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dimanche, 16 octobre 2022

Des pensées

 

 

Il s'agit de voir passer les pensées.

 

 

 

11:28 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Le vent normand

 

 

 

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Denis Etcheverry (1867-1952), Coup de vent à Trouville (avant 1907),
à l'exposition "Le Vent. « Cela qui ne peut être peint » ",
au MuMA (musée d'art moderne André-Malraux), au Havre,
photographie : septembre 2022.

 

 

 

Du Maître

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843), Paysage orageux (vers 1840),
à l'exposition "Le Vent. « Cela qui ne peut être peint » ",
au MuMA (musée d'art moderne André-Malraux), au Havre,
photographie : septembre 2022.

 

 

 

 

Portrait décoiffé par le vent et les embruns

 

 

 

portrait

 

Sur la plage du Havre, photographie par F., septembre 2022.

 

 

 

 

02:24 Écrit par Frédéric Tison dans Photographies solitaires | Tags : portrait | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Windblown tree

 

 

 

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Victor Hugo (1802-1885), Arbre couché par le vent (vers 1866),
plume et lavis d'encre brune, 

à l'exposition "Le Vent. « Cela qui ne peut être peint » ",
au MuMA (musée d'art moderne André-Malraux), au Havre,
photographie : septembre 2022.

 

 

 

 

samedi, 15 octobre 2022

Un arc-en-ciel dans le ciel de Sainte-Adresse

 

 

 

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Un arc-en-ciel dans le ciel de Sainte-Adresse, vu de la plage du Havre,
en Normandie. Photographie : septembre 2022.

 

 

 

 

 

Quelque part (à Paris)

 

 

 

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Photographie : octobre 2022.

 

 

 

13:23 Écrit par Frédéric Tison dans Photographies solitaires | Tags : frédéric tison, photographie | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

vendredi, 14 octobre 2022

Oh !

 

 

 

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Le château de Breteuil (XVIIe s.), dans les Yvelines, photographie : octobre 2012.

 

 

 

D'un livre rare

 

 

 

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Anuho (Les Quatre Livres), mon premier ouvrage publié chez un éditeur
(les éditions Larbaud et Cie
dirigées par André Leca, éditions désormais disparues), en 2004.
Exemplaire d'auteur original*.
J'ai réédité ce livre, augmenté de quelques images,
dans une collection de livres auto-édités, que l'on peut trouver ici.

 

* Les exemplaires chez l'éditeur sont désormais introuvables et ont dû être mis au pilon.
Il m'en reste cinq.
Un visiteur intéressé peut en acquérir un auprès de moi, dédicacé et augmenté d'un dessin original, au prix de 850 euros. Veuillez m'écrire ici.

 

 

 

Il y a dix ans

 

 

 

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Au château de Breteuil (XVIIe s.), dans les Yvelines, photographie : octobre 2012.

 

(Cette image figure dans mon livre de photographies, Le Clair du temps III.)

 

 

 

jeudi, 13 octobre 2022

Traces d'avions & nuages au-dessus du château

 

 

 

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Au château de Champs, en Seine-et-Marne, photographie : avril 2013.

 

 

 

 

mercredi, 12 octobre 2022

Autoportrait en homme invisible montant un escalier

 

 

 

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Au château de Champs, en Seine-et-Marne, photographie : avril 2013.

 

 

 

 

Avec quelques touches de peinture

 

 

 

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Dans le parc du château de Champs, en Seine-et-Marne,
photographie en partie recouverte de peinture noire et blanche : avril 2013.

 

 

 

 

Les arbres bien rangés

 

 

 

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Au château de Champs, en Seine-et-Marne, photographie : avril 2013.

 

 

 

mardi, 11 octobre 2022

Des oiseaux à Paris

 

 

Il y a, à Paris, comme dans la plupart des villes du monde, de nombreux oiseaux. Dans l'air de Paris, nous surprenons les cris et les chants de corneilles, pigeons, merles, piafs, mésanges, mouettes et goélands (ces derniers, apparemment, passent de temps en temps quelques jours de vacances dans le port de l'Arsenal qui se trouve non loin de chez moi)... Le cri des corneilles n'est pas beau, mais il m'amuse ou m'intrigue. Le chant des merles et des passereaux — lesquels, dirait-on, sont de véritables garnements dans la mesure où ils ne cessent de pépier — est très harmonieux, et ces oiseaux s'adonnent à d'étonnantes et innombrables variations. Mais c'est le cri des mouettes et des goélands qui m'émeut le plus : il apporte la mer et tous les océans jusqu'à ma fenêtre ouverte, par où je ne vois que des pierres, du verre et du ciel bleu ou gris.

 

 

 

11:40 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |