Vestiges

 

 

 

 

Fondations du chœur de l'église du XIe siècle, élévation du XVe siècle,
et fragments du castrum d'Aurélien (IIIe s.), église Saint-Étienne, actuellement musée Rude, à Dijon,
photographie : octobre 2014.

 

 

Les fragments du castrum que l'on voit dans la partie inférieure de la photographie sont ceux de l'édifice de l'empereur Aurélien (selon Grégoire de Tours dans son Histoire des rois francs), et que j'évoquai ici naguère.

 

 

 

La grâce romane

 

 

 

 

 

Le chœur de l'église Saint-Antoine de Fixey (Xe s.), dans la commune de Fixin,
en Côte d'Or, photographie : octobre 2014.

 

 

 

 

Une Dame d'un millier d'années

 

 

 

 

 

 

 

L'église Saint-Antoine de Fixey (Xe s.), dans la commune de Fixin,
en Côte d'Or, photographies : octobre 2014.

 

 

 

Photographie d'un acrobate amateur par temps caligineux

 

 

 

 

 

Le château de Vantoux (XVIIIe s.), à Messigny-et-Vantoux,
pris de la route, sur la pointe des pieds,
photographie : octobre 2014.

 

 

 

L'allée

 

 

 

 

 

Allée privée menant au château de Vantoux, à Messigny-et-Vantoux,
photographie : octobre 2014.

 

 

 

 

L'ange affligé

 

 

 

 

 

Le Puits de Moïse (1395-1405), détail, édifié et sculpté par Claus Sluter (vers 1355-1406),
son neveu Claus de Werve (1380-1439) et d'autres collaborateurs
(Jean Malouel (avant 1370-1415) a mis en couleurs les sculptures en 1402),
au Centre hospitalier La Chartreuse, à Dijon,
photographie : octobre 2014.

 

 

 

 

Visages

 

 

 

 

 

Le Puits de Moïse (1395-1405), détail, édifié et sculpté par Claus Sluter (vers 1355-1406),
son neveu Claus de Werve (1380-1439) et d'autres collaborateurs
(Jean Malouel (avant 1370-1415) a mis en couleurs les sculptures en 1402),
au Centre hospitalier La Chartreuse, à Dijon,
photographie : octobre 2014.

 

 

 

L'esprit de Charles Baudelaire

 

 

 

 

Félix-Hilaire Buhot (1847-1898), Spleen et Idéal ou Le Fiacre aux amours,
Palais des ducs de Bourgogne, musée des beaux-arts de Dijon,
photographie : octobre 2014.

 

 

 

Le Puits de Moïse

 

 

 

 

Le Puits de Moïse (1395-1405), détail, édifié et sculpté par Claus Sluter (vers 1355-1406),
son neveu Claus de Werve (1380-1439) et d'autres collaborateurs
(Jean Malouel (avant 1370-1415) a mis en couleurs les sculptures en 1402),
au Centre hospitalier La Chartreuse, à Dijon,
photographie : octobre 2014.

 

 

 

Vestige

 

 

 

 

 

Petit édifice (XIXe s.) au centre d'une cour, abritant le Puits de Moïse,
au Centre hospitalier La Chartreuse, à Dijon,
photographie : octobre 2014.

 

 

 

Champmol

 

 

 

 

 

Chapelle de Champmol (XIXe s.) et escalier (XIVe s.), vestige de l'église de Champmol,
sur le site de l'ancienne Chartreuse de Champmol, nécropole des ducs de Bourgogne,
à Dijon, photographie : octobre 2014.

 

 

 

Lumière penchée

 

 

 

 

À Dijon,
photographie : octobre 2014.

 

 

 

Pour Pierre des Barres

 

 

 

 

 

L'hôtel des Barres, contruit vers 1640 pour Pierre des Barres,
président au Parlement de Bourgogne,
à Dijon, photographie : octobre 2014.

 

 

 

« Méné Méné. Theqel. Oupharsin »

 

 

 

 

 

Hyacinthe Collin de Vermont (1693-1761), Le Festin de Balthazar, détail,
musée Magnin, hôtel Lantin, Dijon,
photographie : octobre 2014.

 

« Le roi Baltasar fit un grand festin à mille de ses princes, et en présence de ces mille il but du vin. Excité par le vin, Baltasar fit apporter les vases d’or et d’argent que Nabuchodonosor, son père, avait enlevés du temple qui est à Jérusalem, afin que le roi et ses princes, ses femmes et ses concubines, s’en servissent pour boire. Alors on apporta les vases d’or qui avaient été enlevés du temple de la maison de Dieu qui est à Jérusalem, et le roi et ses princes, ses femmes et ses concubines s’en servirent pour boire. Ils burent du vin, et ils louèrent les dieux d’or et d’argent, d’airain, de fer, de bois et de pierre. À ce moment apparurent des doigts de main humaine qui écrivaient, en face du candélabre, sur la chaux de la muraille du palais royal ; et le roi vit le bout de la main qui écrivait. Alors le roi changea de couleur, et ses pensées se troublèrent ; les jointures de ses reins se relâchèrent et ses genoux se heurtèrent l’un contre l’autre. » (Lire ici la suite.)

 

Livre de Daniel, V, 1-6, traduction du Chanoine Crampon (1923).

 

 

 

 

Homme nu renversé sur le sol

 

 

 

 

Théodore Géricault (1791-1824), Figure pour la « Course des Barberi »,
musée Magnin, hôtel Lantin, Dijon,
photographie : octobre 2014.