciel est rouge.

 

C'étaient les informations en direct de ***.  De notre envoyé extraordinaire. 

 

 

 

De l'absence

 

 

Le poète dit : « Je n'ai rien à faire dans ce monde sans amour, mais j'y suis, et, dès lors, j'écris ».

 

 

 

L'ange

 

 

 

 

Au château de Champs, photographie : avril 2018.

 

 

 

Montreuil Paradise

 

 

 

Photographie : juillet 2022.

 

 

 

 

Du rare

 

 

Peut-être le rare nous égare-t-il.

 

 

 

Du monde

 

 

Le monde est un noir désordre inextricable auquel l'amour accorde parfois quelque clarté.

 

 

 

Projet

 

 

 

 

(En cours. Parution à la fin de l'été.)

 

 

 

 

La merveille qui danse

 

 

 

 

Déodat de Séverac (1872-1921), Pippermint-Get,
Orchestre de la Suisse Romande, dirigé par Roberto Benzi.

 

 

 

Paris, 2022

 

 

 

 

Autoportrait prisonnier, Paris XI, photographie : juillet 2022.

 

 

 

 

Silène 2022

 

 

 

Paris XI, photographie : juillet 2022.

 

 

 

Degrés de lumière

 

 

 

 

Paris, photographie : juillet 2022.

 

 

 

 

 

De l'approfondissement (et d'un mystère)

 

 

Nos yeux voient sans doute davantage que ce que nous voyons à travers eux. L'œuvre du poème est de le déceler, ou, à défaut, de le deviner.

 

 

 

Du slogan

 

 

« Ouvrons grand les Jeux », voici donc le slogan du gouvernement pour les prochains Jeux olympiques qui se tiendront, hélas, en 2024 à Paris. Ce jeu de mots inepte, d'une consternante laideur, en dit beaucoup, encore, sur ceux qui nous gouvernent, et donne envie de s'enfuir à tire-d'aile.

 

Le slogan salit le langage ; il n'est même pas son contraire :  il est son ennemi.

 

 

 

Montesquiou par Boldini (L'élégance 1897)

 

 

 

 

Giovanni Boldini (1842-1931), Portrait de Robert de Montesquiou (1897),
à l'exposition "Boldini, les plaisirs et les jours", au Petit Palais, à Paris VIII,
photographie : juillet 2022.

 

 

 

 

D'une marquise

 

 

 

 

Giovanni Boldini (1842-1931), La marquise Luisa Casati avec des plumes de paon (1911-1913),
à l'exposition "Boldini, les plaisirs et les jours", au Petit Palais, à Paris VIII,
photographie : juillet 2022.