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mercredi, 12 août 2020

Dans le Jardin du Mandarin Yu

 

[Voyage en Chine, notes I.]

 

 

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Dans le Jardin du Mandarin Yu, à Shanghai, en Chine,
photographies : avril 2019.

 

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À Shanghai

 

 

 

 

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Une rue, à Shanghai, en Chine,
photographie : avril 2019.

 

 

 

 

12:40 Écrit par Frédéric Tison dans Voyage en Chine | Tags : frédéric tison, photographie, shanghai | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Voyage en Chine (avril-mai 2019) — Notes de carnet, extraits (1)

 

[Ces notes de carnet ont été, pour la plupart d'entre elles, composées durant mon voyage lui-même, souvent dans un style abrégé que j'ai corrigé ici. J'y ai ajouté quelques notes écrites à mon retour, à Paris, et j'en ai retiré d'autres.]

 

 

 

Dimanche 21 avril 2019

Un voyage ne saurait panser, je le sais bien. Je vais cependant bientôt m’envoler pour la Chine !

(…)

Voilà plus de trois heures que j’attends dans la salle d’embarquement de l’aéroport de Roissy, qui bourdonne de conversations. J’aimerais prendre l’air, mais aucun balcon, aucune terrasse, aucune fenêtre ne sauraient s’entr’ouvrir. « Qu’on ouvre les fenêtres ! », prétend-on que Louis XIV ordonnait dès qu’il pénétrait dans une salle fermée.

*

Escale à Francfort. Impossible encore de sortir prendre l’air, nous voyageons désormais comme dans une bulle de verre et de métal – le vent est vraiment, toujours, ce qui me manque. Moi qui n’aime écrire qu’à ma table, devant ma fenêtre ouverte, ou dans la rue, sur les terrasses sans paravent, dans les jardins, assis sur un banc, je suis servi. Mais je ne parviens pas à lire, l’espace est à la fois vaste et confiné, et cette vacance forcée qu’est l’attente interminable de l’avion pour Shanghai me fait quelque peu tourner en bourrique hébétée… Dix ou onze heures de vol m’attendent.

(…)



Lundi 22 avril 2019

(Dans l'avion Francfort-Shanghai.)

Distance restante : 9 232 km.

Temps de vol restant : 10 h 21.

Ces chiffres vertigineux que je lisais tout à l’heure sur l’écran fixé au dos du siège qui me fait face sont devenus 2 048 km et 2 h 23.

J’ai réussi à écrire un peu, malgré les nombreuses « turbulences », ces secousses un peu inquiétantes qui parsèment notre parcours. J’ai pu dormir quelques heures : l’avion est seulement rempli pour moitié, et aucun fâcheux ne s’est manifesté, hurleur, renifleur en série, enfant roi. Il est désormais six heures du matin à Paris, midi à Shanghai, ville dont j’approche. Oh ! Je serai bientôt en Chine !


*

(Le soir, à Shanghai.)

Shanghai compte 24 millions d’habitants – ville colorée, monstrueuse et tentaculaire où j’ai circulé tantôt en voiture, tantôt à pied, dans le vacarme et le nombre. Des gratte-ciel effrayants côtoient de petites maisons anciennes (du XVIIe siècle je crois) tout à fait remarquables, telles que celles qui sont éparses dans le Jardin du Mandarin Yu – de beaux et élégants pavillons de bois sombre entourés d’arbustes et surtout de « pierres de jade » imposantes qui ne sont pas en jade mais s'offrent ainsi que des chefs-d’œuvre naturels de pierre aux formes baroques produits par les eaux et les mouvements de la terre – L’Europe s’en sera largement inspirée pour ses bosquets de rocaille et ses « grotesques ».

Il pleuvait dans le jardin, et mes photographies sont assez sombres, hélas.

(…)

Vu dans le spacieux Théâtre Central de Shanghai un spectacle inégal d’acrobates et de mimes – quelques très beaux moments. Mais la troupe, la « Shanghai Acrobatic Troup », semble parfois surjouer la « Chine authentique » et parodier involontairement sa propre culture, un peu comme en France Versailles est mis à toutes les sauces, plus ou moins heureuses.

(…)

La guide qui m’accompagne, de son prénom Lian (son nom complet, D. Lian, signifie « Lotus d’hiver » en chinois), et qui se fait appeler Hélène à l’occidental (ce que je trouve absurde ; ce n’est certainement pas à elle de s’adapter), est une jolie jeune femme d’une vingtaine d’années ; elle parle l’anglais et assez inégalement le français ; son français est cependant remarquable car cela ne fait que quatre ans qu’elle apprend notre langue. Elle est efficace, fiable, gentille. Son quotidien doit être difficile ; j’apprends qu’elle vit dans un appartement de 10 m2 pour 2 000 yuans par mois (soit 300 euros), la paie médiane en Chine. Tous les matins et les soirs, elle passe une heure debout dans le métro entre son domicile et son travail.

*

Le « wifi » qui ne fonctionne pas dans la chambre d’hôtel est agaçant. J’ai pourtant moi-même fait examiner mon téléphone portable au guichetier qui l’a tripoté dans tous les sens, mais rien n’y a fait. Impossible d’envoyer quelque message à quiconque en France.

 

(à suivre.)

 

 

 

12:30 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Voyage en Chine | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

vendredi, 07 août 2020

D'un Livre pauvre

 

 

Le Livre pauvre que j'ai conçu avec Norbert Crochet fut présenté lors de cette exposition. Il est cité dans cet ouvrage qui a paru récemment :

 

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De l'Allemagne : Une collection de livres d'artistes à Belfort.
Éditions du Sékoya / Musées de Belfort, 2019.

 

Extrait (page 13) de la Préface, par Daniel Leuwers :

 

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07:35 Écrit par Frédéric Tison dans Expositions, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

jeudi, 06 août 2020

Laisser

 

 

 

Il faut laisser la musique pleurer pour nous.

 

 

 

 

mercredi, 05 août 2020

Noir et blanc

 

 

 

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Photographie : O. D., Paris, détail, août 2020.

 

 

 

 

 

 

17:50 Écrit par Frédéric Tison dans Photographies solitaires | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

dimanche, 02 août 2020

Deux notes de lecture sur "La Table d'attente"

 

 

 

Je signale deux notes de lecture, respectivement par Odile Cohen-Abbas et par Claire Boitel,
sur La Table d'attente (2019), dans la revue Les Hommes sans Épaules,
n° 50, second semestre 2020, p. 300-303 et p. 312-314.

 

 

 

 

09:27 Écrit par Frédéric Tison dans Revues, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

samedi, 01 août 2020

Les Hommes sans Épaules, n° 50

 
 
 
 
Parmi de nombreux contributeurs, je figure, avec des textes inédits, dans le numéro 50 de la revue Les Hommes sans Épaules (second semestre 2020), qui peut être commandé ici :
 
 
 

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07:28 Écrit par Frédéric Tison dans Revues, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (4) |  Facebook |

vendredi, 17 juillet 2020

Une page de peintures sur "Terre à ciel"

 

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Une page consacrée à mes peintures vient de paraître sur le site Terre à ciel,
dans la rubrique « Paysages ».

Veuillez suivre ce lien :

 

Frédéric Tison, peintures et extraits de livres.

 

Avec mes plus vifs remerciements à Isabelle Lévesque qui m'a sollicité
à cette occasion, ainsi qu'au comité de rédaction de Terre à ciel.

 

 

 

 

jeudi, 16 juillet 2020

Une page d'extraits sur "Terre à ciel"

 

 

 

Une page consacrée à des extraits de mes livres vient de paraître sur le site Terre à ciel,
dans la rubrique « Terre à ciel des poètes ».

Veuillez suivre ce lien :

 

Frédéric Tison.

 

Avec mes plus vifs remerciements à Isabelle Lévesque qui m'a sollicité
à cette occasion, ainsi qu'au comité de rédaction de Terre à ciel.

 

 

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https://www.terreaciel.net/

 

 

 

10:15 Écrit par Frédéric Tison dans Revues, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

mardi, 14 juillet 2020

Les Oiseaux de métal et l'Oiseau effrayé

 

 

 

 

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Les Oiseaux de métal et l'Oiseau effrayé,
Défilé du 14-Juillet, Paris, par ma fenêtre, photographie.

 

 

 

 

12:06 Écrit par Frédéric Tison dans Photographies solitaires | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

dimanche, 12 juillet 2020

« Le Verbe Océanique », une carte d'art

 

 

Une parution

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Le Verbe Océanique
poème d'Odile Cohen-Abbas,
encre et pastel de Frédéric Tison,

juin 2020.

*

Prix : 10 euros, frais de port compris.

 Pour vous procurer la carte, veuillez m'écrire ici.

 

 

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jeudi, 09 juillet 2020

Rose et gris

 

 

 

 

 

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Frédéric Tison, Rose et gris,
encre et pastel sur papier grain nuage,
24 x 30 cm, juillet 2020.

 

 

 

 

 

14:16 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

mardi, 07 juillet 2020

Mon Navire oublié (II)

 

 

 

 

 

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Frédéric Tison, Mon Navire oublié (II),
encre et encre de Chine sur papier grain nuage,
24 x 30 cm, juillet 2020.

 

 

 

 

12:41 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (3) |  Facebook |

lundi, 06 juillet 2020

Mon étrange jardin (IV)

 

 

 

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Frédéric Tison, Mon étrange jardin (IV),
encres, encre de Chine et pastel sur papier grain nuage,
14 x 28.5 cm, juillet 2020.

 

 

 

 

10:58 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |